Près de deux semaines après l'utilisation présumée d'armes chimiques dans la Ghouta orientale, l'enquête de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) n'a toujours pas pu débuter sur le terrain. Olivier Pick, chercheur à la Fondation pour la recherche stratégique, estime que c'est pour "des raisons qui semblent fallacieuses".
ls sont au centre de l'attention internationale. Les agents de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) sont arrivés depuis plusieurs jours en Syrie, pour mener une enquête sur l'utilisation présumée d'armes chimiques dans la Ghouta orientale, le 7 avril dernier, lors d'une attaque qui a fait 40 morts.