Cette nouveauté permettrait à l'ensemble des parties civiles, parfois nombreuses ou ne pouvant se déplacer, de suivre les audiences depuis leur ordinateur....France Inter rappelle que les salles d’audiences sont rarement prévues pour accueillir un public nombreux. Or, dans certains grands procès, les parties civiles peuvent se compter en milliers. C’est notamment le cas dans le cadre du procès du Médiator concernant les victimes du médicament du laboratoire Servier, qui intéresse 2 400 parties civiles et 300 avocats.
Sud Ouest Aujourd'hui à 17h17 -
Bientôt des procès retransmis sur une web-TV pour les parties civiles ? D'accord ? Pas d'accord ? Vos réactions ...
Tant que l'audience n'est pas à huis clos, perso ça ne me choque pas à condition quand même que cela reste un peu exceptionnel, uniquement pour les procès concernant de nombreuses parties civiles. Une web TV où des procès tourneraient en boucle toute la journée comme n'importe quelle série TV, ça me gênerait un peu.
Tant que l'audience n'est pas à huis clos, perso ça ne me choque pas à condition quand même que cela reste un peu exceptionnel, uniquement pour les procès concernant de nombreuses parties civiles. Une web TV où des procès tourneraient en boucle toute la journée comme n'importe quelle série TV, ça me gênerait un peu.
Pour un procès en Huis clos, c'est totalement interdit. Je pense comme Lilly il faut que cela reste tout à fait exceptionnel et dans le cas où il y a beaucoup de parties civiles qui seraient dans l'impossibilité de se déplacer.
Mais je crains des " fuites " sur les réseaux sociaux, ce qui est contraire à l'étique.
Tant que l'audience n'est pas à huis clos, perso ça ne me choque pas à condition quand même que cela reste un peu exceptionnel, uniquement pour les procès concernant de nombreuses parties civiles. Une web TV où des procès tourneraient en boucle toute la journée comme n'importe quelle série TV, ça me gênerait un peu.
Probablement une webtv disponible uniquement avec un code à durée limitée, diffusion sécurisée avec une obligation de confidentialité maxi formalisée par un " contrat " signé manuscritement.