Les deux fonctionnaires de la BRI sont soupçonnés d'avoir violé une touriste canadienne dans l'ancien siège de la police judiciaire parisienne il y a cinq ans. (...)
L'accusation d'"une tournante"
La soirée du 22 avril débute dans un pub irlandais, à quelques pas du mythique bâtiment du quai des Orfèvres, dans le 1er arrondissement de la capitale. Emily est en vacances à Paris. La touriste canadienne de 34 ans sympathise avec un groupe de policiers d'élite, appartenant à la BRI. Les verres d'alcool s'enchaînent. Tout le monde flirte ce soir-là, concédera la jeune femme devant les juges. Puis, un peu avant 1 heure du matin, la jeune femme accepte d'aller visiter les locaux de la police judiciaire parisienne. Elle est alors piégée, affirme son avocate, Sophie Obadia. "Elle s'est retrouvée très, très loin de l'entrée et de la surveillance possible, dans des bureaux égarés, desquels il était très difficile de s'enfuir. Elle n'a (...) Lire la suite sur Franceinfo
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NON ce n'est pas joli-joli mais ...... En tant que touriste étrangère qu'avait-elle besoin de les suivre afin de visiter le 36 ?... Ah ! l'alcool ?
bé justement .. la désinvolture des tourismes .... ils ont fait les bars .. l'alcool comme tu dis .. ils ont dragué etc. ... cette affaire va être compliqué !!!
la drague ne veut pas dire consentement pour avoir une relation sexuelle. D'autre part, les flics ont le droit de faire visiter le quai des orfèvres à qui ils veulent, quand ils veulent ? Et de nuit ? Non, ils l'ont fait c'est parce qu'ils avaient une idée précise de ce qu'ils voulaient.
Cette femme s'est imaginée en sécurité avec la police. Elle ne pensait pas qu'elle aurait à faire avec des prédateurs sexuels.
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la drague ne veut pas dire consentement pour avoir une relation sexuelle. D'autre part, les flics ont le droit de faire visiter le quai des orfèvres à qui ils veulent, quand ils veulent ? Et de nuit ? Non, ils l'ont fait c'est parce qu'ils avaient une idée précise de ce qu'ils voulaient.
Cette femme s'est imaginée en sécurité avec la police. Elle ne pensait pas qu'elle aurait à faire avec des prédateurs sexuels.
je plussoie ton raisonnement ... mais on ne sait pas tout ...
mise à jour 14:51:43 Procès du viol du Quai des orfèvres: l'accusatrice est allée au "36" pour être en "sécurité"
la touriste canadienne a écrit:
"Quand les agents de police m'ont proposé d'aller (au "36"), je me suis dit que j'y serais en sécurité", a raconté la Canadienne de 39 ans, qui a donné, dans sa première prise de parole aux assises, sa version de la nuit du 22 au 23 avril 2014. Les deux policiers, qu'elle venait de rencontrer dans un pub, lui ont expliqué que le "36", où ils travaillaient, était un lieu célèbre, où des films avaient été tournés.
"J'étais ivre, je savais que je n'étais pas en mesure de retrouver mon hôtel. Je me suis dit qu'au moins, dans un commissariat, je ne pourrais pas boire à nouveau et que je rentrerais une fois sobre", a poursuivi l'accusatrice, une grande femme aux cheveux courts, vêtue d'un pantalon noir et d'un long tee-shirt sombre.
Elle pensait qu'il y aurait beaucoup de monde dans ce qu'elle appelle un "commissariat". Mais le "36", quand elle y est arrivée à 00H40, était quasiment vide. Elle a marché en titubant, grimpé les escaliers jusqu'au bureau 461.
"Tout se passait bien, je regardais des photos. Les policiers m'ont servi un Scotch. Je n'en avais pas vraiment envie, mais j'ai accepté de boire une gorgée par politesse", se souvient-elle, la voix étranglée par les sanglots. Elle a assuré que "tout le monde flirtait" ce soir là au pub, mais qu'elle n'avait pas l'intention d'aller plus loin.
Les accusés l'auraient forcée à boire son verre, puis elle se serait retrouvée à genoux. L'un d'eux lui aurait mis son pénis dans la bouche. "On m'a poussée sur la table. Quelqu'un est entré à l'intérieur de moi. Puis quelqu'un d'autre. Quand ça a été fini, j'ai ramassé mes affaires, mais je n'ai pas réussi à ouvrir la porte. On m'a tirée dans un autre bureau et tous les événements se sont répétés", a-t-elle raconté.
"Pour moi, il y avait trois agresseurs", a-t-elle dit à la cour. Parmi eux, se trouvent selon elle les deux accusés, dont elle a confondu les noms à l'audience.
Ceux-ci reconnaissent une fellation consentie pour l'un et des caresses sexuelles consenties pour l'autre, mais nient tout viol. Ces policiers, qui comparaissent libres, encourent 20 ans de réclusion.
Son témoignage semble accablant... On serait tenté de la croire. Mais comme tu le dis Lydie, on ne sait pas tout dans cette affaire bien délicate. A suivre....
mise à jour 30.01.2019 Procès du viol au "36" : sept ans de prison requis contre les deux policiers
Une peine de sept ans de prison ferme a été requise à l'encontre de deux anciens policiers de l’antigang accusés du viol d’une touriste canadienne en 2014 dans les bureaux du 36 Quai des Orfèvres.
"Ils se sont comportés comme ceux qu'ils pourchassent". "Ce soir-là, ils n'étaient pas la police mais des usurpateurs indignes de brassards et ils se sont comportés comme ceux qu'ils pourchassent. Ce soir-là, ils avaient basculé du mauvais côté", a déclaré l'avocat général Philippe Courroye. "Mon intime conviction, c'est qu'au cours de cette nuit du 22 au 23 avril, dans les locaux de la BRI, Emily Spanton a bien été une victime non consentante d'actes sexuels", a-t-il ajouté............
Mise à jour le 31/01/2019 Procès du viol présumé au 36 quai des orfèvres
Deux policiers viennent d'être condamnés à sept ans d'emprisonnement pour le viol d'une Canadienne, par la Cour d'Assises de Paris, jeudi 31 janvier. Jugés aux assises depuis le 14 janvier dernier, les deux agents de la brigade de recherche et d’intervention (BRI) comparaissaient pour avoir violé une touriste canadienne, le 22 avril 2014 au cours d’une soirée arrosée (...)
Que cette jeune personne ait été ou non sous l'emprise de l'alcool, la police est là pour protéger et non pour autre chose.
En principe, ils ne doivent pas toucher une femme, même pour une palpation ou autre, il faut une femme policière.
Si vraiment ils ont commis cet acte innommable et allant à l'encontre de tout ce que la police est censée représentée, la peine est méritée.
Quand une femme dit non, ça veut dire non.
De la façon dont ce fait divers est relaté, la jeune femme aurait dansé et se serait assise sur un policier, ils auraient du immédiatement " la remettre poliment à sa place " et le policier aurait du rester debout. Tout ceci est bien scabreux...