Les faits se sont déroulés dans la nuit de jeudi à vendredi près de Clermont-Ferrand, dans le Puy-de-Dôme.
Les gendarmes se sont rendus dans un logement de Pont-du-Château pour des violences conjugales commises par l'épouse.
Arrivés sur les lieux, les militaires ont découvert l'homme qui venait d'être poignardé. Il souffrait de blessures superficielles au bras et à l’abdomen.
Sa femme, âgée de 31 ans, a été interpellée et placée en garde à vue. L'enquête a révélé qu'elle frappait régulièrement son compagnon mais également l'aînée de ses trois enfants, âgée de 12.
Une fois, les coups étaient d'une telle violence qu'elle lui a cassé plusieurs dents.
La mère de famille passera prochainement devant la justice pour violences par conjoint et violences sur mineurs par ascendant. source
Je ne comprends pas que cet homme qui devait avoir plus de force que sa femme, ne se soit pas rebiffé.. et ne l'ai pas maîtrisée!! En général un homme est capable de répondre aux attaques physiques d'une femme à moins que ce ne soit un gringalet très pleutre..ou handicapé.. mais là on ne dit pas qu'il l'était!
Je ne comprends pas que cet homme qui devait avoir plus de force que sa femme, ne se soit pas rebiffé.. et ne l'ai pas maîtrisée!! En général un homme est capable de répondre aux attaques physiques d'une femme à moins que ce ne soit un gringalet très pleutre..ou handicapé.. mais là on ne dit pas qu'il l'était!
Parfois, il ne faut pas s'arrêter aux apparences.
J'ai un ami qui a vécu un peu la même situation. Il était en couple avec une femme depuis quelques mois et tout semblait bien se passer en sa compagnie.
Puis un jour, j'ai commencé à remarquer qu'il avait beaucoup changé : je ne savais pas ce qui lui arrivait mais j'ai vite compris que quelque chose ne tournait pas rond.
Je ne vais pas rentrer dans les détails mais j'ai réalisé bien plus tard qu'il subissait des violences physiques de la part de sa compagne.
Crois moi que sur le moment, on a tous eu du mal à y croire parce que mon ami était bien plus costaud que sa partenaire mais on a réalisé par la suite qu'il était totalement sous son emprise et qu'au final, même s'il aurait pu la maîtriser facilement, il se laissait faire car il était sous son contrôle.
Tout ça pour dire que cette histoire ne me surprend pas du tout. Cela fait toujours bizarre quand les rôles sont inversés mais une femme qui bat son homme, ça peut aussi exister : je suis là pour en témoigner.
Être sous l'emprise psychologique alors.. Cela peut paraître étonnant qu'un homme se fasse tabasser par sa femme mais puisque çà existe ,je suis à l'évidence de le croire!
Voilà un à-priori Camélia qui explique pourquoi ces hommes ne portent pas plainte contre leur femme. Ils reçoivent le même accueil et parfois pire subissent des quolibets.
Nous sommes tous inégaux face aux problèmes. Certains ont la force de caractère de l'assumer, d'autres non. C'est comme ça. Mais il y a d'autres facteurs. Lorsqu'on aime, on ne voit pas les gens comme ils sont. On leur trouve toujours des excuses, on croit toujours que c'était un accident, puis petit à petit, on se dit qu'au fond, on a vraiment fait une connerie et que la colère est justifiée. Puis on se dit qu'on ne vaut rien et qu'on mérite... Oh ça ne se fait pas du jour au lendemain. Mais le cerveau de l'être humain est malléable et accepte bien plus de choses qu'on ne le pense, y compris le pire. La lente dégradation de notre propre opinion rend toutes les démarches pour faire face, impossible.
Je crie souvent ma colère contre les hommes violents. J'ai la même virulence contre ce genre de femme qui n'honore pas du tout la condition féminine. Et celle-ci est d'une ignominie complète puisqu'elle s'en prend aussi à son enfant. Lorsqu'on en arrive à ce point, on doit savoir se dire soi-même qu'on a besoin d'aide, qu'on n'a pas à faire souffrir les nôtres de nos pulsions.
Voilà un à-priori Camélia qui explique pourquoi ces hommes ne portent pas plainte contre leur femme. Ils reçoivent le même accueil et parfois pire subissent des quolibets.
Nous sommes tous inégaux face aux problèmes. Certains ont la force de caractère de l'assumer, d'autres non. C'est comme ça. Mais il y a d'autres facteurs. Lorsqu'on aime, on ne voit pas les gens comme ils sont. On leur trouve toujours des excuses, on croit toujours que c'était un accident, puis petit à petit, on se dit qu'au fond, on a vraiment fait une connerie et que la colère est justifiée. Puis on se dit qu'on ne vaut rien et qu'on mérite... Oh ça ne se fait pas du jour au lendemain. Mais le cerveau de l'être humain est malléable et accepte bien plus de choses qu'on ne le pense, y compris le pire. La lente dégradation de notre propre opinion rend toutes les démarches pour faire face, impossible.
Je crie souvent ma colère contre les hommes violents. J'ai la même virulence contre ce genre de femme qui n'honore pas du tout la condition féminine. Et celle-ci est d'une ignominie complète puisqu'elle s'en prend aussi à son enfant. Lorsqu'on en arrive à ce point, on doit savoir se dire soi-même qu'on a besoin d'aide, qu'on n'a pas à faire souffrir les nôtres de nos pulsions.
Voilà, c'est exactement ça : tu as parfaitement résumer la situation.
Voilà un à-priori Camélia qui explique pourquoi ces hommes ne portent pas plainte contre leur femme. Ils reçoivent le même accueil et parfois pire subissent des quolibets.
Nous sommes tous inégaux face aux problèmes. Certains ont la force de caractère de l'assumer, d'autres non. C'est comme ça. Mais il y a d'autres facteurs. Lorsqu'on aime, on ne voit pas les gens comme ils sont. On leur trouve toujours des excuses, on croit toujours que c'était un accident, puis petit à petit, on se dit qu'au fond, on a vraiment fait une connerie et que la colère est justifiée. Puis on se dit qu'on ne vaut rien et qu'on mérite... Oh ça ne se fait pas du jour au lendemain. Mais le cerveau de l'être humain est malléable et accepte bien plus de choses qu'on ne le pense, y compris le pire. La lente dégradation de notre propre opinion rend toutes les démarches pour faire face, impossible.
Je crie souvent ma colère contre les hommes violents. J'ai la même virulence contre ce genre de femme qui n'honore pas du tout la condition féminine. Et celle-ci est d'une ignominie complète puisqu'elle s'en prend aussi à son enfant. Lorsqu'on en arrive à ce point, on doit savoir se dire soi-même qu'on a besoin d'aide, qu'on n'a pas à faire souffrir les nôtres de nos pulsions.