L'auteure de la vidéo y interpelle la secrétaire d'Etat chargée de l'égalité entre les hommes et les femmes, Marlène Chiappa, le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner mais aussi le préfet de la région Occitanie et le maire de Toulouse.
Voyez le reportage de Marc Raturat et Christian Bestard :
Une équipe de France 3 a rencontré Sofia ce dimanche. Elle explique qu'elle ne savait pas quoi faire d'autre qu'utiliser les réseaux sociaux pour venir en aide à la victime : "j'ai tweeté. je n'avais aucune ressource, je ne savais pas quoi faire d'autre. Je ne savais pas qui alerter". Laurent Lesgourgues, conseiller municipal de Toulouse également rencontré ce dimanche voit dans cette utilisation des réseaux sociaux un moyen de "rompre le silence" dans lequel sont enfermées les victimes.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : ça me donne le frisson .... c'est horrible !!!!
Pour une fois que les réseaux sociaux servent à quelque chose d'utile.....
Ces cris sont horribles !!!! Mais pourquoi la police n'a t-elle rien fait de plus que de demander les papiers à sa 1ère visite ??? Je ne comprends pas !
Enfin il est quand même dingue de voir qu'il a fallu que quelqu'un ameute les réseaux sociaux pour qu'on daigne prendre le calvaire de cette femme battue au sérieux.... quelque part, ça me laisse pantoise...
Bien que je reconnaisse que la police est submergée par de nombreux appels en tous genres, la police dans ce cas précis n'a pas fait correctement sont travail.
Violences conjugales : quand la parole se libère dans les années 70 [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : heureusement que ça évolue ! mais reste du chemin à faire pour combattre ce fléau de ce machisme brutal :x !!
je la trouve glaçante cette vidéo ... La fille de mon voisin , après avoir été battue par son compagnon est arrivée chez ses parents . Mon voisin , déchainé et malgré le refus de sa fille est allé rosser ce sale type puis s'est rendu à la police pour avouer ce qu'il venait de faire . La police lui a dit que s'il venait porter plainte , ce dont les policiers doutaient , il serait bien reçu . Pas de plainte déposée . C'est qu'ils sont lâches jusqu'au bout ces affreux .