Une femme de 43 ans a été tuée par son mari qui l'a écrasée avec sa voiture jeudi à Vénissieux, près de Lyon, alors que, poursuivi pour violences conjugales, il avait interdiction de l'approcher [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Lire l'article
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : "sous contrôle judiciaire" ils sont très nombreux et ça ne sert strictement à rien. A quand des mesures efficaces pour protéger les femmes de ces dingues ?
..... et il n'a pas respecté?... bien sur! Comme si ces individus allaient se conformer aux injonctions d'où qu'elles viennent... Même un suivi électronique n'empêchera celà . Le temps de réaction du service qui surveille, le type a le temps de ""foncer"" sur la femme et repartir, voire d'entrer chez elle et l'assassiner ...
Je suis très pessimiste sur tout ce qui est proposé ... le type toujours en liberté !
il faudrait instaurer un permis de concubinage par principe de précaution quand on voit des énergumènes pareils ... je plains cette femme et espère l’enfer pour ce s****d
De décisions, en décisions prisent, les femmes victimes de violences conjugale ne sont toujours pas protégées. C'est inadmissible en France en 2019
Comment voulez-vous protéger ces femmes (et n'oublions pas non plus les hommes qui vivent la même situation) ? C'est impossible. Il y a des centaines de cas et au quotidien. Comment faire pour protéger toutes ces victimes ? On va mettre les fous furieux en prison mais ils ne seront pas incarcérés à vie. Ils finiront pas sortir et pourront à nouveau s'en prendre à leurs victimes.
Le seul moyen, c'est d'aider ces personnes à se faire une autre vie ailleurs, loin de l'agresseur. Mais pas si simple. C'est aussi renier sa vie, perdre contact avec sa famille, ses amis.
Une obligation de soins psychiatriques, peut être même dans une structure adéquate pour les agresseurs ? Et s'il s'agit d'un alcoolique, comment l'obliger à la sobriété à vie.
Le problème est indémerdable, hélas. Je ne vois pas comment faire pour protéger ces victimes. Et c'est affolant.