L’affaire d’un maître de gymnase vaudois licencié pour propos sexistes ici fragilise le milieu scolaire et lance un vif débat sur la parole des enseignants, entre crainte d’une surveillance accrue et nécessaire adaptation aux évolutions de la société
Au-delà du cas lui-même, aussi complexe que rare, l’affaire «fragilise le corps enseignant dans son ensemble», selon les termes du communiqué de l’Association vaudoise des maîtres de gymnase (AVMG).Lire l'article aux abonnés
Que peut-on encore dire en classe? Peut-on faire preuve d’ironie ou de deuxième degré sans risquer une dénonciation?» Vos commentaires ....
ne vous inquiétez plus ! il y a une solution : comme pour les cours de math, français, histoire géo, sciences etc... qui seront dispensés à domicile via internet... les gamins feront sport individuel à la maison aussi... Plus de prof... c'est l'informatique et les robots qui remplaceront l'actuelle Education Nationale...
triste constat d'une société qui se déhumanise...
extrapolation ironique... mais jusqu'à quel point ?...