Ici, dans le quartier Sanità, à Naples, est née la première “ruelle de la culture d’Italie” explique Davide D’errico : " Une rue entière qui était abandonnée, sombre et sale, qui non seulement a été récupérée mais a aussi été rendue à la culture et devient une bibliothèque à ciel ouvert ".
Davide D’errico est le petit-fils d’un commerçant tué par la Camora en 1993, c’est lui qui a eu l’idée d’utiliser les livres comme armes contre la criminalité pour changer les mentalités des enfants.lire l'article
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]: l'idée est originale, mais empêcher la Camora à Naples voir dans toute l'Italie , je ne penses pas que les livres vont la stopper voir la freiner ! c'est une intitution la "mafia" là bas !
Vraiment une belle idée . " La poésie est une arme chargée de futur " Parfois les mots ouvrent les yeux . Ca n'arrêtera peut -être pas la mafia mais au moins c'est un acte et pacifique et une invite à la réflexion
Le membre suivant remercie pour ce message :
mimosa
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bonne initiative si seulement cela marchait ? mais les livres comme la musique parfois apaisent ?merci Lydie, j'ai appris en même temps ce que c'étaient " une potale":
" une niche contenant une statuette de la Vierge Marie ou d’un saint protecteur. Particulièrement répandu en Wallonie et en Picardie, le mot - considéré comme belgicisme - désigne un petit creux, un enfoncement, une cavité, une niche ou encore un simple trou laissé intentionnellement dans un mur, en façade, au-dessus d'un linteau de porte ou à l'angle d'un bâtiment en vue d'y abriter une statuette religieuse. " Wikepédia