Calqué sur le modèle des Nutri-Score, ces étiquettes proposeraient cinq échelons allant de A à E. Seront pris en comptes les critères suivants : les caractéristiques génétiques, l’élevage, la nourriture, l’état de santé, la reproduction, le transport et l’abattage.
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L’Anses recommande que l’évaluation porte en priorité sur « l’état de bien-être de l’animal » en s’intéressant aux comportements alimentaires. Par exemple, du bétail élevé à l’air libre peut permettre d’obtenir une note A.
Ce système « permet aux personnes, quand elles vont dans les supermarchés, de pouvoir comparer les produits, savoir dans lesquels on a le plus pris soin des animaux, dans lesquels ils ont été les mieux élevés », a commenté Laure Ducos, experte des enjeux politiques et environnementaux de l’alimentation sur France Info.
Selon le rapport publié par l’Anses, un tel moyen inciterait les industriels et consommateurs à mieux faire. ️
Pour moi, c'est une très bonne décision ! Une considération de la condition animale dans notre alimentation…
Pertinent, pour ceux qui mangent encore de la viande. Concernant le caractère cosommable de ce qui nous est proposé, je suggère l'excellente appli Yuka, facile à utiliser et qui risque de réserver quelques surprises aux profanes.
Aujourd'hui à 19:45 par 
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