"Les législatives partielles ne seront pas un test national tout simplement en raison de la très faible participation". Quoi qu'en pense le délégué général de La République En Marche Christophe Castaner, les états-majors des partis et les observateurs de la vie politique auront bien les yeux rivés sur le Val-d'Oise et Belfort ce dimanche 28 janvier, où se disputent deux législatives partielles. Alors que la prochaine échéance électorale d'envergure nationale n'interviendra qu'en 2019 avec les européennes, ces scrutins locaux font traditionnellement office de thermomètre de l'état de forme de la majorité gouvernementale et des partis d'opposition.