Une septuagénaire et sa petite-fille agressées devant leur immeuble à Bordeaux

10/11/2010

Rappel du premier message :

Une septuagénaire et sa petite-fille ont été victimes ce lundi d'une agression "d'une rare violence" à Bordeaux, a fait savoir le préfet de la Nouvelle-Aquitaine et de la Gironde sur Twitter, ajoutant qu'un suspect a été placé en garde à vue. Comme l'a appris BFMTV d'une source policière, ce dernier, né à Bordeaux en 1993, est de nationalité française. Avec une vingtaine de mentions au traitement d'antécédents judiciaires (TAJ), il est très défavorablement connu des services de police.

Pensez-vous que l'insécurité dans les grandes villes comme Bordeaux est en augmentation ? Et, sinon, avez-vous déjà été témoin ou victime d'une agression similaire ? Comment cela vous a-t-il affecté ?

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : Waouhh!! quelle horreur !! j'en ai des frissons tellement que cette agression est une extrême violence !!

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18/12/2021

Il n'empêche que lorsqu'on collectionne les délits , l'incarcération doit être automatique .

16 ans est la majorité sexuelle , 17 ans pour le permis de conduire , 18 ans la majorité .

Des gamins de 13 ans aujourd'hui n'ont rien de commun avec ceux d'il y a 30 ans .

S'ils s'affranchissent des lois , nous devons aussi nous affranchir de leur âge dans la réponse pénale à leurs comportements .

L'excuse de minorité n'a plus lieu d'être .

Invité

Dali a écrit:: Hier à 22:46 Message n°60 sur la page:2

La psychiatrie et les psychiatres ne soignent rien du tout .
L'un ou l'autre passe dans le service , te serre la louche , te demande comment ça va : puis facture 300 balles de
consultation à la sécu .

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Effectivement, dans les conditions actuelles, ça ne peut pas fonctionner.

Mais si la psychiatrie et la psychologie n'était pas le cadet des soucis de notre état, si des moyens étaient mis pour soigner correctement la santé mentale de la population dans un délai normal(et pas juste encaisser le prix de la consultation après 6 mois d'attente), s'il y avait suffisamment de praticiens, s'il y avait de l'investissement mutualisé pour donner accès à ces soins, les démystifier, aller vers les malades qui s'ignorent pour les soigner... On aurait besoin de bien moins de place en prison et dans les cimetières !

14/04/2019

Et pourtant ce serait bien nécessaire que l'etat français prennent sérieusement ce problème du manque de soutien psychiatrique. Sinon d'autres fait divers vont avoir lieu avec peut-être une issue fatal

Salutation depuis la Suisse

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