Mettre un petit coup de frais dans ses mails c’est comme faire un grand nettoyage de printemps dans sa tête : ça fait le plus grand bien. Alors on supprime ses vieux emails qui datent de plusieurs années. Oui oui, plusieurs années.
On se désabonne des newsletters : On reçoit des dizaines de newsletters en tous genres chaque jour, et on n’en ouvre pas la moitié. Ces newsletters consomment beaucoup d’énergie et de stockage. Pour limiter cette consommation, il suffit de cliquer sur le lien de désabonnement (sauf pour Le Bonbon bien sûr), souvent présents en tout petit en bas des mails. Si vous avez la flemme, des services gratuits permettent de se désabonner des newsletters en clin d’œil, à l’instar de Cleanfox.
On ressort son baladeur ou son iPod : Même si l’avènement de la musique en streaming a considérablement réduit l’utilisation de plastique pour la production des CD, cette industrie pollue énormément. Avec le nombre impressionnant d’utilisateurs et le nombre colossal de morceaux disponibles sur les plateformes, le fait d’écouter un titre est très très gourmand en énergie. En 2016, l’écoute en streaming a généré entre 250 000 et 350 000 tonnes de gaz à effet de serre.
Mettre ses onglets en favoris : Faire une recherche sur Internet requiert beaucoup d’énergie et génère énormément de CO2. Pour y remédier, c’est simple... Il vous suffit de mettre les sites que vous consultez régulièrement en favoris. Vous n’avez plus besoin de passer par les moteurs de recherches les plus gourmands. Voilà qui économisera un bon paquet d’énergie
Utiliser des moteurs de recherche écologiques : Si vous devez quand même passer par un moteur de recherche, privilégiez ceux qui ont une vocation écologique. Par exemple, Ecosia reverse 80 % de ses bénéfices à un programme de reforestation. Il y aussi Blackle, qui n’est rien de plus qu’un moteur de recherche tout noir. Cette couleur sur votre écran permet à votre ordinateur de se reposer. Il consomme ainsi moins de batterie et nécessite moins de chargements.