Attention, ne prenez pas ce texte pour de la philosophie car il n'en est aucunement, ni non plus pour une coquecigrue ou calembredaine !
Cette perception fait convenablement partie de la conscience spirituel !
Nous naissons, nous vivons, nous pensons, nous dialoguons, nous échangeons et hop, fini plus rien, c'est ce que pense la majorité des personnes. C'est quand même étrange d'avoir le pouvoir d'instituer tout ceci, pour le zero, le vide, l'absence !
Mais j'y songe, le néant c'est déjà quelque chose, puisque on lui donne une définition, le rien normalement c'est rien, alors en cherchant avec curiosité on intercepte ce qui suit. -Ce qui n'existe plus ! -Ce qui n'est pas encore !
Prenons le premier sens, ce qui n'existe plus.
Ce qui n'existe plus , n'est plus là, certes mais pour autant ou est -il !! Nous n'avons pas la vision pour suivre l'événement, ainsi , il est peut probable que nous sachions avec exactitude où se trouve le rien ! Et même si j'ai l'impression d'aller à la démesure, même brûlé l'objet se dissout, part en fumée et en gaz, mais pour rejoindre quoi, le rien, sur, hum, fadaise, sornette et baliverne !
Venons en au deuxième sens, ce qui n'est pas encore.
Mais où est donc ce qui n'est pas encore, peut-on créer du néant, du rien je fais le un, donc du néant je fais le tout ! Alors d'où viens le un, d'où viens le tout, du néant !! Alors d'où vient le néant !
Tout ceci pour exprimer la réincarnation, et non pas confondre avec la métempsycose !
Après le décès il ne se trouve pas le rien ni e néant, la chose est impossible, ni dans son entendement ni dans sa permissivité ! Outre l'adage de Saint Thomas, je ne crois que ce que je vois, qui à mon goût devrait être révisé en Je ne crois que ce que je vis !
Et ce n'est pas par ce que tu ne le vis pas qu'il n'existe pas !
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] , tu m’as emmenée loin avec ton texte ! Ta réflexion sur le néant, c’est captivant et ça pose vraiment question sur ce qui " n’est pas encore " ou " n’est plus" je suis d’accord qu’on ne peut pas vraiment concevoir le rien, on le définit juste parce qu’on en a besoin pour comprendre l’infini, peut-être..on parle de réincarnation ou d’une continuité, mais au fond, c’est peut-être cette perception du néant qui nous donne envie de croire qu’il y a autre chose après... après Ah, le "rien" ne peut pas être vraiment rien, sinon comment on pourrait en parler non ? le fait même de le nommer, de lui donner un sens, c'est déjà lui donner une sorte d'existence, non ? On essaie toujours de cerner ce vide, de le remplir avec nos concepts, comme si c'était plus facile à accepter qu'un vrai néant absolu... finalement, ce "rien" devient presque quelque chose, un mystère qui nous pousse à croire qu'il y a forcément un "après" ou une continuité quelque part....
tien une anecdote vraie!! alors, imagine ça .... je me retrouve derrière une porte, plongée dans une nuit noire, profonde, qui semble sans fin... je ressens un truc étrange, comme une force qui m’attire vers cette porte, alors je l’ouvre… et là, face à moi, c’est le vide, le vrai "rien" ! mais attention, pas un "rien" tranquille et vide, non, c’était un "rien" qui fait presque douter de lui-même, comme s’il contenait quelque chose de mystérieux, d’invisible !! et là, au moment où je commence à me dire "Mais qu’est-ce que je suis en train de voir ?", j’ai été poussée, comme aspirée en arrière, vers ce qu’on pourrait appeler le "non rien", un endroit ou un état qui n’est pas une réponse, mais qui n’est pas non plus ce néant absolu... une sensation franchement bizarre, comme si j'avais effleuré quelque chose de beaucoup plus grand, et pourtant... rien de tangible à saisir....
en fait ça me fait penser à ce moment entre deux mondes, une sorte de frontière entre "quelque chose" et ce "rien" qui n'en est pas vraiment un... c’est comme si la frontière entre les deux était fragile, et que tu avais effleuré un espace où tout se fond, sans pourtant complètement y appartenir...
Faut-il comprendre que la porte elle, est physique et que la nuit existentielle n'a que pour description qu'une couleur, le noir guide l'esprit vers une absence, mais si tu avais visionné une couleur claire, une nuit blanche ou jaune, la perception du rien aurait disparue !
Puis tu précise ! -Une nuit noire, profonde, qui semble sans fin...
La profondeur indique une action, une sensation, un effet et qui semble sans fin. Un chemin sans fin ne se termine que dans la vision de notre œil, pour autan la partie qui ne nous est pas accécible n'est en aucun cas le rien. Elle est juste la portion ignorante de notre esprit !
Ensuite ! -Un truc étrange, comme une force qui m’attire.
Un truc se traduit par un artifice, une chose ou un machin, quelque chose non connu qui intrigue et quant-il se mélange à une force, il devient l'axe principal de la scène !
-Et là, face à moi, c’est le vide, le vrai "rien" !
Le vrai rien, nous informe d'un faux rien, plus présisément le rien est faux. Quand au vide, il est la représentation du quelque chose, d'un espace inoccupé ! Une bouteille vide désigne l'espace vacant mais en aucun cas un rien, le vide exprime la suspension que la surface met en attente !
-Comme s’il contenait quelque chose de mystérieux, d’invisible !!
La contenance n'est autre que la superficie, l'étendue du mystére invisible, la face cachée, secrète de l'invisibilité porte en lui le mystérieux !
Le néant prend ici une forme d'appel, il invite l'inconscience à essayer de donner une mesure à l'inexploré, effleurer une substance invisible n'est pas un exercice pour transformer la matière mais de se modifier dans l'invisible !