Et les plantes restent largement négligées par les hommes.
Professeur Kathy J. Willis : “Il existe très très peu d’endroits qui sont actuellement reconnus pour la valeur des plantes qu’ils contiennent. La plupart de nos zones protégées concernent les oiseaux par exemple. Et il faut vraiment que l’on change cela étant donné l’importance qu’ont les plantes pour le bien-être des humains.”
Timothy Utteridge, dirige le service d’identification et de dénomination des RBG : “Pour moi ne plus travailler signifierait que j’aurai pu décrire toutes les plantes de la planète. Mais oui les écosystèmes, les forêts changent tellement que j’ai encore beaucoup de travail pour décrire toutes les espèces des herborarium ainsi que les plantes qui déjà n’existent plus dans la nature.”
eurosnews
personnellement j adore les plantes j ai 2 parterres de fleurs où je séme des fleurs pour les oiseaux et un autre pour les insectes
une fois toutes ces fleurs fleuries c est avec beaucoup de joie et de passion que j observe ce petit monde remplie de couleurs
beaucoup d'entre eux sont granivores durant la mauvaise saison, et ces plantes annuelles ou vivaces sont un excellent moyen de les aider tout en assistant à un spectacle animé en plantant certaines espèces, vous pourrez voir des Verdiers des Chardonnerets des Linottes des Pinsons des Tarins des Tourterelles des mésanges des Pigeons les oiseaux les plus agiles se percheront directement sur les fleurs,
tandis que les plus grands glaneront les semences tombées ,ces fleurs sont non seulement utiles, mais elles sont aussi souvent belles lors de leur floraison, comme les tournesols, les bleuets ou les cosmos, less pavots les coquelicotss elles nourriront les papillons et les abeilles les coccinelles
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Marie
Hou là là, qu'est-ce-que tu es calée Marie ! Je ne t'arrive pas à la cheville mais j'aime la nature. Ici, à la campagne, les plantes, fleurs, oiseaux, insectes font ce qu'ils veulent et, ma foi, je constate que tout ce petit monde fait bon ménage. Les bourdons sont en ce moment dans la lavande, quelques abeilles (hélas, plus beaucoup) vont venir butiner les campanules et le pourpier. Les parents-oiseaux finissent d'élever leurs oisillons dans les nichoirs, la famille lézard va sortir du lierre pour se chauffer au premier vrai soleil sur une amphore, la famille Zoé (rainettes) apparaîtra aussi sous la tonnelle ; je n'ai pas revu l'été dernier, papy Arthur, le gros crapaud : il a dû clamser … Je pleure sur les iris, tout abimés par le vent et les averses mais j'ai cueilli aujourd'hui un bouquet de muguet tardif. La vraie vie, quoi !
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marie48
Merci pour les 12 ans de "Petite Feuille"
De la part de toute l'équipe de "Petite Feuille" nous vous remercions, vous tous, pour votre participation et votre soutien !
Ici aussi, Marie : beaucoup de feuilles, peu de fleurs. Bah ! L'année prochaine sera peut-être plus favorable. J'avais du muguet rose mais il s'est perdu. Sans importance pour moi : je préfère le blanc. Bonne soirée.
J'ai encore en tête le vol sur place de colibris qui s'abreuvaient, sans jamais se poser, dans les becs de perroquets (variété de fleurs) qui gardaient l'eau de pluie ou la rosée dans leurs "entrailles". Je n'ai jamais réussi à prendre une photo de ce spectacle tant il était fugace.
Heureusement que tu as gravé ces scènes magiques dans ta mémoire, Electronlibre. Ce devait être sidérant : ce petit oiseau si agile sur ces fleurs exotiques. C'était dans quel pays, en gros ?
C'était au Cameroun, à Yaoundé, Ariane, dans la dernière maison que j'ai habitée et qui bénéficiait d'un jardin immense. Quand je me tenais tranquille sur la terrasse à plusieurs reprises j'ai pu assister à cette scène mais jamais avec mon appareil photo à côté de moi, malheureusement...
Merci pour les précisions, Electronlibre. J'imagine la scène … Tu devais avoir un jardin extra-ordinaire, plein de surprises, digne de la chanson de Charles Trenet mais transposé en Afrique.
12 palmiers immenses, des manguiers, des hibiscus, des massifs de becs de perroquets, des arbres dont je n'ai jamais su le nom, un bougainvillier immense derrière la cuisine qui nous permettait de dissimuler un peu une citerne de 3000 l que nous avions dû faire construire tant les pannes d'approvisionnement en eau étaient fréquentes... Des perdrix, des écureuils, une chouette (ou peut-être plusieurs mais en tout cas une qui se laissait voir... ) Le petit paradis (qui demandait beaucoup de soins) appartenait, avec la maison, à l'évêché de Yaoundé. Tout cela existe peut-être toujours si quelqu'un a bien entretenu l'ensemble...
J'espère que cet eden reste entretenu. Malgré les inconvénients, ce devait être magique de vivre dans un tel endroit. Une amie a vécu plusieurs années à l'île Maurice. Elle aussi a des souvenirs merveilleux.
J'ai oublié, un immense flamboyant à droite de l'entrée... Je suppose que l’évêché loue toujours ses trois maisons sur le haut de la colline de M'volyé ! Elles n'étaient pas luxueuses mais relativement spatieuses quand même et merveilleusement situées. Souvenirs souvenirs...