Les jours précédants un repas copieux, il est préférable de manger équilibré et peu gras.
Petits fours, champagne, une ribambelle de plats tous plus appétissants les uns que les autres et un gâteau en dessert. On sort de chaque repas, en famille ou entre amis, en se promettant de ne pas s’y laisser prendre la prochaine fois, et pourtant… Au diable la petite voix qui nous conseille d’éviter les excès! En hiver, on fait bombance plus souvent. Le corps, lui, doit gérer ces excès et ce n’est pas une mince affaire. «La consommation conjointe d’alcool et de graisses accroît le temps et le travail de digestion, et peut occasionner des ballonnements», prévient Jacques Fricker, médecin nutritionniste attaché à l’hôpital Bichat, à Paris. De plus, l’excès de gras ralentit l’assimilation des aliments. Ils restent plus longtemps dans l’estomac, provoquant une sensation de lourdeur et une gêne à la respiration.
Si on fait relativement attention après ces repas copieux, je trouve qu'il faut en profiter, car ils sont sous le signe du partage et de la convivialité.
Notons toutefois que nos repas copieux actuels n'ont plus rien avoir avec les repas copieux d'il y a 30 ou 40 ans, avec plusieurs entrées, poisson, viande, fromage, desserts, fruits ...