Les associations sont les grandes victimes de la disparition de l’ISF, puisqu’elles ne reçoivent plus les sommes que leur versaient les contribuables fortunés pour réduire le montant de leur impôt. « Les associations traversent une période compliquée. Leur capacité à agir est en danger et des projets sont menacés », confie Aurélie Rose, responsable philanthropie au Secours catholique.