Marius - Tu mets d'abord un tiers de curaçao. Fais attention : un tout petit tiers. Bon. Maintenant, un tiers de citron. Un peu plus gros. Bon. Ensuite, un BON tiers de Picon. Regarde la couleur. Regarde comme c'est joli. Et à la fin, un GRAND tiers d'eau . Voilà ! César ..Et ça fait quatre tiers ! Marius (Pierre Fresnay) - Exactement. J'espère que cette fois, tu as compris ? Raimu - Dans un verre, il n'y a que trois tiers. Pierre Fresnay - Mais, imbécile, ça dépend de la grosseur des tiers ! Raimu - Eh non, ça ne dépend pas. Même dans un arrosoir, on ne peut mettre que trois tiers. Pierre Fresnay - Alors, explique moi comment j'en ai mis quatre dans ce verre. Raimu - Ça, c'est de l'arithmétique. Pierre Fresnay - Oui, quand on ne sait plus quoi dire, on cherche à détourner la conversation. Raimu
Le rosier de Madame Husson (Bernard Deschamps - 1932) - Une rosière, c'est comme qu'on dirait une forêt vierge où la main de l'homme n'a jamais mis les pieds. (Réplique reprise à l'inexacte par Hergé dans "On a marche sur la lune"
Topaze (Louis Gasnier – 1932) Des moutons étaient en sûreté dans un parc. Moutonsssss c’est-à-dire qu'il n'y a pas qu'un moutone, il y a plusieurs moutonssss. Louis Jouvet
La femme du Boulanger (Marcel Pagnol - 1938) - Ah, te voilà, toi ! Regarde la voilà, la pomponnette. Garce, \"pas de grossièreté\" , ordure, c'est maintenant que tu reviens ? Et le pauvre pompon, dis, qui s'est fait un mauvais sang d'encre pendant ces trois jours ! Il tournait, il virait, il cherchait dans tous les coins. Plus malheureux qu'une pierre, il était ! Et elle pendant ce temps là avec son chat de gouttière... un inconnu, un bon à rien, un passant du clair de lune... Qu'est ce qu'il avait de plus que lui ? RIEN ! Raimu
Le schpountz (Marcel Pagnol - 1938) - Tu n'est pas bon à rien, tu es mauvais à tout
Le portrait de Dorian Gray (Albert Lewin - 1945) - Les femmes nous donnent le trésor de leur vie ! un convive - Et nous le reprennent en petite monnaie ! George Sanders une autre : - Navré d'être intelligent, j'oubliais que vous étiez député ! George Sanders
Le cave se rebiffe (Gilles Grangier - 1961) - À quoi je le reconnaîtrais ? Françoise Rosay - Un beau brun, avec des petites bacchantes, grand, l'air con ! Jean Gabin - Ça court les rues, les grands cons ! Françoise Rosay - Ouais ! Mais celui-là c'est un gabarit exceptionnel ! Si la connerie se mesurait, il servirait de mètre étalon ! Il serait à Sèvres ! Jean Gabin
La Guerre des boutons (Yves Robert - 1962) - Si j'aurais su, j'aurais pas v'nu ! Petit Gibus une autre - J'ai une limace dans mon caleçon ! - Et alors, ça t'en fera une de rechange !
Les tontons flingueurs (Georges Lautner - 1963, dialogues de Michel Audiard) Touche pas au grisbi, \"pas de grossièreté\" ! Francis Blanche une autre : Faut quand même reconnaître que c'est plutôt une boisson d'homme. une autre devenue célèbre Les cons, ça ose tout; c'est même à ça qu'on les r'connaît.
Fleurs d'oseille (Georges Lautner - 1967, dialogues de Michel Audiard) - Mes parents sont des proxénètes de l'honnêteté... J'ai été bourrée de morale comme d'autres sont gavés de Blédine... Une morale à eux, bien sûr. Mireille Darc - Je n'ai jamais entendu dire, Mademoiselle, qu'il y en eût plusieurs... Il y a, évidemment, la morale des loups et celle des moutons... l'éducatrice - Chez nous, ça moutonnait... À bloc... Le trio Mérinos... Et toujours avec citations à l'appui, 'Mon verre est petit, mais je bois dans mon verre'... 'Chi va piano va sano' ... 'Santé passe richesse'... 'La vie' ... Ch'ais plus c'qu'était la vie selon Pépère, mais ça devait être bien !... Et puis, j'ai rencontré un homme qui, lui aussi, parlait de la vie. Seulement c'était pas la même. Lui, c'était plutôt 'Mon verre est petit, mais je bois dans c'lui des autres'... Mireille Darc - Je vois. l'éducatrice - Moi aussi. C'est pourquoi je ne prendrai pas la suite de Madame Mère. Je ne ferai pas de petits trous à la station Arts et métiers ! Je connais les raccourcis ! J'ai choisi le caviar ! Mireille Darc - Malheureusement, le caviar n'est pas une solution. l'éducatrice - La merde non plus ! Mireille Darc
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Écoute Bernard... J'crois que toi et moi, on a un peu le même problème ; c'est qu'on peut pas vraiment tout miser sur notre physique, surtout toi. Alors si je peux me permettre de te donner un conseil, c'est oublies qu't'as aucune chance, vas-y, fonce ! On sait jamais, sur un malentendu ça peut marcher...
Il s’appelle Juste Leblanc. - Ah bon, il n’a pas de prénom ? - Je viens de vous le dire Juste Leblanc... Votre prénom c’est François, c’est juste ? Eh bien lui c’est pareil, c’est Juste. - ...
ou encore:
- C'était votre sœur. - J'ai pas de sœur. - Vous n'avez pas de sœur ? Je lui ai dit qui est à l'appareil, et elle m'a dit : « sa sœur ». - Il a appelé Marlène ! - C'est pas votre sœur ? - C'est son nom, Sasseur. Marlène Sasseur. - J'pouvais pas savoir, moi. Elle me dit : « C'est Marlène Sasseur. » Avouez que c'est confusant.
-"Attention, whoever you are. This channel is reserved for emergency calls only !" -"No fucking shit, lady ! Do I sound like I'm ordering a pizza ???"
(trad) - "Attention qui que vous soyez, cette fréquence est réservé aux appels d'urgence uniquement ! - "Sans blague ! Et vous croyez que j’appelle pour commander une pizza ????"
Comment réussir quand on est con et pleurnichard Des artistes comme toi, je fous un coup de pompe dans l'piano, il en dégringole une douzaine ! - Confidence pour confidence, des connards comme vous, je fous un coup de pompe dans la télé, il en dégringole cinquante ! Qu'il s'agisse de rasoirs, de clés de voiture ou de femmes, j'ai tout en double. La tête dure et la fesse molle... Le contraire de ce que j'aime.
Des pissenlits par la racine Je suis pas Lawrence d'Arabie. Je traverse pas le désert sans boire.
Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas... mais elle cause - Ou avez vous appris à dire autant de conneries ? - Deux ans de télé.
Le Guignolo Vous savez quelle différence il y a entre un con et un voleur ? - Non... - Un voleur de temps en temps ça se repose.
- Avoir une femme à bord, ça porte malheur, commandant. Et si une porte malheur, alors vous vous rendez compte avec cinq… - Qu’est-ce que vous voulez que j’y fasse ? Les jeter par-dessus bord ? - Après tout, c’est une idée comme une autre.
Le film : Le Dîner de Cons avec Thierry Lhermitte et Jacques Villeret :
" Il s’appelle Juste Leblanc. - Ah bon, il n’a pas de prénom ? - Je viens de vous le dire Juste Leblanc... Votre prénom c’est François, c’est juste ? Eh bien lui c’est pareil, c’est Juste."
Improvisation totale d'Edouard Baer, à la place du texte prévu, C'est fou comme les autres acteurs arrivent à garder leur sérieux. Ils ont bien fait de garder cette scène avec al tirade improvisée, elle est devenue culte
c'est hors sujet puisqu'il s'agit de pièce de théâtre... Mais j'adore ce passage
"Adieu Camille, retourne à ton couvent"
( "On ne badine pas avec l'amour") de Musset
Adieu, Camille, retourne à ton couvent, et lorsqu’on te fera de ces récits hideux qui t’ont empoisonnée, réponds ce que je vais te dire : Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches, méprisables et sensuels ; toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées ; le monde n’est qu’un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange ; mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c’est l’union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux. On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière, et on se dit : J’ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j’ai aimé. C’est moi qui ai vécu, et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui. [...]
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lalain
11 ans de Petite Feuille ♥
Merci de votre amitié
Félicitation pour ton grade "Premium"
Un grand merci pour ta fidélité et pour ta gentillesse
Félicitation pour ton grade "V.I.P.+"
J'ai la joie de vous annoncer que votre assiduité a été récompensée
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Les Morfalous (1984) Belmondo, la belle Marie Laforêt, Jacques Villeret, Michel Constantin une réplique, et un extrait... ""Celui-là, c'est bien la première fois qu'il fait des étincelles avec sa "bip""
“Vous êtes riche et vous voudriez être aimé comme un pauvre. Et les pauvres on ne peut quand même pas tout leur prendre aux pauvres !” Garance (Arlety) dans “Les enfants du paradis” de Marcel Carné, 1945.