Suicide? Meurtre? Accident? Un demi-siècle après la mort de la star, les scénarios sont encore nombreux. Des dossiers du FBI qui pourraient apporter de précieux indices sont aujourd'hui introuvables.
5 août 1962, une date tragique pour Hollywood. Dans la nuit, Marilyn Monroe s'éteint à son domicile de Brentwood à Los Angeles. Nue, elle repose sur son lit, la main sur son téléphone. A côté d'elle se trouvent plusieurs boîtes de barbituriques vides. Officiellement, la théorie du suicide sera retenue. Une conclusion qui diffère légèrement de celle faite à l'époque par le médecin légiste, qui évoque un «suicide probable». Une nuance qui nourrit tous les fantasmes, d'autant que les zones d'ombres sont encore nombreuses. A l'approche de l'anniversaire du décès de la star, l'agence de presse américaine Associated Press a cherché à se procurer les documents du FBI concernant Marilyn. Comme pour d'autres personnalités de l'époque, parmi lesquels John Lennon ou Martin Luther King, le FBI possédait des dossiers sur Norma Jean Baker. Mais quand l'agence de presse a demandé les documents concernant les mois précédant sa mort, le FBI a tout simplement répliqué qu'il ne les avait pas. L'agence s'est alors tournée vers les archives nationales, qui ont donné la même réponse. Le dossier aurait été placé dans un autre lieu, pour l'instant inconnu. Si certaines archives sont disponibles sur le site internet du FBI, ces écrits seraient incomplets ou censurés. Dans ce contexte, les spéculations – qui n'ont jamais vraiment cessées – sont relancées. Et si l'actrice qui entretenait une relation avec le président John F. Kennedy, avait été assassinée ? Le médecin légiste n'ayant trouvé aucune trace de poudre ou de pilules dans le corps de Marilyn, le Nembutal aurait pu lui être injecté. Certaines rumeurs laissent même entendre que le FBI, le CIA ou la mafia auraient commandité le meurtre. La thèse de du décès accidentelle est également évoquée par le biographe de la pin-up Donald Spoto. Selon lui, une erreur médicale aurait entraîné son décès. Son psychanalyste Ralph Greenson lui aurait prescrit un traitement à l'hydrate de chloral pour l'aider à dormir, une substance mortelle mélangée à des barbituriques. L'énigme de la nuit du 5 août ne sera sans doute jamais résolue. En attendant, la sulfureuse continue d'alimenter le mythe.
bah quand tu vois pour coluche un routier reculer d'un chemin de terre sans etre guider dans un virage sachant qu'il passait par la tous les midis,on est en droit de se poser la question et tant d'autres
avait elle une culotte au dessus de la bouche de metro?
pour le reste poeple , parraitre , et faire sa fortune la dessus
justement en parlant de "p'tite culotte" elle ne portait aucun sou-vêtement car elle n'aimait pas que ça fasse des marques sur ses habits !! par contre, elle les porter pour dormir
bah quand tu vois pour coluche un routier reculer d'un chemin de terre sans etre guider dans un virage sachant qu'il passait par la tous les midis,on est en droit de se poser la question et tant d'autres
petite précision sur l'accident de coluche
un routier non
un camion bènne de travaux public qui entrait sur un chantier
le choc à eu lieu à une vitesse amroximative de 120 km/h ( les routes sont limitée à 90 pour tout le monde )
d'ailleur le chauffeur à été inquiété le temps que les journaleux quittent le térrain et s'intérèsse à autre chose