Fini la poupée Barbie aux mensurations irréalistes, symbole de beauté absolue. En début 2016, Mattel a lancé de nouvelles poupées, plus proches des « vraies » femmes. Plus de taille mannequin extra-fine, mais trois nouvelles morphologies : une très grande, une de petite taille et une autre plus voluptueuse. La marque les a également déclinées en sept teintes de peau différentes, une belle avancée pour s’éloigner de l’image toute puissante d’une beauté blonde, blanche et aux mensurations inatteignables. L’artiste Kay Customz a décidé d’aller plus loin en proposant une poupée atteinte de vitiligo. Une manière de casser les canons de beauté classiques que l’on montre dès le plus jeune âge et de permettre aux personnes ayant cette particularité de mieux s’accepter.