Bienvenue dans cet espace dédié à mes écrits, un voyage au cœur de mes pensées, de mes réflexions et de mes souvenirs.
À travers chaque texte, j'essaie de capturer des instants qui transcendent les frontières du temps, pour les partager avec vous.
C'est ici que toutes mes pages s’unissent, pour former un tout cohérent et plus lisible!
Je vous invite à explorer, à commenter et à voyager avec moi à travers les lignes. Que chaque mot résonne en vous comme il a résonné en moi lors de sa création.
Merci de prendre le temps de lire, d’échanger et de partager cette passion qui nous unit tous ici !
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Un être et la voyance !
Les humains ont des fonctions naturelles, tels les cinq sens qui lui sont attribués, toutefois il ne faut pas oublier que ces mêmes êtres dissimulent d’autres instructions. Certes, très peu cultivent cette recherche, pour autant quelques-uns dont je fais partie se sont vus doter d’une fonction de médiumnité. En ouvrant les pages de ce livre, je souhaite partager les visions de mes nombreuses vies passées afin de donner l’espoir que nous ne sommes pas simplement des êtres de chair destinés à une fin tragique.
Sans entrer dans des explications compliquées, j’aborde plusieurs histoires sous forme de récit et vous transmets du mieux possible mes balades dans ce monde inconnu.
Visionner ses vies antérieures ne coïncide pas à regarder un film à la télé avec une suite logique dans le déroulement des actions, les mémoires du passé nous abordent d’une façon très particulière, elle se fiche des détails sans aucune importance et bondit dans le temps avec une certaine aisance, l’important étant de comprendre ce qu’il s’est passé dans le vif du sujet. Ces écrits ne sont à aucun moment livrés dans une forme imaginaire, tout est bien réel, vécu dans la profondeur de mon ressenti et certains passages résonnent encore de leurs vibrations dans mon être. Cette faculté de redescendre dans les vies se nomme régression. Vous allez découvrir une multitude de facette pour retrouver ses vies.
Une vie sur les mers. Depuis un certain temps j’avais déserté les bienfaits de la relaxation et en ce bel après-midi d’un mois de juin je décidais de remettre un peu d’ouvrage à cette instruction. Ainsi, étalé sur un canapé de jardin en tresses plastifiées de couleur havane, mon être venait épouser les doux coussins blancs ! Prendre place aux côtés de mon âme était devenu une fonction habituelle et il n’avait fallu qu’une simple mesure de temps pour me rallier à l’immensité de l’univers !
Il faisait bon, c’était calme et j’avais l’agréable sensation de mon corps qui naviguait sereinement aux frontières des mondes, je croisais de temps en temps des êtres non incarnés mais j’avais décidé ce jour-là de ne pas engager de conversation, juste l’idée de me laisser porter aux grés de mes visions et de n’être qu’un discret observateur ! Je saisissais volontiers ces instants qui me déchaînaient de la vie harassante que nous attribue mesquinement notre société, quant au beau milieu de la promenade je me sentis expédier dans une cavité à une vitesse extraordinaire, l’image des nuages cessait comme pour m’obliger à venir rejoindre le monde des vivants.
Rien de tout cela, d’un coup et d’un seul, je venais d’atterrir sur une plage.
Je distinguais deux enfants, une petite fille et un jeune garçon, leur âge réceptif se situait aux environs de huit et dix ans, plus encore dans l’exploration du lieu je scrutais les parages et je devinais que cette plage se situait en Angleterre et dans ce même moment une date dégringola dans le filtre de mon esprit, l’époque gravait le dix-septième siècle, année approximative 1640.
Je revenais enfin sur mes deux chérubins, quand soudain, la mémoire de mon âme m’indiqua l’identité des garnements, c’était tout innocemment ma compagne et moi- même, je retrouvais une fois encore une de mes vies passées. Les deux gamins jouaient pratiquement tous les jours sur cette plage et quand ils regardaient la mer, ils déclaraient haut et fort que leur vie se consommerait sur les océans.
Le garçon qui se prénommait Jessy, se devinait en capitaine de la navale anglaise, quand à la fillette qui s’appelait Cecily rêvait d’écumer les flots en habits de pirate, ils passaient des heures et des heures à construire un avenir malgré leur adolescence.
Les pères respectifs des enfants étaient amis de longue date, ils avaient tous deux guerroyé dans la marine puis étaient devenus de simples pêcheurs. Pour autant, les connaissances qu’ils avaient gardées dans le milieu marin allaient donner à Jessy le droit d’entrée dans la marine royale pour lui permettre d’accomplir son plus grand souhait, apprendre à faire naviguer un bateau. Cecily quant à elle, restera dans le village pour grandir au milieu des marins d’eau douce.
Le petit garçon était devenu un homme, il avait réussi son apprentissage et s’identifiait en qualité de Capitaine, ses classes avaient été remarquables et la navigation s’était transformée en une seconde nature, pourtant une malheureuse coïncidence allait orienter son existence à une toute autre affaire.
En effet, une discorde interposée avec un autre capitaine moquera son honneur personnel, le commandement d’un des plus grands navires lui avait été réservé mais son homologue avait saisi une haute hiérarchie pour défaire ce pauvre Jessy de ce qu’il pensait être son plus beau trésor. Rien à faire, même ses excellentes capacités n’étaient pas parvenues à recaler son rival. L’histoire de l’armée se termina donc sur cette anecdote.
Pendant ce temps, Cecily n’avait pas vraiment réalisé ses objectifs de devenir pirate, elle vagabondait d’un bar à l’autre, côtoyait certains pillards de bas étages et assistait essentiellement son père dans le métier de marin pêcheur. Elle était bien partie réaliser cinq ou six sorties en mer avec une poignée de brigands, mais rien de bien majestueux. Quand un jour, avec une agréable surprise elle croisa, dans un vieux troqué, son ami d’enfance, Jessy qui était revenu sur ses terres natales après ses déboires au sein de l’armée.
-Hé Jess, s’écriait Cecily, c’est bien toi ! -Ho, mon dieu, la petite fillette a bien grandi, tu es devenue une jeune femme maintenant. -Toi aussi tu as changé, le garçonnet s’est transformé en homme. Mais dis-moi, quel bon vent te ressuscite dans notre village ? -C’est une longue histoire, disons qu’après avoir touché la gloire, la malchance s’est infiltrée sur le chemin de mon existence et une altercation c’est assez mal terminée, puis sur un coup de tête j’ai estimé que mon rêve n’était plus qu’une illusion. Et toi, es-tu devenue le grand pirate de tous les océans, lançait-il d’un large sourire.
-Ne te moque pas de moi ainsi, Jessy, un jour viendra peut-être accomplir mon rêve.
Les retrouvailles allaient se terminer assez tard dans la soirée, accompagnées d’une flopée de verre servis les uns après les autres, tous deux allaient reprendre leurs histoires de navigateurs là où ils les avaient laissées dans leur tendre enfance. De jour en jour, d’histoire en histoire, Jessy commençait à en avoir marre de ne plus rien faire, depuis son retour il aidait aussi son père à amasser les poissons, mais dans son cœur il ne percevait pas la mer comme un simple rôle de pêcheur, lui qui avait la fibre d’un commandant de bord, se résignait maintenant à cette fonction serait à ses yeux un manque d’enthousiasme et surtout la perte de ses songes.
La vie a ses aléas divers, cependant une circonstance allait permettre à Jess d’envisager l’avenir différemment. Par une soirée ordinaire, dans une taverne, un vieil homme accaparait l’espace de sa voix, il narrait ses exploits de piraterie au travers des mers et des océans, il détaillait les actions de son bateau qui avait dissout aux grappins une multitude de navires marchands. Il est toutefois important de souligner que dans les tavernes, les hommes manifestaient souvent des récits de haute mer. Mais ce marin était différent, pas de superflu, il s’exprimait sans aboiements et ses mots paraissaient décrire une authenticité de mouvements, Jess quant à lui, écoutait avec attention les épisodes de l’auteur. Ce n’est que bien plus tard, dans la nuit, qu’il osa enfin aborder le patriarche.
-Hello mon bon ami, j’écoutais avec attention les morceaux de votre vie en mer et je dois avouer étant moi-même capitaine que vos histoires enchantent mes pensées car pour moi, ma vie est faite pour naviguer sur les eaux. -Hello capitaine, capitaine comment ? -Jessy, capitaine Jessy. -Alors hello capitaine Jessy, je suis ravie de saisir les idées d’un homme qui comprend ce que je raconte, nous avons beau être dans un port, les hommes d’ici sont de petites personnes qui ne s’éloignent jamais trop loin des côtes, si ce n’est pour une meilleure pêche les jours de disette. Dis-moi, que fais-tu les pieds à terre mon capitaine !
Jessy lui raconta donc toute son histoire, ainsi que les incidents de parcours et la cause pour laquelle il était revenu sur les terres de son père. Suite à cela, le vieil homme lui expliqua que la marine faisait état d’individu de haut rang et qu’il devait déjà être heureux d’avoir pu monter les grades sans trop d’encombres.
Les deux hommes se retrouvaient souvent, de cette proximité répétée le patriarche allait inviter Jess à voguer à ses côtés, lui laissant ainsi deux bonnes semaines de réflexion, le temps compté de la prochaine embarcation.
Depuis son retour, Jessy avait également renoué une grande affinité avec Cecily, plus que des camarades d’enfance ils s’étaient tous deux attachés pour être pour ainsi dire jamais l’un sans l’autre.
Alors quand Jess annonça à Cecily que le vieux pirate lui avait revendiqué le souhait de l’accueillir en mer, elle sauta de joie, enfin la liberté, les grands espaces, les flots pour compagnons de tous les jours, sa gaieté était exaltante car elle savait très bien que Jess ne partirait jamais sans elle.
Les deux semaines qui restaient avant le départ furent très intense en dialogue, la projection de la vie sur les vagues harponnant des rafiots de tous rangs renvoyait cette attente encore plus agitée, finalement, les jours s’égrainèrent jusqu’au moment fatidique. Pour une première embarcation de cet acabit, Cecily s’était vêtue tel un pirate, Jess lui, avait encore la coutume de la navale et s’était accoutré d’une veste rouge aux centaines de boutons dorés, le patriarche costumé de ses haillons habituels qu’il portait, quant au reste de la flotte, les mines patibulaires laissaient deviner les derniers verres d’alcool ingurgités. Jess, qui n‘avait pas pour usage d’embarquer des guenilles, cachait son regard de la meute et se retenait à livrer ses pensées. Tant bien que mal, dans cette assemblée multi face, le bateau largua les amarres et des heures plus tard, ne distinguant plus les côtes, l’aventure commença véritablement.
Le deuxième jour pointé son nez, il ne s’était rien passé de cocasse et Cecily aborda alors une discussion avec Jess. -Crois-tu que nous allons attaquer un navire Jess, le vieux me semble assez rouillé, il a plus l’air de vadrouiller les mers que de préparer une stratégie de combat ! -Nous venons à peine de jeter l’ancre Cecily, les espaces sont immenses ici, pour piller un bateau il faut avoir des informations et connaitre qui tu as à attaquer, tu n’es pas à la pêche, crois bien que le poisson n’est pas le même ! Effectivement, pendant leurs discours le capitaine avait mis la barre en direction de la terre, de l’horizon l’équipage distinguait les côtes à quelques miles. -Nous mettons déjà les pieds à terre, s’interrogeait la jeune femme ! -Oui, ma belle, répliquait le commandant du navire.
Nous devons faire une halte à cet endroit, ici c’est un lieu de vieux briscards où toutes les sources orientées sur la navigation des marchands sont cloisonnées dans le repère des pirates, une taverne des contrebandiers en quelques sortes. Tout compte fait, dans l’esprit de la jeune femme cet arrêt devenait plutôt florissant que retardataire.
Effectivement la taverne fourmillait de drôles de pirates, il y avait toutes sortes de personnages, l’atmosphère stockait une belle non confiance des uns aux autres et pourtant c’était bien le repère idéal qui entassait un nombre incalculable d’informations. Après quelques heures passaient dans cette ambiance d’arôme alcoolisé, notre capitaine avait semble-t-il obtenu un renseignement alléchant, sa mine réjouit d’un sourire qui lui montait jusqu’à l’œil nous faisait comprendre en hochant la tête qu’il était temps de quitter les lieux. De retour sur le navire il rassembla la totalité de l’équipage et entama son discours.
Un ami de longue date m’a transmis une confidence, un bateau marchand aux soutes garnies passera demain à quelques miles d’ici, je vous informe que nous allons l’aborder pour lui soustraire sa richesse, nous naviguerons toute la journée afin de se rentre sur le lieu avant lui et préparer ainsi notre attaque le long des côtes qu’il devrait suivre. Reposez-vous le plus possible et n’abusez pas trop d’alcool afin d'être dans les meilleures conditions d’abordage possible. Le chef avait était bref, si bien, qu’aussitôt son discours terminé, il disparut dans sa cabine. Cecily était aux anges, sa première piraterie semblait la rendre encore plus joyeuse, elle ne tenait plus en place sur le pont et allait de la poupe à la proue sans aucun but défini, l’impatience rongeait son corps qui ne demandait qu’à se défouler.
La journée fut calme aucun marin ne parlait, tous semblaient être concentrés sur la bataille à mener le lendemain, sans dire que les mines étaient défaites, l’annonce avait figée l’équipage. Le jour enfin arrivé, notre navire était en place, camouflé sur le flan d’une falaise d’où nous pouvions voir devant nous l’horizon lointain de la route maritime, des bateaux de marchandises.
Dans l'attente le temps semble toujours plus long mais notre impatience n’était pas simplement dû aux accords des heures, c’était aussi la peur que notre bateau tant attendu ne passe pas à l’endroit précis. Quand deux ou trois pirates de notre embarcation se mirent à gesticuler dans tous les sens, une voile rouge et blanche pointa son mat en face de nous, déjà prêt depuis longtemps, quelques secondes suffirent pour prendre en chasse notre voilier. Il nous fallu trois heures pour mettre le grappin sur l’adversaire, sachant qu’ils étaient meilleurs navigateurs que guerriers, le peu de défenses qu’ils avaient furent vite maitrisées, ainsi la moitié de nos gars transportèrent le butin vers notre flotte, pendant que les autres tenaient en armes l’équipage adverse.
Pour une première expérience de piraterie j’avais réalisé que ce n’était pas si compliqué de voler autrui, l’idée que j'avais alors du combat ne correspondait pas le moins du monde à ma formation dans la haute armée, pour cause ces bateaux marchands ne disposaient pas d’escarmoucheurs aguerris et tant mieux car ainsi la tâche en serait que plus aisée. Une fois le pillage effectué Cecily était encore dans l’exercice de l’épée, toute seule en bout de navire elle reproduisait la bataille, ses bras fendaient l’air de toutes parts comme si elle trucidait une horde invisible, cela me faisait échapper un léger sourire de la voir heureuse.
Notre premier magot avait été établi au beau milieu du navire faisant maintenant l’attraction de l’équipage, le capitaine était fier et semblait poser devant cette récolte comme un chasseur venant de tuer un lion dans l’Afrique sauvage. Pour ma part, excepté quelques pièces d’or je ne voyais pas comment être comblé du reste.
Il y avait une quantité astronomique de tissus, une abondance de cuves de vin et des babioles de tout genre, certes très joli mais comment échanger cette moisson en monnaie puisque nous n’étions pas des marchands.
Le capitaine sectionna vite mes interrogations et nous expliqua que notre pillage était réussi. -Je suis fier de vous rétorqua notre chef, ce butin vaut son pesant d’or croyez-moi, voyez-vous ce tissu, il est très prisé par les revendeurs, dans la piraterie chacun porte ses fonctions, nous pillons et d’autre rachètent, il suffit juste de savoir à qui le vendre.
Derrière ce premier acte de piraterie allait sans suivre des dizaines et des dizaines, notre filiation dura environs six ans entremêlée chaque année d’une permutation de certains pirates souvent laissés dans les ruelles d’un port et d’autres recueillis dans les murs de taverne. Notre capitaine prenait de l’âge, au bout de ces années il commença à vouloir lâcher un peu de lest et désira profondément rester à terre, autant d’heures passées ensemble avait créé des liens plus qu’amicaux, de plus dans ce genre d’exercice l’amitié c’était convertie en une belle fraternité. Le jour fut arrivé où le vieillard me laissa les commandes de son navire, je devins enfin capitaine, tout en regardant s’effacer mes souhaits d’amiral dans la marine Anglaise.
Je ne voyais pas non plus notre nouveau métier exactement de la même façon que notre ancien bougre, j’avais depuis longtemps dans un endroit de mon cerveau une idée bien précise, j’envisageais maintenant que le gouvernail était mien, d’aborder un galion. Attention ce navire n’était pas marchand, c’était un bateau de guerre tenu par les conquistadors espagnols, la manœuvre ne serait pas aisée mais mon désir était plus fort que ma raison. Il me fallut préparer soigneusement cette opération, pour cela je devais évincer un grand nombre de mes unités alcoolisées et enrôler une flotte digne de ce nom.
Sans être un secret, j’en avais chuchoté trois mots à Cecily ainsi qu’aux quelques membres qui me suivaient depuis le début de l’aventure et dont je connaissais leurs capacités. Il nous fallu quelques mois, des vingtaines de tavernes, des dizaines de ports mais maintenant mon équipage ressemblait à une véritable embarcation de pur corsaire, il ne restait plus qu’à croiser un galion pour que mon ambition soit accompli. Et la chance allait nous sourire un bel après-midi en haute mer. Il est vrai que nous croisions souvent des navires marchands, mais mon obstination d’accaparer du conquistador désertait l’attention de ces personnages, heureusement pour le moral de mes hommes un galion était enfin en vue, non seulement c’était un magnifique bateau espagnol mais de plus il se composait, comme par magie, que de la moitié d’un équipage normal.
L’occasion était trop délicieuse, cependant comme je le présentais la bataille fut rude, ces hommes étaient affutés au combat et même si nous remportions cet assaut le carnage avait été aussi dans mes rangs, quand un pirate s’engage il sait ce que la vie peut lui réserver, malgré cela il n’est jamais facile d’assister à ces événements, pourtant seul la suite restera conservée. Un galion imposant, d’où les hauts mats érigent de majestueuses voiles gonflées par le vent, j’assistai ainsi à la naissance de mon rêve. Les décennies qui s’en suivirent furent des moments d’allégresses pour des pirates, avec un tel naviguant il était simple de s’associer aux meilleurs bataillons, besogner sur les océans devenait un chemin d’existence, avec nos moissons de plus en plus étoffées Cecily et Jessy étaient devenu deux personnages considérés, ils avaient établi un repère sur une ile esseulée où toutes leurs richesses étaient conservées.
La vision de cette vie coule des jours heureux pendant cette période, elle aurait surement continuée dans ce sens si malheureusement un jour leur destin allez prendre fin. Cecily voulu absolument allez au repère, je ne savais pas trop pourquoi elle insistait constamment, à d’autre instant que celui-ci j’aurais certainement levé l’ancre sans hésitation mais à cette période j’étais méfiant, j’avais observé depuis quelques semaines des individus qui semblaient me pister, je n’en savais pas la raison mais mon caractère de méfiant sentait des ombres pas très bénéfiques.
Cecily était tout pour moi, alors malgré mes soupçons je lui accordais de naviguer jusqu’à notre île. Arrivés près des côtes de notre tanière nous mouillons l’ancre, puis avec une demi-douzaine d’équipage dans la barque d’arrimage nous filâmes vers la terre. Sans le savoir, un autre navire pirate nous avait poursuivi et pendant notre halte mon galion se fit massacrer, c’est à notre retour vers la barque que nous subirent tous le même sort, malgré l’expérience et une défense ardue le nombre adverse nous ôtait la vie.
Comme diraient certains historiens, quand on est guerrier il faut s’attendre à mourir un jour, mais de cette vie que je partage avec vous l’essentiel est d’avoir retrouvé une existence heureuse, les grands espaces, la liberté ainsi qu’un amour au sens le plus profond, de plus si je n’étais pas mort je ne pourrais vous narrer cette histoire.
Maintenant vous pourrez vous faire une idée plus précise quand vous entendrez un sujet sur la réincarnation, ce sont des moments bien détaillés tout en enjambant les années passées, l’exercice ne garde que le nécessaire afin de comprendre les faits d’une vie.
Lydie, Maroussia et killboal ont donné un avis positif
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Dernière édition par Lydie le Jeu 3 Oct - 16:59, édité 2 fois (Raison : Édit le titre en minuscule ! Il te suffit de rééditer pour modifier ton titre ! merci d'en tenir compte !)
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Non Actif à un enterrement par défaut, oui ! Un ami aller à l'enterrement du grand-père de son ami et m'avais demandé de venir aux obsèques. Puisque après, nous devions nous rendre ensemble autre part. Répondant positivement à sa demande nous étions donc en pleine funérailles.
Je ne suis pas un grand adepte de ces cérémonies pour la seule raison que je vois les défunts et je n'aime pas plus que cela, m'immiscer dans la vie privé de personne inconnue ! Bref, nous étions là, dans le cimetière !
J'étais au fond du rassemblement, derrière la foule qui comptait pas mal de monde. Le corbeau (curés, je m'amuse toujours à les appeler ainsi depuis ma communion solennelle et surtout quand le curé de l'époque m 'avais mis une bonne claque car je faisais brûler le tapis de l'église, dieu pardonne tout, mais pas les curés) récitait son bla-bla et toin-toin habituel, quelques faux-culs louangeaient l'homme trépas en lui accordant des mérites de saint, bref, une inhumation classique.
Tout se passait fortement bien lorsque une voix émergeait du ciel ! -Mais que se passe t-il ici, bon sang ! -C'est quoi tout se monde et pourquoi ne suis-je pas là, avec ma famille, je parle et personne ne m'entend. -Je n'osais trop rien dire, mais le monde invisible a ses fonctions que nous ne pouvons esquiver. -Hé, toi le jeune, je sais que tu m'entend, quel est se rassemblement !! -Ecoutez monsieur, vous êtes parti de ce monde et c'est votre enterrement. -Comment ca, je suis mort, mais ca va bien dans ta tête !
Le personnage était en rage, je ressentais toute sa colère, je devinais qu'il n'avait pas encore réalisé l'état actuel des choses, il était à la fin de son voyage humain sans en avoir eu l'idée.
-Je me souviens très bien, j'étais assis sur mon canapé et une douleur ma prise au thorax... Un temps mort venait de couper son récit, un blanc, puis il reprenait.
-Non de dieu, la crise cardiaque, putain je meurt, bordel ! Et là, à cet instant, je sentais la tristesse dans tout son être, de chaudes larmes se faisait ressentir, il hurlait dans la profondeur de son âme, si fort et si bien qu'il y eut un colossal silence.
Il me tardait de partir de cet endroit, enfin la sépulture terminée, je pouvais partir en d'autre lieux. Mais ceci ne suffisait pas à décramponner le disparu, je me suis donc isolé afin d'avoir un dialogue prononcé avec lui !
-Maintenant, tu sais que tu es mort, donc il ne faut pas me suivre indéfiniment, je ne peu pas faire grand chose pour toi, je ne suis pas de ta famille, je n'ai aucunes affinité, j'ai juste cette fonctionnalité qui me permet de parler aux personnes défuntes. -Oui je comprend bien, mais depuis ma crise cardiaque j'essais de parler aux gens et personnes ne m 'entend ni me répond, alors pour moi tu es ma seule issue pour ne pas perdre pieds.
-Ok, je comprend, bon, ce que nous pouvons faire dans un premier temps c'est de prendre un peu de recul, tu vas analyser ce que tu es maintenant et je vais laisser la porte ouverte pour que tu puisse venir vers moi, comprend bien que je ne peu pas vivre avec toi au dessus de ma tête vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Nous nous sommes quittés sur ces mots !
Quelques jours plus tard l'entité revenait vers moi, moins agité plus apaisé.
-J'ai bien analysé les conséquences de ma mort et même si j'ai encore du mal à l'accepter j'ai revécu ma vie, elle a défilé devant moi comme un film en accéléré et tout n'est pas joli-joli. -Je m'aperçois que je n'étais pas l'homme que je pensais être, je suis ici quelque part je ne sais où et dans mon âme il ni a que des regrets, que des maladresses, je suis un sot. Je ne pensais pas qu'après la mort il y avait autre chose, mangé par les vers et houst, fini. Alors ca fait beaucoup en peu de temps, d'un coup tout va si vite, c'est quand même assez flou dans mes pensées, mais un objet me chahute sans cesse comme un refrain !
-Je pense que tout est normal dis-je, quand les gens sans vont de notre monde, il y a souvent ce schéma d'analyse et de compréhension beaucoup se rende compte des mal façons de nos vies.
-J'ai de la peine dans mon cœur, je ne sais pas pourquoi là, maintenant, je deviens si sensible, si heurté avec l'amour, cet amour que je n'ai jamais connu d'ailleurs, ici il n'a plus le même parfum, son nom prend un tout autre sens que j'en ai l'envie de pleurer. -Alors, si je viens une nouvelle fois vers toi c'est pour une bonne raison, une justification essentielle !
-Je dois dire que je n'étais qu'un bonhomme dur et acerbe sur terre, ce male dominant qui commande sa petite famille avec un aplomb de pouvoir, autoritaire avec sang-froid où la tendresse ne se manifestait peut-être qu'après quelques verres d'alcool et pour une idée bien précise la fornication. Bien triste constat, d'ici, pourtant ces aveux m'alloue une épaisse grisaille, un chagrin que je dois libérer, une faute que je dois corriger, et pour effectuer cela j'ai besoin que tu représente ma personne envers ma femme.
De ma fraîche expérience je ne savais que dire, faire l'intermédiaire n'est jamais facile surtout envers une personne qui n'est pas de son entourage mais bon, cette histoire m'avais touchée et je me devais de faire un effort.
La visite chez la femme avait été prise suite à un rendez-vous demandé par mon ami, le sujet avait eu pour mode indicatif, un événement important concernant son défunt mari, la dame avait gentiment accepté notre rencontre.
Après quelques banalité de politesse j'avais orienté mon discours en ce sens ! -Etes vous croyante madame !! -Disons que je suis issue d'une famille catholique et de préférence croyante sans vraiment être pratiquante. -Croyez-vous à la vie après la mort !! -Cette question est bien étrange, j'aimerais bien y croire mais aucun critères ne me laisse aller vers cette confirmation, mais pourquoi donc cette question ? -Disons que c'est justement le sujet de ma visite, depuis mon enfance je parle avec le monde de l'invisible se n'est jamais facile à expliquer mais c'est ainsi, j'étais aux obsèques de votre défunt mari et celui-ci est venu me parler et il me supplie de venir vous délivrer un message.
Il régnait une atmosphère peu ordinaire, cependant ma démarche pas si facile et l'annonce encore plus étrange ne pouvait que l'interloquée, et c'est suite à certain rapports confidentiels qu'il m'a semblé percevoir chez elle une forme de réalité. Mon but n'était pas d'en faire une adepte, je venais juste faire l'émissaire, poster ma lettre et me sentir libéré de la tâche pointilleuse !
La fin du message était l'indulgence et il expliquait ceci : Pardonne moi ma bien aimée, excuse moi d'avoir été si rustre, ma boètie n'aurait jamais due être, j'ai le regret de ne pas avoir employer le mot je t'aime chaque jours tellement aujourd'hui j'en discerne le sens profond, acquitte moi de mes erreurs, je ne te demande pas l'absolution mais juste la tolérance pour mettre mon âme en paix !
Je ne peux pas dire que la narration du message avait déversé de gros sanglots, on devinait raisonnablement une étincelle dans ses yeux comme si les mots étaient bien accueillants mais arrivés un peu trop tard. Ma jeunesse aidant, je me faisait pas durer l'élocution plus longtemps, heureux d'avoir remis le dit message, je m'en suis aller !
La leçon de cette expérience m'a procuré cette richesse de la vie que nous devons dire et faire les choses de notre vivants afin de ne pas les regretter juste après notre départ !
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33lynel
Félicitation pour ton grade "Premium"
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J'ai la joie de vous annoncer que votre assiduité a été récompensée
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Félicitation au Concours : Le printemps des citations "du joli mois de mai"
Cela faisait un certain temps que nous dialoguons de choses et d'autres !
Je dois dire qu'aujourd'hui l'univers est merveilleux, je me trouve dans un endroit paradisiaque, au milieu coule un ruisseau son eau est limpide transparente, de droite et de gauche sont garnies de belles plantes verte aux feuilles incroyablement larges, le fond du décor propage des reflets multicolores qui scintillent ca et là, puis, assise sur un rocher mon interlocutrice rayonne de son énergie étincelante.
Quand au milieu de notre discussion elle me demande ! -Dis moi es tu de préférence optimiste ou plutôt pessimiste !! Je pris quelques secondes de reflexion, et je lui retourne ceci : -Connais tu l'histoire de la page blanche et du point noir !! -Non, je ne connais pas mais je reste toute ouïe.
-Tu prend une grande feuille blanche et avec un stylo noir tu fais un beau point au centre de celle-ci. L'optimiste va dire mais non la page est toute blanche tout va bien. Le pessimiste va insinuer houlà-là la feuille est toute noire, attention. Et moi je fais parti de la troisième catégorie ! -Ha, bon et quelle est ce critère !! -Le réaliste, lui va exprimer qu'il y a une feuille blanche avec un point noir au centre de celle-ci, c'est tout, ni plus ni moins. -Donc tu te considère réaliste, j'aime bien cette rhétorique, elle me paraît juste et équilibrée.
Elle reste un moment sans rien dire, me fixe droit dans les yeux et de ses mains sort une feuille blanche, puis avec son doigt elle dessine un gros point noir dans le centre du papier, elle agite la feuille et tout se met à se déplacer.
-Maintenant dis moi sous quel critère et d'un point de vue spirituel tu peux analyser ce que tu vois ! -J'identifierais la couleur blanche à la lumière et le point noir à l'énergie négative, quand au fait que tout est mobile je dirais que les énergies sont en mouvement et communique entre elle. -Tiens donc j'ai juste rajouté la phrase point de vue spirituel pour que ton réalisme disparaisse, il s'agit juste d'une feuille blanche avec un point noir, la seule différence est que l'ensemble se déplace.
-Je dois avoué que tu m'a bien eu, mais je saisi cela comme un enseignement. -Voir des événements ne consiste pas non plus à les interpréter, à vouloir sans cesse croire que dans chaque image se cache un indice ne fait bien souvent plus défaut que qualité.
J'ai pris cette conversation car elle me paraissais pertinente. Le reste de ce voyage ce passa merveilleusement bien, elle me fit voir la terre de la haut et me projeta des images d'elle dans quelques années, je dois avouer que c'est assez troublant mais ceci reste une autre histoire !
Il faisait agréablement tiède de voyager cette après-midi, j'étais donc suspendu dans l'invisible comme un nuage se laisse bercer dans le ciel. Rien de particulier si ce n'est cette légèreté où le corps baigne dans l'apesanteur, c'est au gré de tout ceci que je faisait la rencontre d'un être enseignant !
Il avait le visage affilé et très bien dessiné, de petites oreilles bien plaquées, une chevelure aérienne venait de temps à autre glisser sur une partie de sa figure, il se tenait droit les mains juste croisées tenant les coudes. Son aura libéré une belle énergie aux multiple couleurs et sur sa gauche au niveau des ses épaules se tenait en lévitation un livre, il avait une couverture en cuir marron et était écrit la Loi.
C'est ce bouquin qui attirait le plus mon attention si bien que l'individu me solliciter de cette interrogation !! -Es-ce le livre ou son titre qui te captive si ardemment ! -Heu, non c'est surtout qu'il tienne tout seul en l'air qui m'amuse énormément, mais aussi la Loi, pourquoi La Loi il y en aurait qu'une !! -Mieux que cela mon ami, c'est son titre mais simplement pour expliquer qu'il ni en a pas. -Mais les lois sont faites pour qu'il y est une justice, non !
-Nous y voilà, l'anguille sous roche se trouve ici, à ce point précis, si tu pense qu'il y a une justice alors tu pense aussi qu'il y a injustice, mais qui défini le juste de l'injuste ! -C'est assez simple, le bon et le mauvais, le bien et le mal etc.. -Donc tu pense que le bien est le juste et que le mal et l'injuste ! -Oui c'est ca. -Mais si le mal n'existait pas alors le bien non plus puisque c'est lui qui l'identifie, je te donne un exemple à résoudre, tu es limité de conduire à 100 km/h et tu as une voiture qui peut aller jusqu'à 200 km/h, tu roule à 140 km/h, qui est juste et qui est injuste, le conducteur, le fabriquant de voiture, la loi qui interdit de rouler au-delà d'une certaine vitesse et qui dans un même temps autorise à construire des voitures avec une puissance qui dépasse les autorisations !
-D'accord, vu comme ceci, tout le monde à tort et personne n'a raison, alors à quoi sert la loi ! -Tu devrais dire l'obligation au lieu de la loi, ici elle t'oblige à avoir tort, se n'est ni une loi, ni une justice, c'est un impôt !
-Les premières formes de lois sont apparues il y a 6000 ans environs en Mésopotamie, mis en place pour protéger la propriété, l'utilisation de la force, l'injustice et autres sujets. Quant à la justice quand un homme avait commis une faute, on se vengeait non seulement sur lui, mais sur sa famille et ses proches. Par la suite, les hommes ont rendu justice en appliquant le vieux principe Oeil pour oeil, dent pour dent, appelé aussi, Loi du Talion. Progressivement, la notion de vengeance a été remplacée par celle de justice, avec ses réparations et ses peines définies par la loi.
-Si je comprend bien ton message, les lois n'existent pas ! -Oui, effectivement, les lois sont crées par pouvoir, crois-tu que les êtres vivants sont si infantiles pour leur empiler des interdits. Mais le plus grave est que vous mettez des lois partout et même dans votre spiritualité. Nous entendons souvent la loi de cause à effets que vous nommez karma, les lois universelles de la spiritualité, la loi de la résonance, la loi de l'unité etc... Mais qui instaure c'est dites lois, la vie n'a pas de loi si ce n'est quelle doit vivre.
-Oui, mais si nous enlevons les lois ne crois-tu pas que ce serait l'anarchie sur terre ! -Si les humains étaient sensés ils comprendraient que sans aucunes lois le monde s'appellerait LIBERTE. -Merci à toi de cet enseignement mais je ne suis pas certain que les humains soit assez évolués pour adopter ce monde pourtant si séduisant.
L'être sans est aller et je suis revenu dans mon corps !
Les mondes mystérieux ont toujours captivé ma curiosité, mes pensées quant à elles ont perpétuellement engagées mon esprit à approfondir la compréhension des histoires, des mythologies ainsi que des légendes. Attention, je ne suis point en train de faire une exploration des cours historiques scolaires, mais simplement, je demeure persuadé qu’un raisonnement logique se dissimule au dos de ce sujet.
Pour autant, comment aller investir une vérité puisque tous nos livres racontent à peu près les mêmes histoires ! Ayant fait le tour des informations que j’avais pu rassembler pendant des années, j’avais normalement laissé tomber mes enquêtes. C’est une rencontre qui, bien plus tard, allait combler les intrigues inconnues des légendes.
Je voyageais comme à mon habitude dans les galeries du temps, quand ma vision se stabilisa dans un décor champêtre, une clairière parsemée de mousse où de petits arbustes s’entremêlaient aux feuilles des fougères, la couleur verte dominait l’endroit. Soudain, j’apercevais un ruisseau, il venait comme par enchantement traverser la végétation, puis c’était au tour d’une cascade sorti de nulle part qui bouillonnait l’endroit, je pensais quelques secondes, quel est ce lieu étrange qui se construit sans arrêt !
A peine ces mots franchissaient mon esprit, qu’un pont de bois avait été scellé au centre du site, ensuite ce fut un arc en ciel qui franchissait le ciel, donnant l’éclat de ses sept peintures, des champignons avaient eux aussi poussé, s’invitant au décor, je devais avouer que c’était agréable comme un conte de fée. Puis le silence, une immense quiétude envahissait le tout, si bien que j’entendais maintenant ma respiration. C’est un bruit, provenant d’un taillis, qui m’intrigua, quelque chose bougeait le feuillage, je fixais le regard en direction du froissement et attendais patiemment qu’un intrus soit visible ! Rien, je ne voyais absolument personne, j’étais tellement concentré sur ce bruissement, que j’avais oublié le reste de l’ambiance, c’est un ressenti derrière moi qui détourna ma concentration, je discernais une énergie pareille à un souffle humain, rapidement je tournais la tête et là se tenait un être.
Il était assez ordinaire, si ce ne fut une gabardine flottante entre ses mains qui me captivait, elle ondulait pareille aux vagues de l’océan, et pourtant l’individu ne produisait aucun geste. -Que regardes-tu si attentivement formulait l’homme ! -C’est ta cape qui m’intrigue, elle me semble étonnante de naviguer ainsi sans que tu y mettes de mouvement ! -Je viens à ta rencontre pour une bonne raison, cette pèlerine est l’ustensile qui va nous permettre de voyager, elle représente la porte des légendes. Comme tu as pu le remarquer avant mon arrivée, l’endroit où tu te situes engendre les images au fur et à mesure du temps, mais au-delà de ce seuil, l’histoire des légendes t’expliquera ses vérités !
Il venait juste de m’expliquer sommairement les fonctions de son attribut que d’un balancement de ses mains la pèlerine nous enveloppa tous deux. Quelques secondes occasionnaient un vide, puis un tunnel assez sombre défilait à toute vitesse, enfin devant nous une lueur dessinait une porte brillante qui attendait notre arrivée. J’avais dû traverser l’entrée sans me rendre compte car je me trouvais maintenant dans une salle avec milles étagères et sur un côté de la pièce une cabine se dressait. -Nous voici arrivé mon compagnon. Ici vois-tu, c’est la salle des prospections, sur les étagères sont disposaient les documents ayant attrait à toute les légendes ! La cabine que tu perçois sert à infiltrer le temps, quand tu auras sélectionné un document il suffira de t’installer dans cet endroit pour rejoindre le monde des mythes.
En ce qui me concerne je ne suis que le guide qui te permet d’atteindre ce lieu, donc je vais te laisser explorer ce monde passionnant. C’est ainsi que je me retrouvais seul dans les étalages, semblable à nos bibliothèques terrestres, je déambulais d’un manuscrit vers un autre ! Les premières feuilles n’avaient pas d’image, elles étaient blanches, inscrites simplement d’un titre, bizarrement je retrouvais toutes nos légendes, du moins rien ne me paraissait étranger, tandis que je continuais ma visite mon regard vint s’avancer sur un livre.
Il était recouvert d’un épais cuir marron, armé d’une sangle qui semblait le maintenir fermé, intrigué par cet objet différent des autres je le saisissais dans la hâte d’ouvrir sa première page, la bride s’enleva sans problème, ainsi à l’ouverture il était écrit Voyages aux pays des légendes ! Mais le plus surprenant dans cet ouvrage était son contenu suivant, il ni avait rien que des pages vides, sans aucun écrit, je pensais donc à la cabine ainsi qu’aux instructions que m’avait livrées le guide !
J’entrai dans celle-ci, refermai la porte et attendis avec impatience qu’il se passe quelque chose. Un instant plus tard, le livre s’évapora de mes mains. Soudain, je ressentis l’atmosphère se mouvoir, quand un tourbillon me saisis tout en me propulsant dans un couloir aux parois jaunes, sous mes pieds s’actionnaient des dalles de pierre en s’illuminant, qui m’invitaient sur un chemin tracé, je n’avais alors plus qu’à me laisser guider.
Après avoir jalonné une bonne cinquantaine de pavés lumineux, j’entrai dans une cours, un être vêtu d’une toge à la façon des philosophes grecs m’entendait. -Te voilà enfin mon élève ! Au lieu de lui répondre j’analysais le personnage, il me faisait penser à ces vieux profs du lycée qui semblaient détenir la connaissance absolue sur la matière de leurs cours, il ne manquait plus qu’un bureau installé sur une estrade et un tableau noir sur le mur pour que je me retrouve de nouveau sur les bancs de l’école. -Allons mon garçon, veux-tu bien me prêter attention ! -Oui, oui monsieur suis là. Quelle espèce de pression ce type, eh, je voyage dans l’astral, je ne vais pas me faire enguirlander quand même, mer… -Tu es dans le bastion des légendes et j’en suis le gardien, tu dois avoir toute ton attention mon garçon pour pouvoir visiter le temps. Grrr, il m’énerve avec « mon garçon » l’énergumène. -Bon écoute, je dois te poser une question, que penses-tu des légendes ! -Ce que j’en pense, pas grand-chose à vrai dire, si ce n’est que j’ai toujours estimé que dans toutes ces histoires il devait surement se dissimuler une part de vérité.
-Tu ne crois pas si bien dire, vois-tu, certaines légendes n’ont pas été fabriquées par les humains, même si il est exacte que la majorité sont des contes de fées terriens, il en demeure pas moins que la légende est faite pour mieux comprendre l’histoire de votre monde. Avant d’aller au-delà, élaguons de suite ce qui ne nous servira à rien, nous n’allons pas énumérer les récits un à un se serait une longue besogne, je vais simplement te parler sur ce qui est fondé !
La terre porta jadis des créatures différentes, les années qui séparent ce monde du votre sont si importantes que le souvenir vous semblerait une difficulté insurmontable, cependant une des bestioles que vous avez encore gardée de vos jours a bien existé. As-tu idée de l’animal dont je parle ! - Sans être méchant cher professeur il ne faudrait pas me prendre pour un lapereau de six semaines non plus, le seul animal qui représente une légende ancestrale c’est le dragon bien entendu. -Tu as une drôle façon de t’exprimer mon garçon, mais ton analyse est juste et même si je sens en toi une certaine tension envers mon personnage le temps l’ôtera !
Bon, notre fameux dragon a parfaitement existé, bien avant votre monde contemporain, bien avant votre moyen âge, bien avant votre préhistoire. Ainsi, tu saisis que ce temps est très lointain, il n’était pas exactement non plus la réplique de l’image que vous en avez gardée. D’ailleurs, vos archéologues se sont leurrés sur certaines analyses de squelettes soit disant dinosaures.
-Tu veux dire que certains dinosaures seraient de vrais dragons ! -Oui mon ami, quelques ossements retrouvés appartiennent aux dragons, la problématique pour votre science c’est qu’elle n’a pas connue, ni les dinosaures, ni les dragons, alors comment en faire la différence. De plus, vos datations sont approximatives et plus la trouvaille est loin de vos années et plus vous vous trompez sur l’exactitude de la période !
-Veux-tu dire que nous sommes dans l’ignorance et la tromperie dans notre société ! -Sans aller aussi loin, je dirais que vous avez une connaissance contrefaite. Regarde un peu la dissonance de vos esprits, le dinosaure a existé, vous en êtes tous certains, par contre le dragon est une légende, donne-moi une seule explication, pour quelle raison ! -Disons que posée comme ceci ta question ouvre l’esprit, je pense que nous sommes formatés de telle sorte que personne ne fait plus attention et répète bêtement ce qui est dit depuis l’enfance.
-Tu vois bien que mon dragon a autant de chance d’avoir existé que vos dinosaures ! -Effectivement, nous ne pouvons le nier, mais tu dis que les dragons ont vécu bien avant les dinosaures, alors comment se fait-il que nous le retrouvons dans nos histoires, à l’époque des chevaliers ! -Ta question est intéressante, je t’explique. Au moyen âge, les templiers trouvèrent des manuscrits étranges, dans les collines du désert de Jérusalem, dans une cavité était dissimulée des ouvrages écrits par un peuple inconnu.
Pour bien comprendre ce qui va être dit ensuite, il faut savoir que ce peuple était composé d’une grande masse d’êtres médiumniques, je ne dis pas "prophètes", car le sens resterait trop axé sur vos religions et orienterait les récits sur une mauvaise voie. Ainsi, avec leurs capacités de voyager dans le temps, comme tu le fais d’ailleurs avec moi, en ce moment, ils retranscrivaient l’histoire du passé. Les manuscrits décrivaient la vie des hommes et des dragons… -Il y avait des hommes avant les dinosaures ! Lui coupais-je la parole. -D'un léger sourire il semblait chercher la meilleure façon de me donner une réplique !
Ecoute, si l’homme n’avait pas été présent le premier sur terre, cela voudrait dire que l’âme des dinosaures est plus vielle que celle des humains, or s’ils ont disparût c’est qu’ils n’avaient qu’un simple passage à faire sur cette terre, d’ailleurs leurs âmes viennent d’un autre univers, mais restons sur notre histoire, veux-tu.
Je disais donc que les écrits expliquaient la vie avant votre préhistoire, les textes avaient été volontairement dessinés, ainsi les gravures avaient donné une compréhension aux templiers. Vous savez qu’environ 65 millions d’années une météorite est venue terrasser la vie sur terre, mais ce que vous savez moins, c’est qu’environ 300 000 ans avant cette date, un autre météore était déjà venu sacrifier le monde sur terre. C’est cela qu’avait découvert le peuple des montagnes ainsi que les templiers des années plus tard !
La terre était donc peuplée de créatures tout à fait différentes et les humains étaient quant à eux des géants, les dragons figuraient comme l’animal proche des hommes. Il est bien dommage que les templiers aient bâtis une légende, au lieu de mettre à jour leur découverte, encore une fois c’est la religion qui était le tribut, elle ne tenait pas à perdre son pouvoir en diffusant des anecdotes antécédentes à leur dieu, les légendes sont donc nées sur des écrits pourtant existants. Les dragons ne crachaient pas de feu, ils avaient un corps allongé avec une grosse tête, des ailes d’une grande envergure, des pattes arrières bien plus larges que celles de devant et contrairement à toutes les attentes, ils avaient des plumes !
Cet animal avait été apprivoisé par les hommes qui vivaient sur terre à la même époque, le dragon n’a jamais eu de fonction magique, ce sont les légendes qui ont inventées le dragon que vous connaissez. -Les dragons étaient juste des animaux domestiqués par les êtres qui vivaient à la même époque, c’est tout ! Disais-je étonné. -Bien évidemment mon garçon, s’amusait-il, vous êtes une drôle d’espèce quand même !
Regarde, vous vivez tout naturellement, mais vous croyez sans cesse que le monde a porté une magie qui vous a oubliée, le seul enchantement est celui de la perfection de tout ce qui vit, vous vivez tous les jours à ses côtés mais sans jamais y prêter attention, étrange non ! Vous avez besoin d’un héros dans chacun des récits, comme si votre véritable place n’avait aucune importance, c’est votre plus grande erreur. Tu es venu ici aux pays des légendes pour savoir que les surhommes n’ont jamais existé, certains êtres humains ont eus sur votre planète des missions aux tâches extraordinaires pour le bien de votre évolution, mais arrêtez de supposer qu’ils avaient des attributs physiques différents !
Les mythologies en générales ont bien eu des personnages qui ont foulés la terre, mais leurs histoires ont été embelli d’une telle façon que vous ne pouvez plus connaitre ce qu’ils ont conduit sur terre. Ceux qui pouvaient être des demi-dieux dans ces époques lointaines ne seraient aujourd’hui que de vulgaires voyants, c’est pour cette raison que les prophètes n’ont pas disparu, ils se sont plutôt banalisés dans la masse sociétaire. Il venait de s’arrêter sur ces mots mais voyant que j’étais resté béat il s’interloqua.
-Tu as l’air déçu mon bon ami ! -Pas déçu non, mais je comprends mieux la stupidité des humains qui fouinent sans cesse dans leur esprit pour trouver du fantastique, alors que la vie se passe dans le présent. Néanmoins, je t’avoue qu’inconsciemment j’attendais aussi comme mes semblables du féerique, je suis quand même heureux que cet endroit ramène les êtres à prêter plus d’attention à ce qu’ils sont dans le moment présent de leur existence !
-Je pourrais te parler plus précisément de certains hommes venus sur la planète accomplir des bienfaits, mais la première leçon était celle-ci, rassure toi, maintenant que tu sais où je me trouve nous aurons l’occasion de nous revoir et d’aller visiter d’autres horizons. -Je te remercie de ton savoir et de ta sagesse, j’avais une vision caricaturale de ta personne en arrivant, qui était fondée sur des années de jeunesse avec des professeurs pas toujours compétents. Sur ces dernières phrases j’avais repris le tunnel en sens inverse, j’étais resté quelques minutes dans la clairière enchantée puis réintégré mon corps physique d’humain.
Les voyages sont toujours différents mais à chacun d’eux j’apprends à rester humble malgré les facultés qui me sont offertes, j’ai toujours dis que savoir c’était comprendre et que comprendre c’était savoir, ceci est le début de la connaissance !
Tu nous as annoncé dans ta présentation [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] que tu aimes écrire, preuve en est j'avoue que tu m'épates un peu, sans vouloir être indiscrète, la littérature et l'écriture faisaient partie de ton job ou tu fais ça pour le plaisir seulement ?
Je n'ai suivie aucune ligne de littérature, même loin de là ! J'ai commencé à écrire pour vider ce que je ne pouvais parler dans les années 1980, puis un jour certain de mes amis(es) m'ont lus, et m'ont conseillé de partager mes écrits !
J'écris comme je ressens les choses, c'est naturel, mais je ne veux pas être écrivain, du moins pas tant que je puisse aller travailler dehors dans la nature, elle que j'aime tant !
Cette fois c'est décidé, je sors plus loin, vraiment plus loin ! Pour être sûr que derrière notre univers ce trouve aussi une vie.
Pour ce faire je dois avoir besoin de quelque bases, plus pécisement une orientation, alors une fois stabilisé dans mon être, ma conscience dédoublée, je faisais appel à un enseignant.
Une belle lumière scintillante de sa couleur violette, virvoltée dans le lieu ! L'énergie présente avait une force féminine, puissante, endurante et douce, un visage se dessinait, une peau lisse éternellement jeune, des yeux bleus avec une profondeur d'âme qui fige l'attention.
Contrairement à mes habitudes je ne demandais pas qui elle était, son énergie m'enveloppait et cela me suffisait ! Juste une question, je désirerais aller au-delà de notre univers, crois-tu que ceci est possible !! La présence me dicta, télépathiquement un plan, comme chez nous une carte routière, il y avait des lignes jaune, d'autre bleu, puis quelques une rouge, également des points de multiples couleur.
Je venais de comprendre quelle serait ma guidance pendant ce voyage.
A peine ces images consumées, que nous êtions dejà dans les couloirs du temps, ces coursives que j'aime tant, mais aujourd'hui pas trop le temps de flaner, l'expédition est longue !
La vitesse de déplacement était faramineuse, je pense que la vitesse de la lumière fût largement débordée, malgré ceci j'arrivais quand même à percevoir de temps à autre quelsques scènes de l'astral, mais mon objectif était ailleurs et donc ces représentations ne faisait que simple lueur.
Au bout d'un certain temps, je ne saurais l'évaluer, nous arrivions devant une immense porte verdoyante, elle était si volumineuse quelle stoppait nette notre avancé. Nous êtions immobilisés, là ! Il se passait quelques secondes et un être sorti de je ne sais où, il s'activait devant la porte pour semble t'il l'ouvrir. C'était un bonhomme trapu, gros et court, il ressemblait à un troll, ces troll que nous voyons dans les film de science fiction, ni il nous parlait, ni il nous regardait, son seul geste était d'ouvrir la grande et robuste porte !
Une fois celle-ci ouverte, nous avions était aspirés, absorbés par delà l'entrée, une énergie de couleur blanche venait de nous envelopper, elle avait une couleur blanche moins brillante que chez nous mais par contre une puissance à vous cadenasser les épaules, cette énergie nous compressait pareil à une viande que l'on emballe dans un sac sous-vide. Ma guide me faisait un signe de patience, quelques instants sans bouger et surtout respirer continuellement, puis ca aller de mieux en mieux !
Il existe bien un autre univers, un endroit différent au notre !
Une entité de forme nébuleuse apparaîssait face à nous, j'avais beau essayé de capter quelques énergies en elle mais rien ni faisait, elle était vraiment neutre, une neutralité qui ne laisse rien deviner, ni bien ni mal, ni blanc ni noir, rien, l'indifférence totale ! L'être laissait échapper enfin une phrase, du moins plusieurs mots, sa télépathie était tellement dominante que j'avais l'impression que tout mon corps et mon entourage raisonner de ses mots ! -Que désirez vous, invités, vous êtes à l'entrée de deux mondes, si une raison n'est pas de mise alors vous n'avez rien à faire en ces lieux.
Timidement, j'exprimais une explication toute relative pour justifier ma présence ! -Je désirais juste savoir de là où je viens si il y avait vraiment une limite à notre monde et donc un passage vers un autre monde. -Ici reprenait l'entité, c'est l'endroit ou il y a eu l'impact de deux univers ce qui à créer un autre univers, le votre, il est relativement jeune et nous l'alimentons en énergie pour qu'il puisse continuer son expansion et former ses lois fur et à mesure de son évolution !
C'était incroyablement pertinent, mon esprit, mon Moi, mon être venait de s'ouvrir à l'infini, j'étais comme démultiplié, je comprenais tout, ma mémoire était devenue la plus grande bibliothèque de l'univers, je devenais l'expansion, quelle expérience, quelle sensation, être et ne plus être !
Suite à cette rencontre l'être s'approchait de moi, il prenait un espèce de caillou rouge rubis et me le déposait à l'intérieur au niveau du sternum, puis il dit ces mots, puisque tu es venu jusque ici je te remet amulette de la perception, elle t'aidera pendant tes voyages astraux, son énergie sera une partenaire, maintenant va car ici n'est pas un endroit pour toi !
Nous venions de quitter les lieux à une vitesse encore plus phénoménale que pour notre arrivée, j'étais presque nostalgique de perdre cette sensation d'immensité de savoir illimité ce grand tout qui m'accueillait, mais bon dans un voyage il y a l'aller mais surtout le retour.
La guide violette qui m'avait suivie avait brusquement disparue, je me retournait vers la droite, la gauche, derrière, plus rien, envolée comme une poudre de perlimpinpin!
Je me questionnait à voix basse, quand un son muremurait à mon oreille, l'entité qui ta suivie pendant ce voyage n'est autre qu'une partie de ta conscience, celle qui se situe au niveau du point coronal, donc une partie de toi !
hééé [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] , j'ai lu et c'est vraiment trippant ! Le narrateur part en voyage au-delà de notre univers et rencontre des trucs de fou. Il y a une guide lumineuse, une porte gardée par un troll, et même une entité neutre qui lui explique des choses incroyables sur l'univers... À la fin, il reçoit une amulette de perception et réalise que sa guide était en fait une partie de lui-même C'est un voyage spirituel et cosmique qui te fait réfléchir sur la nature de l'univers et de notre propre conscience... vraiment, ça vaut le coup de lire !
Heureusement, La Lumière est omniprésente et forcément en nous. Les voiles de l’illusion sont déchirés et il ne nous reste qu’à observer ce qui se révèle au fond de nous afin de s’en libérer et de cesser de se fier sur l’extérieur pour nous conscientiser ! Cette Lumière joue un rôle évident et présente une nouvelle façon de penser, de croire, de faire ou d’appliquer au-delà de tout ce que nous connaissions jusqu'à maintenant.
Cette mise en oeuvre orchestrée par la Lumière permet de déconstruire tout ce qui était éphémère, dont nos croyances et nos concepts quels qu’ils soient. Ce revirement de la conscience se veut plus réel et plus évident que jamais. Le retour à l’éternité se pointe et nous serons bientôt un très grand nombre à en constater les effets !
La conscience des êtres humains est sur le point de basculer vers une Science plus exacte, plus transparente, plus transpersonnelle, plus multidimensionnelle. Celle-ci est démontrée et réactualisée ! Le point de vue humain et limité, mais il est en train de basculer vers un point de vue élargi, cela a pour conséquence de rétablir l’ordre naturel dans la conscience ordinaire, la religion, la philosophie moralisatrice, les concepts ancestraux et les dualités qui perdurent depuis des centaines de milliers d’années !
Le point de vue humain était axé sur une spiritualité matérialiste, conceptuelle, doctrinaire, dogmatique ou ancestrale, ce qui force, encore aujourd’hui, l’être humain qui s’éveille a se détacher des concepts, des méthodologies et des philosophies qui ne tiennent plus la route !
Ces approches désuètes de l’ego avaient, jusqu'à maintenant, préséance sur la magnificence du savoir du Coeur. Plusieurs continuent encore à se faire tenir la main en gardant toujours le même mode d’apprentissage et d’éveil de conscience qui entretient des habitudes redondantes et obsolètes !
Mais aujourd'hui certaines âmes sont venues de partout dans l'univers car le moment terrestre est sacré et même si l'ère du verseau ou l'âge d'or appelé ici sur terre n'est pas exactement ce qui va se passer cela y ressemble fermement. Alors âme du monde préparer vous à la grande attraction !
Depuis le temps que je pratique les voyages astraux j’ai eu l’occasion de rencontrer une multitude de personnages sur un chemin spirituel, beaucoup n’ont pour seul appuis qu’une référence extérieure, ils ne vivent pas les actes mais s’enrichissent des expériences des autres. Certes, je ne remets en rien leurs observations, malgré que certaines explications soient fausses, soit elles ont été mal interprétées, soit elles ont été colportées par des êtres qui n’ont pas voyagés aux bons endroits !
Il faut savoir que l’univers est immense, de même que les plans vibratoires, or nous n’allons pas tous dans des coins identiques, ce qui peut être compris sur un niveau de conscience n’aboutit pas toujours à son sens réel. Il faut s’imaginer la connaissance comme un escalier, les marches s’escaladent les unes après les autres, ainsi les informations du palier d’en dessous ne sont souvent qu’un simple horizon de la compréhension de celui du dessus !
Si j’aborde ce sujet sous une forme différente c’est pour aider certains êtres à ne plus nager dans le même marais depuis trop longtemps, la pensée fait acte de propulsion dans notre chemin, à savoir qu’à chaque compréhension nouvelle notre chemin fait un pas de plus. Pour ma part, je ne prends pas ce tunnel noir qu’énormément de gens relatent dans leurs récits, ma route est inhabituelle. J’avais remarqué que les voyants, les médiums et autres voyageurs du temps avaient une faculté semblable qui consiste à se mettre dans un état modifié puis, d'attendre que vienne quelqu’un ou bien quelque chose, or chez un ami j’avais distingué ma particularité !
Ma conscience ne se modifiait pas avec des rites quels qu’ils soient, mais simplement en y pensant et quel que fut l’endroit où je pouvais me trouver je n’avais aucune difficulté à voyager dans l’astral, tout seul chez moi, ou bien au milieu de cent personnes, devant une télévision ou tout autre bruit, bref aucun embarras !
Quand j’entends qu’il faut s’isoler dans une pièce avec quelques bougies, une croix de jésus, une icône de la vierge marie ainsi qu’une ambiance feutrée, j’ai du mal à croire que c’est cette atmosphère qui procure aux êtres le chemin de la spiritualité. En outre, avec ces attirails, bien qu’ils puissent représenter un lien essentiel pour qu’une personne pénètre mieux son âme, ces flonflons, comme je les appelle, peuvent aussi induire certains plus faibles à se laisser attirer dans des groupes où le chef de file n’a pas toujours un objectif sincère !
Après cette petite introduction qui me tenait à cœur, je tenais à exposer une rencontre avec un être de l’au-delà qui m’avait alors développé son opinion sur la lumière astrale.
Je venais encore une fois de prendre mon envol vers les contrées invisibles, je naviguais dans un ciel radieux, comme une nuit de plein été où l’espace semble d’une merveilleuse clarté, j’avançais doucement dans cet univers, observais autour de moi l’immensité, sans réellement explorer une chose précise ! C’est au loin, à des distances de l’endroit où je me trouvais, que mon attention s'immobilisa, une petite lumière pareille à une étoile que nous pouvons distinguer dans notre ciel nocturne, me maintint l’esprit. Je fus attiré par elle car il me semblait qu’elle bougeait sensiblement, allant un coup en avant, puis un autre en arrière, de ce fait je me demandais ce qu’elle pouvait bien représenter !
Puis, étant dans cette situation sans que rien de nouveau ne se fasse, ma pensée allait m’offrir une idée, au lieu de rester là je ferais mieux d’aller voir là-bas, curieusement plus je cheminais vers elle, plus elle reculait, je marquais donc un temps d’arrêt puis m’interrogeais !
Sans avoir le temps d’improviser une nouvelle idée, je saisis un rire, quelque part dans l’espace. Qu’est-ce qui est si drôle pensais-je ! Et c’est une voix qui me répondit : -Pardonne-moi, mais c’est amusant cette façon que tu as de procéder. Sans même prendre en compte cette phrase, je faisais tourner ma vision dans tous les coins, puis d’un ton plus sec dis : -Mais qui est donc là, je ne vois personne ! -Pourtant je suis ici, regarde bien.
C’est effectivement sur ma gauche qu’une lumière éclatante venait d’apparaître subitement, un énorme rayon lumineux venait d’éclairer tout l’espace que j’occupais, suite à ce fragment un être vêtu d’une longue chemise blanche se tenait près de moi.
-Tu vois bien qu’il y a quelqu’un mon ami. -Oui maintenant je te perçois, mais dis-moi qui es tu ! -Je suis ce que vous appelez un être de lumière, plus communément dans mon monde je suis le forgeron des lumières. -Le forgeron des lumières, amusant comme job, mais c’est quoi exactement ! -J’ouvre les niveaux de conscience avec des portes dans l’astral. -Attends si tu veux bien, j’aimerais une explication plus développée, tant le sujet me semble intéressant.
- Tranquillise-toi, notre rencontre est pour cette raison, beaucoup de personnes parlent de la lumière et les théories que vous présentez ne sont pas justes. La lumière n’est pas une fonction d’un dieu quel qu’il soit, d’ailleurs votre dieu ou plutôt les dieux de votre monde n’existent pas ici, ils vous sont alloués pour une raison très précise dont je ne ferais pas l’exposé maintenant, simplement je voulais mettre cette réponse en bon ordre pour éviter la confusion. La lumière n’est pas non plus une vibration qui vous enveloppe d’une poudre magique, encore moins une énergie qui remplirait une partie de votre évolution personnelle !
Les lumières et les points lumineux que vous percevez dans l’astral sont des ouvertures, des passages, des repères, des identifications. Dans un premier temps, la vision d’une lumière est l’indice que quelque chose vous attend, c’est l’alarme, comme la sonnette de votre portail qui vous signale que quelqu’un est présent !
Certes, les lumières ont des aspects multiples, elles peuvent apparaître sous des formes totalement opposées les unes des autres, seulement ne perds jamais dans ton esprit que la première fonction de la lumière est de t’adresser une information, qu’un accès te tend la main. Tu remarqueras que tes semblables, ceux qui perçoivent des lumières peinent interminablement à progresser au-delà de celle-ci, tout simplement parce qu’ils n’ont pas saisis le fil du message !
Comme quoi la compréhension est un atout non négligeable à l’avancement de tous individus. Si tu le désires, pour conforter ce que je suis en train de te dire, tu vas maintenant reprendre le point lumineux que tu observais quand je suis venu à toi ! -Sans aucun problème, je suis affamé d’explorer cette situation. -Renoue ta vision à l’étincelle que tu fixais. Je pointais une nouvelle fois l’horizon en direction de l’étoile et avec aisance la distinguais. -Ca y est, je l’ai canalisée, lui disais-je tout heureux. -Maintenant, tu vas rester dans son axe tout en dégageant le reste que tu peux deviner, puis au lieu d’aller vers elle tu vas avec ta pensée la faire venir vers toi. Jusqu' ici je ne trouvais aucune difficulté particulière, ainsi j’avais vite fait de lui donner un mouvement qui commença à se rapprocher en ma direction ! -Tu peux aussi accélérer la vitesse, ne te mets jamais de limite, ici les fonctions sont dissemblables que sur ta planète.
En même temps qu’il m’indiquait la marche à suivre, j’actionnais ces indications, si bien que maintenant la petite lumière fusait en ma direction. Elle se stabilisa à quelques mètres de moi, puis sa luminosité augmenta petit à petit quand mon compagnon poursuivit ses explications. -Que penses-tu que ce soit cette lumière ! -Si je reste honnête, aucune espèce d’idée, pour l’instant. -Comme je te le disais c’est une entrée, un signal. Il ne faut jamais te précipiter, prends le temps de conserver le point, puis essaie de recevoir l’énergie qu’elle émane, s’imprégner des vibrations te donnera une meilleure vision, ce qui vient vers toi est aussi une partie qui t’appartient, comme si tu récupérais un morceau de ta propre personne !
Beaucoup pensent à tort qu’ils sont étrangers à ce phénomène, alors que ce qui te parvient ne peux être qu’une action de ton chemin d’existence. Maintenant tu vas identifier le contenu de cette présence, il ne peut s’agir que de deux choses, soit c’est une porte que tu dois franchir, soit c’est un être qui vient communiquer avec toi ! -Avant d’en dire d’avantage que ressens-tu. -J’ai la sensation que l’énergie m’invite vers elle comme un aimant attire la limaille de fer. -Oui, dans ce cas c’est un passage, alors avance vers lui et quand tu seras au seuil tu devras découvrir le meilleur moyen pour y pénétrer.
Pendant qu’il parlait, j’étais déjà sur le palier et cherchais une solution, depuis de longues années j’avais toujours eu un bon rapport avec les portes, j’aimais les visualiser car elles étaient devenues une bonne recette pour me transporter dans les couloirs de l’astral, j’avais cette capacité d’en fabriquer de toutes les sortes, des rondes, des carrées, de bois, de fer …
J’allais donc encore une fois prendre cet attribut pour ouvrir cette entrée !
-Je visualise une porte, lui rétorquais-je. -Décris-moi ta porte dans ce cas. -C’est étrange, je focalise mon esprit sur une porte jaune avec des traits de lumière, mais elle se transforme toute seule dans un autre aspect, j’ai beau essayer de garder ma pensée, cependant elle finit toujours par déformer la mienne. -Ne force pas, laisse venir ce qui doit être, ne pense plus et raconte-moi ce qui se passe.
-Ok, elle est de couleur bleue, très foncée, sans aucune poignée, sa devanture est plate puis lisse comme un mur uni, j’ai l’impression qu’elle est fermement scellée. -Sache bien que la porte est un point de lumière et ce sont tes pensées inconscientes qui composent le décor, la difficulté pour les humains est de comprendre de quelle manière fonctionne ce monde, son embarras est de croire que les activités de la terre sont le noyau de l’univers. La porte interprète tes émotions les plus profondes, les sentiments qui résident dans ton corps éthéré ne te sont que très rarement perceptibles, c’est pour cela que tu restes surpris de ta propre vision !
Pour autant, comme tes pensées, tu as le pouvoir de modifier le cours des échéances, il te suffit simplement de laisser les mouvements venir à toi, au lieu d’essayer de les créer ou même de les deviner. Ainsi tu permets à l’histoire de se construire.
As-tu compris ! -Oui, je pense avoir perçu le sens. -Alors vas-y, laisse circuler et raconte-moi. -Je suis toujours devant la porte bleue, je la fixe attentivement et examine toutes ses parties, je vois maintenant un léger brouillard qui s’installe devant, mais en même temps je distingue que derrière lui l’entrée change doucement de couleur, elle devient violette puis passe lentement au rose fuchsia, elle se pâlit encore et forme un rose très clair qui s’évanouit dans un blanc transparent !
Tiens, une poignée vient de faire son apparition, elle est toute fine avec une bille verte à son extrémité, je tente de mettre la main dessus mais elle s’actionne toute seule, la porte dans le même mouvement s’entrebâille pour se faire grande ouverte. Je n’ai pas encore bougé, pourtant j’observe une grande allée d’arbres majestueux, quelques-uns ont un feuillage vert puis d’autres sont de couleur jaune orangé ! Je me sens attiré vers ce paysage, je pense que je vais entrer. -Non, mon bel ami, tu auras tout le temps plus tard de retrouver cet endroit, je suis ici pour t’expliquer les fonctions de la lumière de l’astral et rien d’autre, pour la suite tu n’as pas besoin de mes services. Qu’as-tu compris de cette expérience !
-Je commence à saisir l’importance de la compréhension, toutes choses non maitrisée ne peux donner une connaissance dans sa totalité, je pense aussi que la patience est une bonne conseillère, nous avons tendance à précipiter les actes et ne pas voir ainsi les vraies raisons qui se présentent vers nous. -Ton analyse est bien ordonnée. Voici le sens que les êtres doivent assimiler :
Toute personne qui capte une lumière doit rester dans un état sans affolement, rester calme offre la capacité de ne pas perdre la lumière visionnée, souvent les êtres perçoivent une lumière furtive qui semble se dérober très vite, mais c’est bien celui qui perçoit qui fait échapper la scène et non le contraire. Se contrôler est la solution inéluctable, car personne ne peux faire ce travail à la place d’un autre !
Le message essentiel est aussi que la lumière ne soit plus le fait d’une magie, d’une féerie, elle est la première porte d’entrée dans le monde de l’astral, c’est tout. Le forgeron des lumières me paraissait maintenant un très bon instituteur, son énergie m’avait enveloppé d’un calme intense et c’est dans cette douceur que je le quittais, emportant avec moi son image de professeur !
Aujourd'hui sans même nous prévenir l'été nous offre c'est premiers rayons de chaleur.
J'ai mangé, légèrement, une salade composée de champignons de paris, quelques radis émincés et une boite de thon a fait bon ventre. Une tisane de pissenlit a clôturé le repas. Avec cette moiteur, je me suis allongé sous mon arbre parasol et j'ai vécu ceci.
Je ferme les yeux, laisse musarder mes pensées ca et là, je suis bien, je me sens bath. Mais dans ce laisser aller une voix m'extorque ! Comment vas tu mon ami. Je vais bien, mais qui est présent. Je distingue une présence, j'entend la voix mais je ne vois personne.
A peine cette interrogation faîte qu'une lumière bleue foncé dandine sur l'arrière de mon être. Ah, je te vois mieux maintenant, fixant la clarté celle-ci se transforme en une femme. Un bâton de bois à la main, une chevelure blonde s'échappe quelque peu d'une capuche qui recouvre sa tête. Son visage est lisse sans aucune rides faisant ressortir de grand yeux en amande, un visage de jeunesse dans une énergie de sagesse, le poids de l'évolution sous les traits de la jouvence.
Qui est tu, belle présence ! Je suis protectrice des plantes, de la vie végétale en générale, je tiens de mon énergie l'équilibre de la vibration terrestre et des vibrations végétales et tu es venu de tes pensées m'aborder. Ainsi je me présente à toi.
Je suis heureux de faire ta connaissance et j'adore dans mon jardin parler avec les plantes, je communique souvent avec elle et je dois dire que la relation entre nous est différente qu'avec les entités de l'invisible. Oui effectivement, les plantes n'échangent pas en téléphatie mais plutôt en énergie. Les plantes se servent de l'énergie comme un fil de téléphone, une même énergie peu prendre une multitude de forme, d'expression et c'est en cela qu'elle communiquent. Disons qu'il y a la langue des signes et les plantes ont la langues des énergies.
Il est vraie que je me suis souvent délecté l'été quand arrosant une plante potagère je lui tenais la tige au même moment est je ressentais l'énergie positive circulait dans ma main remontant tout le long du bras et quelquefois au-delà. C'est une relation particulière, mais qui délivre toute les émotions de l'instant.
Tu fais là une belle description de tes échanges avec la nature, continue ainsi vous vous apportez communément l'un à autre. Je me présente à toi avec l'aspect humaine mais en réalité je suis l'énergie qui circule dans le fil de téléphone, celle qui permet le langage dans toute forme de vie, maintenant que tu sais ou me rencontrer nous aurons de nouveaux échanges les jours avenir. Je désirais juste te faire savoir mon existence, aujourd'hui.
Merci, belle énergie, il me tarde déjà ta rencontre avec milles et une question ! Que ma lumière t'enveloppe et que mon âme se mêle à la tienne.
Un jour chez une amie qui tenait un restaurant dans une vielle bâtisse, une entité me traversa le corps j'ai eu une petite sensation de froid. Je disais à mes convives qu'un être venait de m'interpeller et je filais droit dans la grande salle de restaurant, dans un coin de la pièce se tenait une grande armoire de chêne !
Je voyais dans celle-ci une petite fille toute recroquevillée sur elle même transit de peur.
Qui est tu petite fille demandais-je en téléphatie, n'ai pas peur je ne te veux aucun mal, tu peu m'entendre rétorquait elle, oui je te vois et je t'entent ! Après quelques minutes de connaissance, elle m'expliquais ce qu'elle faisait ici : L'époque ce situait au moment de templiers et elle était entré dans une pièce avait entendu quelques chose qui ne fallait pas, suite à cela elle fût tuer par cette régence et depuis (environs 1000ans) elle est là, coincée.
Je décidais avertissant mes amis(es) que je désirais la faire partir de ce plan et la faire aller enfin sur la suite de son chemin. Nous nous mettions au tour d'une table ronde, je demandais à tous de se tenir les mains et de visualiser de la lumière !
Je disais à la petite fille de me tenir la main, je visualisais un escalier de lumière et ensembles nous montions les marches une à une. Arrivé au sommet quelques uns de me guides étaient présent et je lâchais sa mains pour qu'elle puisse aller vers eux, je la vis s'éloigner doucement dans cet halo de lumière.
Autour de la table à ce moment précis un énorme craquement se fit entendre que même encore aujourd'hui surpris de l'événement ils m'en parle encore ! 15 jours plus tard, alors que j'avais oublié ce passage, un soir allant me coucher une lumière lointaine fonçait droit sur moi à une vitesse vertigineuse, c'était la petite fille, heureuse, toute pimpante qui venait me remercier !
Comment un être peut-il séjourner aussi longtemps, dans un même endroit, sans se réincarner ! A savoir que dans une probabilité, environs 100 ans cadence la bonne durée pour revenir sur terre. Mais cette âme, après avoir été assassinée n’a pas compris le sens de sa nouvelle vie, pour elle pendant très longtemps elle se croyait encore vivante, de plus, le choc violent de sa mort a enregistré l’acte dans la mémoire de son esprit, ainsi retenue à cette action les énergies se sont bloquées dans un mouvement fermé, un peu comme les personnes suicidés qui se retrouvent immobilisés dans un coin l’astral !
Afin de mieux comprendre, décomposons les plans, du moins ceux qui nous intéressent. Comme vous le savez la terre à une atmosphère, si on dépasse celle-ci l’air change et nos corps humains ne peuvent plus exister. Dans les couloirs de l’invisible c’est aussi la même recette, le premier des plans se nomme le plan terrestre et non comme beaucoup l’on appelé bas astral !
Ce plan est le premier que tous les humains abordent une fois décédés, c’est l’endroit de la compréhension, de l’attachement, des regrets, des désirs etc… Le taux vibratoire des êtres communs se situe à cette place, c’est le sas qui raccorde le monde terrestre à celui de l’invisible, les entités ordinaires n’ont pas encore la fonction de circuler au-delà de ce plan !
La majorité des âmes stationne de dix à cinquante ans dans cet endroit, puis après avoir allégé le contenu inutile de la vie vécue, elle médite sur leur incarnation prochaine, ceci étant le fonctionnement régulier de l’existence. Alors, pourquoi notre petite fillette c’est elle immobilisée autant d’années sur ce plan ! Dans un premier temps, après son départ, elle ne s’est pas projetée dans l’ensemble du plan mais juste dans une partie bien déterminée de ce même plan, l’énergie qui se libère du corps physique se scinde en deux au lieu de s’élever en une seule, comme d’usage !
Une fois coupée de moitié, il est ardu pour l’entité d’intégrer les espaces du plan, la partie la plus proche du plan terrestre commande l’ensemble et s’enlise dans l’acte qui vient d’être commis, seulement aucun être de l’au-delà peut intervenir, seul un être terrestre avec un avancement de conscience peut démêler cette situation !
Beaucoup pourraient penser à tort que les entités qui peuplent le cosmos auraient toutes les facultés, comme l’humain ils ont des fonctions auxquelles certains seuils leurs sont inaccessibles, croyez bien que si c’était le cas, énormément de déboires seraient déjà réglés sur terre !
La raison est assez simple, tout ce qui vit dans l’univers maintien des vibrations qui accompagnent l’état de la situation, les paliers vibratoires ne sont pas standards, d’ailleurs pour la quasi-totalité d’entre nous elles fonctionnent inconsciemment au degré de la condition de chacun, à cela vient se greffer les expériences du passé de chaque existence achevée, ceci pour tout ce qui vit dans l’univers et non exclusivement pour l’humain !
Donc, les êtres hors terre sont régis par la même loi, ils ne peuvent pas intervenir selon des plans différents de leurs mouvements.
L’incarnation est faite pour saisir ces diversités.
C’était un après-midi de printemps, je m’allongeais sur le canapé du salon, j’avais mis une musique appropriée, un petit coussin derrière la nuque et une couverture légère sur la poitrine.Je faisais tranquillement ma relaxation quotidienne, arrivé au moment de visualiser une porte, je n’essayais plus de l’ouvrir comme je le faisais auparavant, c’était l’instant que j’avais favorisé pour instaurer ma nouvelle technique !
Je commençais donc par visualiser les centres énergétiques les uns après les autres, et surtout à les focaliser sur leur emplacement initial. Puis,je leurs appropriais à chacun leur couleur respective, j’allais ainsi activer les mouvements circulaires afin de donner les aboutissements désirés. Je débutais à donner un élan aux centres que j’avais, juste avant, alignés et légèrement surélevés pour mieux les visualiser. Et, petit à petit, j’augmentais la force du mouvement, jusqu'à ce que la vitesse maximale que je pouvais y intégrer ! Il se passa quelques minutes, à cet instant je me suis retrouvé dans une énorme spirale, j’avais la sensation d’avoir un léger étourdissement, je partais je ne sais où sans aucun contrôle. Ça tournait, tournait, comme si j’étais pris par une lame de fond dans l’océan, à ne plus savoir où était le bas du haut, la droite de la gauche.
Puis, un immense tunnel noir présentait son embouchure, je me suis senti happé par lui, comme si je tombais dans le néant, la vitesse était excessive et ce trou n’en finissait plus. Les petits vertiges s’apaisaient doucement et la vitesse se rétractait lentement. Je devinais dans le lointain une lueur, comme un petit point de lumière, une étoile dans l’horizon d’un ciel de nuit sombre ! Délicatement, j’avançais vers ce point brillant, un arrêt me donnait une meilleure vision de la lumière, elle était scintillante en son centre et des reflets rayonnants débordaient de l’axe. Je m’avançais maintenant vers l’éclairage, je passais l’ouverture, et derrière, une immense lumière blanche surgissait !
Je faisais un pas de plus, une gigantesque plate-forme était posé devant moi, j’avançais encore un peu, et des milliers de portes surgissaient, il y en avait de toutes les formes, de toutes les couleurs, je restais là, immobile scrutant les portes les unes après les autres, je ne savais que faire de cet endroit. Quand une lumière, venue de nulle part se présenta, elle flottait devant moi à quelques mètres, puis se stabilisa. Une énergie me traversait le corps, quand la dite lumière commença à muter, la lumière grandissait, sa forme changeait d’aspect et de l’intérieur sortait quelque chose ! Je stationnais curieusement, appliqué aux animations présentes, face à moi, la lumière était en train de transformer sa physionomie.
Elle commençait à dévoiler une figure, une longue chevelure blanche et grise légèrement bouclée, un voile lumineux servait d’habit qui recouvrait un corps, les bras nus et assez larges, un bâton baroque était tenu par la main droite, le visage s’éclaircissait et je découvrais l’apparence d’un homme. Ses yeux étaient ardents, malgré les années qui se lisaient sur quelques rides dessinées. -Je suis le gardien de tes portes, m’adressa-t-il en guise de présentation, je t’attendais depuis fort longtemps, je suis ton premier enseignant qui te guidera dans ton chemin astral.
Je ne disais pas mot, et restais figé par l’émerveillement de l’endroit où je me trouvais. Regardes bien ces portes mon ami, chacune d’elles représentent une de tes routes, toutes les fois que tu accéderas en ces lieux, tu choisiras une de ces portes et tu entreras dans une autre connaissance. Je suis le gardien, mais aussi ton enseignant, et dans chacune de tes hésitations, j’essaierais de t’orienter vers une destination, n’ai aucune crainte, tu dois dialoguer avec moi, car c’est une des tes clefs qui te permettras d’avancer dans la bonne direction. Pour entrer, tu dois nommer une ouverture, si tu es prêt tu pourras passer de l’autre côté, sinon tu te retrouveras ici avec moi une fois le passage effectué !
Maintenant, nomme-moi une entrée. Je dévisageais profondément toutes les portes, et cherchais un indice, un signe qui attirerait mon attention ; L’être qui remarquait mon indécision, esquissa un long sourire, ensuite il me questionna de nouveau. Que cherches-tu si consciencieusement ! Saches bien que toutes ses portes t’appartiennent et que dans le temps tu devras les traverser une à une, alors n’explores pas les motifs qui pourraient fausser ta destination, fermes les yeux, ne penses plus à rien, et quand tu les ouvriras ce sera la porte qui viendra à toi. Effectivement, une fois l’opération faite, j’ouvrais les yeux et là devant moi se montrait une porte. Elle était très banale, et ne me plaisait guerre, elle était vieille, d’un gris passé, une légère fente sur la droite laissait penser à une ancienne blessure, une branche de lierre fatiguée était resté entortillée, accrochée difficilement à une écharde qui pendait.
L’image n’était pas très appétissante, mais malgré cela, je venais d’avoir une folle envie d’entrée, quelque chose m’attirait derrière, je ressentais maintenant une énergie qui venait me picoter au niveau de la poitrine ! Tu vois, repris l’homme, tu dois apprendre à laisser venir les objets vers toi, ton énergie du moment contient une relation avec une autre chose, et si tu acceptes cette recette rien ne peux t’abuser, tu entres dans une nouvelle connaissance, ne négliges jamais ce que tu apprends, car tout procédé contient un morceau de ton évolution, ce qui te semble anodin actuellement sera les passe-partout de tes lendemains, sans ces formations tu arrêterais l’avancement, et tu devrais rester un temps en isolement pour revenir sur ce que tu n’aurais pas saisi.
Maintenant tu peux ouvrir la porte et entrer vers ta destinée ! Il ni avait aucune poignée, je posais donc ma main à plat sur la porte et poussais doucement, elle était assez lourde et je devais de ce fait forcer pour l’entrouvrir. En même temps qu’elle s’ouvrait, je basculais dans le vide pour parvenir sur une sorte de talus, il y avait de grandes herbes, des rochers parsemés, un grand arbre et une barrière juste devant moi. Je m’approchais de celle-ci, derrière elle c’était le vide, je restais quelques instants dans cette position, quand j’entendais une voix murmurer mon nom.
Prends le sentier sur ta gauche et descend dans la vallée. En tournant la tête vers la direction suggérée, je remarquais en effet l’embouchure d’un petit chemin, j’avançais vers lui et m’engageais d’un bon pas vers la plaine. J’aimais bien être ici, je pouvais tout voir sans même tourner mon regard, ma vision transperçait les images, quoi qu’il puisse y avoir devant, sur les côtés ou bien derrière moi, je pouvais tout distinguer. Je me sentais vraiment présent dans l’endroit et d’un même temps j’avais réellement conscience que j’étais allongé sur le canapé du salon, la seule différence était mon corps, il était devenu si léger que j’avais peine à ressentir son poids, sa masse !
La descente c’était faite assez rapidement, au moment où je venais d’arriver, les paysages se mettaient à tournoyer, un peu comme un manège ancien fait de chevaux de bois, la vitesse était soutenue et je ne faisais que distinguer les images, c’était assez flou. Le tourniquet venait de s’arrêter, comme on regarde un poster imagé de nature, l’image était dressée droite devant moi. Elle représentait des dunes à chacun de ses côtés, en son centre était crayonné une allée de sable ocre, une nouvelle fois c’était le décor qui venait vers moi, j’étais aspiré et me retrouvais maintenant dans le site. D’un coup, je ressentais la chaleur du désert et sans même réfléchir je me mettais à avancer dans ce lieu ! Cela faisait maintenant un bon moment que je marchais sur cette route, et rien ne s’était passé, pas la moindre rencontre, rien que de la chaleur avec ce panorama désertique.
En levant la tête, je voyais un être dans le lointain, il était aux bords du sentier, assis et semblait inerte, j’accélérais le pas pour aller le rejoindre. Une fois devant lui, il leva les yeux vers moi, en me questionnant. Qui es-tu, pèlerin ! Pèlerin !!! Pourquoi m’appelle-t-il ainsi ! En me visionnant, je venais d’un seul coup d’être habillé d’un vieil haillon, d’une ceinture faite de ficelle torsadée, d’une bourse en peau de bête et d’une espèce de musette de la même matière. Dans ce même temps une voix dans mon esprit m’indiquait que j’étais en train de revivre une de mes anciennes existences. Comme par magie, à cet instant, je devenais complètement ce personnage, j’intégrais sa vie et savais tout de son existence comme si c’était vraiment bien moi. Je marchais vers le grand village des ventes et des achats !
Mon bon ami, le grand village, moi aussi je dois m’y rendre, puis-je faire le chemin avec toi ! Je n’y voyais aucunes gênes, et de ce pas nous commencions à faire le chemin ensembles. Pendant ce trajet, il m’expliquait qu’il fallait faire attention, dans ce village, à un certain groupe de personnage qui prônait d’étranges pensées, ils attachaient une grande importance à un dieu, et qui soit disant, aurait le pouvoir de leur parler. Bien plus, tous ceux qui iraient contre leurs convictions, et croiraient en autres choses devaient se taire sous peine d’avoir de gros ennuis.
J’esquissais un sourire narquois et entre ces discutions, nous devinions maintenant de loin le grand village. Au fur et à mesure que nous avancions vers le village, la route s’épaississait de marchands, de chariots, de charrettes, les rues se bondaient presque en bousculade. L’entrée était devant nous, un immense rempart de pierre laissait ébaucher une grande porte de bois, elle était faite de gros troncs d’arbres taillés puis lissés, sa voûte était ordinaire seule une barre parallèle au sommet finissait sa construction !
J’arrivais à parler avec mon compagnon du moment, je comprenais la langue que nous employons, mais les dialogues autour de moi qui résonnaient comme des voix au fond d’une pièce, elles me semblaient comme une langue étrangère, je compris que j’entendais alors la langue réelle de l’époque. Nous venions de passer le porche de la ville et commencions à entrer dans les ruelles de l’enceinte, une petite auberge était placée dans un recoin de nos quelques pas, quand à ce moment-là, mon camarade de route me demanda.
Dis-moi, veux-tu que nous entrions dans la taverne pour nous y désaltérer ! Je fis juste un signe de la tête pour donner mon accord . La pièce n’était vraiment pas très grande, mais une table accompagnée d’un banc se nichait dans un angle de la salle, le peu de gens présent parlaient avec des voix très vigoureuses ce qui donnait une ambiance très sonore. Nous étions assis, une cruche de mauvais vin avait atterrie sur la table avec force, et voilà que nos gobelets se remplissaient déjà juste qu’à leur bord. La petite histoire que m’avait narré mon compagnon de fortune, m’interrogeait de plus en plus, je revins donc sur le sujet, maintenant que nous étions tranquillement assis !
Quel est ce groupe dont tu me parlais tout à l’heure ! Je viens de temps en temps dans ce village de grand marché et souvent j’ai pu voir ces hommes habillés de noir qui donnaient des discours sur la grande place à quelques pas d’ici. Ils racontent des choses étranges sur un dieu qui leur donnerait des messages pour les peuples. Je rétorquais que cela m’intriguais et que j’aimerais bien aller entendre ses hommes curieux. Mais je lui signalais que je devais d’abords retrouver ma mère qui devait être arrivée la veille ! Je venais d’un petit village planté dans les bords du désert à quelques cinquantaines de kilomètres d’ici, je fabriquais avec ma famille des tissus, des tapis brodés et je venais pour la première fois vendre avec ma mère notre travail accomplit.
Je quittais mon camarade pour aller à la recherche de ma mère, j’ai dû faire des ronds et des boucles le reste de l’après-midi pour enfin retrouver celle que je cherchais. Nous échangions quelques mots sur notre voyage et allions en direction d’une taverne ou j’avais réservé deux paillasses pour passer la nuit. En chemin et au fil des ruelles, j’arrivais sur une place ou beaucoup de personnes étaient attroupées, il y avait des marchands, des acheteurs, des promeneurs… D’un coup, un grand silence se faisait, tout le monde venait de se tourner vers un même endroit, d’où j’étais je ne pouvais voir ce qu’il se passait, alors j’entrepris de me frayer un passage dans la foule afin de percevoir ce qui avait bien pu organiser ce silence.
Après quelques accrochages et heurts, j’arrivais enfin vers l’agitation, les personnes s’étaient regroupées, avaient laissées un cercle vide de quelques mètres carrés, et flanqué là, au beau milieu cinq hommes vêtus de noir venaient de s’installer. Je venais enfin de faire un pas vers les hommes dont m’avait parlé mon voyageur. Après le silence, un des hommes s’approcha plus près de la foule, il ressemblait à monsieur tout le monde, pas de signes particuliers, si ce n’est que cet habit tout noir. Il s’arrêta, un manuscrit à la main et commença un oratoire !
Peuple de tout horizon, vous devez savoir que les légalités de ce pays nous ont étaient données par le ciel, nous avons le devoir de vous protéger et c’est pour cela peuplade que nous sommes ici. Pour votre protection il vous faudra nous apporter une de vos richesses, pour que nous honorions les commandements de notre dieu tout puissant ! Il ouvra la brochure qu’il tenait dans sa main et lisait ceci : Moi le maître tout puissant, je délègue à mes fils ici présent les lois du grand monde. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris, mais les mots sont sortis plus vite que je ne l’aurais voulu, et d’une voix assez forte je demandais.
Qui est ce dieu, que tu nous nommes si puissant, crois-tu que nous pouvons croire bêtement sur une simple lecture et te donner des richesses labeurs de notre travail, comme cela, gratuitement, pour une cause que nous ne connaissons même pas !
Je ne me rendais pas compte du poids de mes dires, l’homme avait maintenant l’air très furieux, ainsi que ses amis derrière lui qui commençaient à venir vers moi. Ils écartèrent les gens devant moi, vinrent d’une vive allure, et me saisirent violemment. Je tenta de me débattre, d’expliquer que ce n’était que de simples idées, à titre de renseignements, que je venais de loin sans connaitre les mêmes pensées, mais personnes ne bougeaient, la foule était paralysée comme une multitude de statue. Je bataillais encore avec les quelques forces qu’il me restait, mais rien ni faisait !
J’étais maintenant ceinturé au milieu de la place, les quatre hommes noirs me serrait très fort les échines et le cinquième parlait vers la foule. Regardez peuplades, regardez comme le mal s’infiltre en vous, comme il met sa parole dans vos bouches, vous avez la preuve que nous devons vous protéger contre cette maladie qui gagne chaque jour de plus en plus d’individus. Je reçu alors un bon coup derrière la tête, ce qui me sonna profondément, j’avais si mal partout que je ne sentais plus grand-chose à chaque coup supplémentaires. J’avais été traîné quelque par hors du village, ma mère qui avait vu la scène et m’avait suivie hurlait, aux hommes qui m’emmenaient je ne sais où, de me relâcher, elle suppliait, suppliait encore, mais les bras de ces hommes la giflèrent et la laissèrent à terre !
Arrivé à un endroit, qui dans ma position semi comateuse devinait assez isolé, j’entendais vaguement mes bourreaux dialogués entres eux. Je ne pouvais saisir l’exactitude de leurs discours, mais je me doutais bien que c’était de ma personne qu’ils devaient débattre. Quand d’un coup sec, je me sentis élevé par la force de leurs mains, j’avais fait deux bons mètres en hauteur, ils avancèrent et avec force me jetèrent sur d’énormes pieux de bois qui venaient de me transpercer la poitrine. Je regardais là, planté devant cette scène, moi sur le pieu, éventré, et ma mère en sanglots qui me tenait les pieds. Sans rien faire d’autre, je me suis retrouvé devant le gardien, là où j’avais poussé la porte. Je me retrouvais donc, sur la plate-forme avec l’être !
J’étais tout excité de pouvoir communiquer avec ce monde invisible, même si ce que je venais de voir n’était pas très agréable, j’étais quand même heureux de toucher cet environnement. L’être me regarda un moment puis, il prit la parole. Alors, ce voyage mon ami, qu’en rapportes-tu, veux-tu m’expliquer ce que tu en as tiré ! J’ai compris que j’ai revécu une de mes anciennes vies, que je suis mort car j’ai été contre la religion, mais pour le reste je ne sais pas. Il sourit légèrement et me dit !
Je suis le gardien de tes portes, mais je suis aussi ton enseignant. Alors vois-tu, tu prends ce que tu viens de vivre dans son premier regard, cependant les choses sont biens plus subtiles que cela, tu remarqueras que tu ne viens que de revire un tout petit instant de ton passage à cette époque, ce qui signifie que la compréhension est dans cette phase. Tu ne fais jamais rien par plaisir, les êtres ont oubliés que les moments d’existences sont importants pour l’évolution personnelle.
Ta séquence n’a rien à voir avec les religions, ni la mort, elle te montre qu’à un certain moment de ta vie tu étais déjà à un stade d’évolution concernant la compréhension de la vie dans sa globalité, ton compagnon représente la solidité de ta capacité d’échanges avec l’inconnu, ton adaptation est immédiate, quant aux hommes qui te sacrifient, ils représentent ta non compréhension du fonctionnement des humains, et aujourd’hui encore tu as gardé cette appréhension, tu t’éloignes des hommes, ou tu t’en méfies ! La ville, ainsi que les grandes agglomérations ne sont pas un objectif pour toi, tu préfères la campagne, les milieux naturels.
Tu ressens fortement les bruits sonores, preuve que ton désir est plutôt dans le calme. Bien évidemment tu ne peux pas tout analyser de cette façon, car il y a des éléments qui sont ici pour d’autre raison. Ta mère ici présente dans la scène a une valeur d’attachement dans cette vie, tu devais être relativement bien soudé à ta famille et tout particulièrement à ta mère ! Souvent tu vivras des images de ton passé, cela t’aidera à te définir dans le temps, à te comprendre, à accompagner ton évolution, tes changements, pour en arriver jusque où tu en ais actuellement et continuer de ce point ton avancement. Tu arriveras à la fin de cette existence et beaucoup de choses resteront en suspens pour toi, dis-toi bien qu’une vie c’est très court, et que l’important est que tu comprennes le maximum de choses pour continuer ton chemin ailleurs.
Prends surtout le temps, observe avec bonheur tout ce qui te sera montré, et n’oublies jamais que c’est toi que tu découvres à chaque instant ! Partages aussi tes connaissances dans les jours de ta vie, ce que tu donnes te reviens toujours en retour, et quand tu ne sais pas, n’hésites jamais à te servir de notre aide, c’est avec plaisir que nous accueillons les personnes qui ont sues trouver le chemin de l’astral, car de vous, nous aussi nous évoluons dans ces moments de partages.
Je restais un moment dans la douce lumière que l’être projetait, je ne disais plus rien, seul le moment et l’ambiance de l’endroit comptaient, je côtoyais les êtres invisibles, mais il n’y avait pas de folklores, de flonflons, c’était de l’enseignement à l’état pur. De sa main, il m’indiqua le chemin du retour, j’étais tellement bien que je ne désirais plus partir, cette sensation de bien-être devenait ma plus belle amie, mais je savais qu’il fallait revenir. Alors je pensais dans mon esprit au schéma du retour, mais à peine y avoir songé je sentais de nouveau mon corps engourdit sur les coussins du canapé !
Je suis resté un long moment allongé, les yeux ouverts sur le plafond, entre nostalgie et compréhension, la musique était encore là, je la devinais maintenant à son endroit normal, je savais que j’étais revenu !
l'expérience de vie transporte l'être à son plus humble aspect, dans l'échéance d'une transaction parmi les existences les portes de cristal ouvrent dans une cadence insolite les secrets d'une fabuleuse dimension. sur les pas de répétition la connaissance afflue de sa richesse et dans la vallée des âmes de conscience plusieurs axes circules menant dans leur aires des pages d'enseignement. il ce construit une loi dans le centre des équilibres, elle est la voix qui rassemble, la pensée qui unit et de tout les gouffres qui peuple les univers elle est seule de sa contenance à donner le point qui relit la création. elle se nomme protection, elle se présente sous le mot lumière ! la recherche de l'essaim de vie s'est modelée par l'interrogation alors qu'il comprend déjà à ce point une forme de finition. une feuille d'arbre m'est montrée à peine sa première naissance la construction est instruite. songe souvent dans le réservoir de l'éclat et le sceau qui remonte défait aujourd'hui ces écrits. il se crée dans l'élément de l'humain une présentation sans égal, le premier point de cette structure défait toutes les convictions et interprétations, il sommeille dans les êtres le potentiel de la mise en oeuvre dépassant le seuil de la compréhension actuelle ! on donne à ces centres une lecture illisible et elle contient pourtant les réserves de l'univers. dans le point le plus haut de notre évolution se situe la beauté mais haut-delà de cet embryon le cumule des observations entend l'effectif des existences; le peuple des cellules se nourrissent d'une substance invisible, elles apportent aux âmes l'avancement des individus ainsi qu'une partie de recherche dans le plus grand de l'avant ! a partir de l'endroit de la première des croissances se distingue les équivalences de chaque missions dans le présent. si une question effleure souvent, elle provient de chaque axes de création qui unifient toutes les phases d'un unique chemin; il contient le potentiel de l'antan, du présent et la marge qui diffère de l'abondance de naissance à ceci s'achève la relation pour une seule personne les croisements toujours ensembles d'une même et seule âme ! la seule question essentielle de la vie n'est autre que cette conjonction de la différence immense qui se loge en ce puissant corps résolut sans cesse au seul degrés de l'évolution sans une brèche dans la partie supérieure. l'entendement se mesure non plus à la vision mais aux sons qui occupent les centres de tout les méridiens de l'infini. la fraction qui prétend être l'éjection ne donnera jamais la résolution car elle devient aujourd'hui bien souvent l'unité inverse et la finition n'appartient qu'à la compréhension de la première création !
Tout était tranquille, paisible il murmurait à mon être une douce et mélodieuse musique, fluide comme à mes habitudes, me revoici plongé dans l'immensité de l'univers !
J'étais en apesanteur, léger comme une plume et l'esprit ouvert sans aucunes interférences. Un vent, plutôt un souffle, comme une brise qui vient doucement vous chatouiller le bout des oreilles, qu'était-il ! Une voix, un peu lointaine à mon ouïe se faisait juste entendre, puis soudain devant moi, droit comme un piquet de clôture se tenait un être !
Tout rayonnait si fort, qu'il me fallait quelques secondes avant que l'image devienne vraiment visible ! Je découvrait le visage d'une femme, d'une beauté incroyable, son allure lisse à la peau douce égale à un lait d'amende, et enfin ses yeux bleus qui venait déshabiller tout mon être dans sa totalité ! J'étais figé, cristallisé devant tant d'éclat !
Quelques minutes plus tard, elle agita le bâton quelle tenait dans sa main, indice surement pour me faire réagir et sortir de ma léthargie bien heureuse. Son bâton était torsadé d'un marron irrégulièrement foncé, et une toile blanche semblable à celle que portait les romains lui faisait office d'habit !
J'avais presque l'idée de lui demander qui elle était, quand elle me rétorquait ! -Je suis l'entité de l'existence, de ton existence ! Sans vraiment trop bien comprendre cette affirmation je répliquait ! -Tu es donc une partie de moi, ou le chemin qui me guide !! -Ni l'un ni l'autre mon bon ami, je ne suis que l'énergie qui circule en toi, je ne t'appartient pas mais je t 'accompagne dans ta vibration !
Il fallait un moment, une pose pour élucider ceci ! -Alors veut tu m'expliquer ce pourquoi tu viens à moi ! -Je viens pour t'apporter une vision, tu me perçois en énergie feminine car c'est avec elle que tu dois dialoguer aujourd'hui ! Vois-tu, en qualité d'être humain vous vous êtes incarnés avec un choix d'être homme ou femme, pour autant dans votre être naturel vous n'êtes ni l'un, ni l'autre ou peut-être les deux ! Le masculin et le féminin n'existe pas dans l'absolu puisque les deux sont la forme de l'unité !
-Tu veux m'expliquer que je ne suis ni masculin, ni féminin, mais que je suis surement les deux ! Ai-je bien compris !! -Oui, vous humain avez cette impression d'être juste en conséquence de votre attribut sexuel et de votre perception physique, mais au-delà les deux s'unissent mais se détache pas !
-Certes, l'information est alléchante mais à quoi me sert-elle dans ma vie humaine, je ne peux nier être un homme même si ce que j'appelle ma partie féminine existe , à quoi peut bien me servir utilement cette découverte !
-Bien évidemment que ce n'est pas une révélation, je ne te demande pas d'alerter le monde de cette annonce, je viens vers toi avec ceci pour que tu ouvre encore un peu plus les portes de l'invisible, et que tu ailles voyager encore un peu plus dans des contrées différentes ! Alors dans ton prochain voyage sert toi de ceci ! Tu ira en toi, au plus profond de toi, chercher tes deux parties l'une féminine et l'autre masculine, et tu unira les deux, même plus tu fusionnera les deux être en une seule personne et de se point un nouveau voyage commencera pour toi !
A peine fini ce message que la dame eut disparu, je me languis mon prochain voyage avec cette nouvelle technique !
Mes chères amis(es), bientôt le prochain texte sur ce voyage particulier !!
Voici le codex galactique, avec un écrit ou l'auteur est inconnu !
Certes cet écrit n'est pas à mettre à la vision de tout le monde, décrier ne sert à rien, soit on se penche sur ce que ce texte peut bien vouloir dire avec une grande ouverture d'esprit, mais pertinent, soit on passe son chemin et on ferme la page ! je met ce texte dans ma bibliographie, car c'est un texte qui m'a intrigué depuis pas mal d'année, là au moins il aura sa place, puisque il ne demande aucune réponse particulière juste d'être lu où pas !
Confédération Galactique
La planète Terre est la dernière planète dans cet univers sous occupation des Forces des Ténèbres, le dernier vestige des guerres galactiques qui ont fait rage à travers la galaxie pendant des millions d’années. Tandis que la galaxie était libérée de l’emprise des Forces des ténèbres, les Forces de la Lumière se développèrent à partir d’une force militaire créée par le besoin impératif de défendre les libertés fondamentales des êtres sensibles vers une société galactique harmonieuse et cosmique. Tandis que les êtres au sein de la Confédération Galactique évoluaient spirituellement et accomplissaient leur alignement et l’union avec les Maîtres Ascensionnés, ils découvrirent un codex interne régulant toutes les interrelations entre les êtres de Lumière et leurs relations aux forces des ténèbres et des planètes occupées. Ce codex est appelé le Codex Galactique et représente la base juridique pour toutes les actions de la Confédération dans cette galaxie et d’autres. Ce Codex n’est pas un ensemble rigide de lois externes, mais un code de déontologie interne systématisé de toutes les âmes de Lumière qu’acceptent tous les êtres de Lumière avec leur libre arbitre parce qu’il reflète leur vérité intérieure. Nous allons maintenant faire connaitre le Codex Galactique dans une forme compréhensible à la moyenne d’êtres éveillés de la société humaine.
Section I: La loi de la grâce divine Chaque être sensible a un droit inaliénable et inconditionnel à l’expérience de vie positive. Pour expliquer la Section I, nous devons comprendre que la souffrance et la douleur n’ont aucune valeur dans une société galactique éclairée libérée de l’influence des forces obscures et d’autres aspects cosmiques d’anomalies. Conférer de la valeur à la douleur, à la souffrance et au sacrifice comme constitutif de l’expérience de croissance faisait partie de la programmation des Forces des Ténèbres dans le but d’asservir plus aisément la population des planètes occupées. L’expérience de vie positive inconditionnelle de chaque être sensible dans un univers libéré est garantie à partir de la connexion intérieure de chaque être vivant avec la Source et est renforcée par la puissance de Maîtres Ascensionnés sur la matière, qui leur permet d’aider tous les êtres vivants dans leurs aspirations à rejoindre la Source et les équipe avec le nécessaire pour vivre. La vie n’a jamais signifié travail difficile et de lutte pénible, mais plutôt voyage de joie et de créativité. Différents articles de la section I réglementent toutes les vies dans un univers libéré et toutes les relations entre les êtres de Lumière, afin que les conflits n’aient jamais à se produire. Expliquons les articles : Section I – 1: Chaque être sensible a un droit inaliénable et inconditionnel à l’abondance physique et spirituelle. Cet article garantit une expérience de vie positive pour tous les êtres dans l’univers libéré. Les Maîtres Ascensionnés fournissent tout le nécessaire de vie et toute l’abondance physique et spirituelle ainsi que la beauté, en utilisant du pouvoir qu’ils possèdent sur la matière rédemptrice de l’univers technologie spirituelle de l’Ascension et, en utilisant le feu électrique de la rédemption, assistent tous les êtres qui ont librement fait le choix de l’Ascension.
technologie spirituelle de l’Ascension et, en utilisant le feu électrique de la rédemption, assistent tous les êtres qui ont librement fait le choix de l’Ascension.
Section I – 3: Chaque être sensible a un droit inaliénable et inconditionnel de fusionner avec d’autres êtres en proportion avec son / sa position dans la famille d’âme Mandala.
Cet article est l’instrument de régulation concernant toutes les relations au sein d’une famille d’âme. Il garantit la fusion des êtres de polarités opposées (âmes jumelles, âmes sœurs) et l’alignement de tous les autres êtres, indépendamment de leur état de développement et des conditions externes.
Section I – 4: Chaque être sensible a un droit inaliénable et inconditionnel à toutes les informations
Cet article apporte la garantie que tous les êtres reçoivent tous les éléments d’information dont ils ont besoin pour comprendre leur rôle dans l’univers, une plus grande perspective de l’évolution et toutes les autres pièces dont ils ont besoin pour leurs décisions, leur développement et leur bien-être. Toutes ces informations sont fournies par les Maîtres Ascensionnés ou d’autres êtres qui supervisent les évolutions des différentes races et civilisations.
Section I – 5: Chaque être sensible a un droit inaliénable et inconditionnel à la liberté.
Cet article prévoit que chaque être a un potentiel illimité de croissance et d’expérience de vie. Puisque tous les êtres dans l’univers libéré créent seulement le positivisme [ ? NDE : en anglais « positivism »], leur liberté ne s’oppose jamais à la liberté des autres êtres.
Section II: La loi de la séparation des parties en conflit Chaque être sensible a un droit inaliénable et inconditionnel d’être séparé et protégé des actions négatives d’autres êtres vivants.
Ce paragraphe réglemente les conditions relatives aux sections de l’univers qui viennent juste d’être libérées de l’influence des Forces des ténèbres, mais qui n’ont pas encore été acceptées dans la Confédération. Il exige que les Forces de la Lumière séparent toujours les parties en conflit afin de les protéger des dommages produits mutuellement les uns aux autres. Ensuite, les Forces de la Lumière utilisent la médiation dans le conflit jusqu’à ce que celui-ci soit résolu. Cet article est souvent utilisé pour mettre fin aux guerres et autres conflits armés.
Section III: La Loi de l’équilibre Chaque être sensible qui a choisi de vivre et d’agir contre les principes du Codex Galactique, et refuse ou n’est pas en mesure de les accepter maintenant et d’équilibrer les conséquences des actions passées, sera emporté au Soleil Central, restructuré dans son essence élémentaire de base et devra recommencer un tout nouveau cycle d’évolution.
Cette section réglemente les relations entre les Forces de la Lumière et les Forces des ténèbres. Lorsqu’ils ont été vaincus, les êtres qui appartiennent aux Forces des Ténèbres ont la possibilité d’accepter le Codex Galactique, de faire du mieux qu’ils peuvent pour corriger les erreurs qu’ils ont commises et de vivre positivement par la suite. Si elles acceptent, elles sont pardonnées et rejoignent la Confédération. Si elles en sont incapables ou refusent d’accepter, elles sont emportées au Soleil Central, leurs personnalités et l’essence de leurs âmes sont restructurées avec le feu électrique et leur étincelle divine commencera un nouveau cycle d’évolution.
Section IV: La loi de l’intervention La Confédération Galactique a un droit inaliénable et inconditionnel à l’intervention dans toutes les situations où le Codex Galactique est violé, quelques soient les lois locales.
Cette section décrit la politique des Forces de la Lumière sur les planètes occupées. La Confédération se réserve le droit d’intervenir dans tous les domaines, les civilisations, les planètes et systèmes solaires où le Codex Galactique aura été violé. La Confédération a le droit de le faire, indépendamment de la position des civilisations locales sur cette intervention. Elle a toujours le droit d’utiliser tous les moyens pacifiques d’éducation et de règlementation. Si la masse critique des principes du Codex Galactique est violée, la Confédération a le droit d’utiliser la force militaire. Les cas particuliers sont des planètes sous occupation directe des Forces des ténèbres. Les Forces des ténèbres prennent généralement la population locale en otage pour entraver le progrès des Forces de la Lumière. Sur Terre, elles ont menacé de faire la guerre nucléaire si les Forces de la Lumière intervenaient. C’est la principale raison pour laquelle les Forces de la Lumière n’ont pas encore libéré cette planète (et non pas la soi-disante absurdité nous n’interviendrons pas parce que-nous-respectons-le libre-arbitre, on va juste- regarder- pendant -que toute -cette souffrance continue »). Comme dans toute situation avec des otages, celle-ci requiert beaucoup d’habiles négociations et d’approches tactiques. Cette situation est maintenant réglée et la planète Terre sera bientôt libérée.
Section IV – 1: Chaque être sensible dans le besoin a un droit inaliénable et inconditionnel de faire appel à la Confédération Galactique et la Confédération Galactique a le droit d’apporter son aide, indépendamment des lois locales
Cet article fournit une base juridique à l’intervention et l’assistance à tous les otages des Forces des Ténèbres. Les Forces de la Lumière font toujours de leur mieux pour aider à améliorer les conditions de vie de tous les êtres sensibles, même sur Terre. La situation sur la planète Terre indique à quel point l’obscurité avait beaucoup plus de pouvoir que la lumière sur cette planète. Heureusement, cela est en train de changer.
Section IV – 2: La Confédération Galactique a un droit inaliénable et inconditionnel à la mise en œuvre du Codex Galactique et, si nécessaire, de conquérir par la force militaire les régions en infraction avec le Codex Galactique
Ce paragraphe fournit une base juridique à la libération par la force militaire des planètes occupées. Les forces militaires de la Confédération enlèvent ou fournissent leur assistance à la suppression des représentants des forces obscures et libèrent les otages. Puis d’autres forces de la Confédération guident le processus d’acceptation de la planète dans la Confédération en instruisant la population locale.
Peut-être que certains humains estiment que la Confédération n’a pas le droit d’intervenir et que l’humanité a le droit de résoudre ses problèmes par elle-même. Ce n’est tout simplement pas vrai. Sur toute la planète, de nombreuses guerres ainsi que l’abus constant des droits fondamentaux de l’homme ont prouvé que l’humanité n’est pas capable de gérer sa situation par elle-même. Il est donc préférable qu’elle reçoive la guidance des gardiens avisés.
La Confédération fournira une assistance dans le remplacement des actuels maîtres des marionnettes (Forces des ténèbres) que l’humanité a invité il ya longtemps à Atlantis. Ensuite, le Code Galactique deviendra finalement le code universel de l’éthique dans tout l’univers et les ténèbres ne seront plus.
alors actuellement nous ne sommes pas encore passés au code universel de l’éthique dans tout l’univers où les ténèbres ne seront plus ! Vu toutes ces atrocités qui se succèdent et la décadence de nombreux êtres !!!
Mais quand nous passeront au code universel la Terre vivra dans un monde meilleur ( si j'ai bien compris [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour faire court )
Alors dans ton prochain voyage sert toi de ceci ! Tu ira en toi, au plus profond de toi, chercher tes deux parties l'une féminine et l'autre masculine, et tu unira les deux, même plus tu fusionnera les deux être en une seule personne et de se point un nouveau voyage commencera pour toi !
C'est dans cette direction qu'aller prendre mon prochain voyage !
J'étais déjà dans les abîmes de la voie lactée, lorsque je-ne-sais-quoi me sifflait dans l'oreille ! Secouant légèrement la tête d'un mouvement brusque, comme si je pouvais chasser l'invisible ! Mais cette stridulation venait de permettre à ma vision de distinguer une silhouette, au loin, devant moi ! Voilée de brume, elle s'énonçait malgré tout en ma direction, ensuite l'image se décantait pour se fractionner en deux parcelles, l'une dessinait un corps féminin quand l'autre prenait l'allure masculine, j'avais maintenant en face, deux apparences pluriels !
Une fois positionnées et stabilisées, respectivement elle entrait une à une en moi, je venais d'absorber deux anatomies ! A peine cette jonction fut-elle élaborée que je me retrouvait instantanément dans un lieu curieux !
Il se nichait ca et la de petites clochettes blanches qui tintaient doucement, puis une mélodie frêle traversait l'espace et mon moi s'unissait aux deux corps qui m'avait adoptés ! Un instant, ce fut le silence, un intervalle captivant, un calme adoucissant, dans un même temps j'avais l'impression d'avoir disparus de mon être et pourtant l'étonnement d'être deux !
Voila, que je me fractionnais en une paire, le moment était plutôt énigmatique que douloureux, je défusionnais tout en restant un, à vivre, cette bizarrerie devenait bien agréable, j'avais le sentiment que mon entité se munissait de tous les manques qu'un être peut avoir, comme si toutes les cases oubliées se garnissaient d'une substance fondamentale !
Je voyais désormais l'intégralité, la globalité, la totalité du tout, cela devenait impressionnant, bouleversant, hallucinant, comme si j'étais assis sur un fauteuil qui pivotait à 360° et que des écrans me montraient l'histoire de l'humanité ! Tout se mélangeait, se superposait, et dans un même temps à une vitesse vertigineuse tout se décomposait et devenait lisible, clair et précis !
Je m'abreuvais tellement de ces images comme un enfant découvre une féerie, que j'en oubliais presque à noter les événements qui débobinaient ! De ce que je retiens immédiatement, il y a Napoleon Bonaparte en guerre sur le champs, passe des images de la secondes guerre, l'Egypte Pharaonique, Rome la grande, l'esclavage etc.. L'histoire de la planète semble dérouler son contenu, c'est exaltant, frémissant, et mon être, mon esprit, mon âme se trouve dans une extase, une béatitude gigantesque, la fluidité de voir, de savoir et de comprendre, m'est servie sur un plateau, que d'émotions !
Il me fallut pas mal de temps pour redescendre de ce nuage extraordinaire, bien entendu, le contenu de cette vision ne sera pas dévoilée, entre ceux qui prennent ceci pour un roman sorti de mon esprit et d'autre qui ne sont peut-être pas encore prêt pour entendre certaines choses, ma narration s'arrête sur ce point !
Le jugement vient dans une antre peu commune, seul sait la discrétion des âges, des ans passés et pourtant si proches ! Donne une unique information et l'audition sera restaurée, non au goût de tous et toutes, mais à la teneur du sanscrit, profondeur des Vedismes ! La terre, chère matriarche, donne dans son évolution, le patrimoine de l'évolution, quand bien même les êtres en pâturage ne définissent pas l'objet à venir ! Droit devant, et pour maintenant quelques mois de plus, une étrange œuvre sera mise en place aux yeux des non-voyants ! Qu'importe la source puisque de la lumière naît sans cesse le mouvement de la vie, cette existence qui finit un cycle commencé voilà bien longtemps ! Révision du temps et du cheminement, la prochaine décennie fournira les dix milles années d'évolution cachées, camouflés, des meds-beds à l'énergie libre, combien écarquillés en seront les statues de pierre ! Exclamation de la pensée positive, elle taciturne dans les entrailles en flammes des intensions larmoyantes ! Demain ne sera plus, il dessinera l'essaim d'une autre dimension, un plus un ne pourront plus faire deux, désormais les additions ne correspondront plus à la sommes entêtées, encervelées ! Paradigme, enfin changé, enfin modifié, les longues télépathies ont pris soudainement leurs définitions correctes, logiques, elles qui divisaient le monde d'un modèle sans avenir, aujourd'hui, certain de ce qui vient demain ! Peut-on encore douter, cher et tendre, absolument pas car dans le temps existe un point de perception, un point d'encrage, qui lui, définit la réalité du cheminement envers et contre toutes doctrines ! Elle est, et restera, l'existence à l'infini !