« Si la crise économique a contribué à la multiplication des travailleurs indépendants, cette évolution répond aussi clairement à un désir de se détacher des liens du salariat et de sa relation de subordination, analyse Dennis Pennel, dans Travailler, la soif de liberté (Eyrolles). C’est la fin de la servitude volontaire, le refus d’un cadre de travail trop rigide, le rejet d’un management coercitif et d’un reporting de tous les instants. »