Une multitude de tests sont effectués avant de pouvoir se faire injecter le sang d’une autre personne. Les médecins doivent notamment s’assurer que le groupe sanguin entre donneur et receveur est le même. L’échantillon doit également être analysé pour s’assurer qu’il ne contient pas de maladies.
Mais malgré toutes ces précautions, les complications ne sont pas exclues. Parfois, elles peuvent même mener à la mort du patient. C’est par exemple le cas lors du syndrome respiratoire aigu post-transfusionnel (TRALI)*. Les observations faites au cours des dernières dizaines d’années montrent que ce syndrome peut se manifester lorsque le sang provient de femmes ayant déjà eu une grossesse par le passé.