L'un des objectifs visés par la réforme est d'éviter les orientations par défaut, et de diminuer le fort taux d'échec ou d'abandon des jeunes bacheliers après la première année d'études supérieures.
Frédérique Vidal l'assure: il n'y aura plus de laissés pour compte. Ce jeudi dans Le Parisien, la ministre de l'Enseignement supérieur présente le système qui doit remplacer Admission post-bac (APB) dès janvier prochain. "Les élèves n’auront plus à classer leurs vœux par ordre de préférence et il n’y aura plus de 'tours' pour les réponses à leurs candidatures", explique l'enseigne présidente de l'université Sophia Antipolis de Nice.