La patiente se plaignait de douleurs à la cage thoracique, et elle a donc été laissée sans soin.
Aucune surprise, un grand dégout.
Pour l'anecdote en novembre 2001 - j'ai attendu des heures dans un couloir (paralysée) sans eau, sans rien.
Et je souffrais le martyr (en n'osant me plaindre)
« Les vertus réelles excusent et plaignent ~ les fausses vertus accusent et déchirent » Paul Thiébault Le membre suivant remercie pour ce message :