Après la saisie de fonds ordonnée en juin, le RN risque la cessation de paiement. Le parti est accusé d'avoir utilisé des emplois fictifs au Parlement européen pour détourner de l'argent public. Sébastien Chenu, porte-parole du Rassemblement national (ex-FN), a estimé jeudi que son parti, confronté à une saisie de 2 millions d'euros d'aide publique dans le cadre d'une affaire d'assistants présumés fictifs d'eurodéputés, a obtenu environ "500.000 euros" de dons, mais "le compte n'y est pas".