reflexion sur la vie

je recommande la lecture des deux livres du docteur alexis carrel sur ce même sujet son deuxième livre "reflexion sur la conduite de la vie" est une suite admirable de son premier livre "l'homme cet inconnu.

Attention car le docteur Alexis Carrel, bien qu'ayant été un grand chirurgien a trempé dans l'eugénisme. Je cite :

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Alexis Carrel converti au catholicisme après avoir assisté à Lourdes, en 1902, à ce qu’il semblait être un miracle, devient adepte d'un eugénisme raciste68 et, dans les années trente, devient membre du P.P.F., le parti fasciste puis collaborationniste de Jacques Doriot.

Dans la préface allemande de son livre : L’Homme, cet inconnu, il salue en 1936 les « mesures énergiques » prises par le Troisième Reich. Il adhère à l’idéologie de Vichy dès juillet 1940 et se voit confier, en 1941, par le maréchal Pétain la création et la direction de la Fondation française pour l'étude des problèmes humains à Paris, dans laquelle il diffuse ses idées sur l'eugénisme, la natalité, la biotypologie, le développement des différences individuelles. Carrel veut ainsi prolonger la science de l'homme par une « anthropotechnie », une « biocratie » qui aurait fait « pour l'homme ce que la technologie a fait pour les avions ». Suspendu de ses fonctions dès août 1944, sa fondation dissoute, il n'est pas inquiété (et meurt en novembre).

Son implication dans le fascisme et son admiration du nazisme sont éludées pendant des années, il reçoit même des honneurs à titre posthume. Au début des années 1990 : le Front national réutilise les arguments eugénistes dans son idéologie anti-immigration. Le nom d'Alexis Carrel réapparait, dans les médias, et s'amorce alors une campagne de débaptisation de rues à son nom et du fronton de la faculté de Médecine de Lyon, tandis que sa technique de suture vasculaire est encore enseignée.

Wikipédia

[mod]Merci de ne pas exporter d'autres polémiques sur ce sujet (ou d'autres), pour régler des comptes par des moyens détournés. On a déjà vu des règlements de compte par citation, et on n'a pas envie de les revoir.
S'il y a des choses à dire, utilisons la franchise et les MP, plutôt que les sous-entendus.[/mod]

mais non .. aucune polémique là dedans..

J'aime beaucoup Desproges et d'avoir parlé de lui dans un autre Topic, m'a fait me remémorer cette maxime tellement vraie et intelligente!
 Alors plus le droit de poster des pensées d'humoristes maintenant?

et tu me suis à la trace, Major!  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Permet-moi d'en douter....

Je fais mon job de modo, tout simplement...

j'ai été modo aussi et ce n'est pas comme çà que je le faisais..

camélia a écrit:

j'ai été modo aussi et ce n'est pas comme çà que je le faisais..

Et c'est tout à fait normal, chaque personne fait à sa façon, et chaque équipe fait en fonction de l'environnement, et des aléas rencontrés. C'est un travail d'équipe qui est différent d'un forum à l'autre, et d'une personne à l'autre.

C'est le miracle d'internet, on a tous le droit d'ouvrir un forum pour faire à sa manière !

Je répondrai à Desproges , de là-haut nous regarde, Le rire "parodié" est une forme d'humour artificielle qui sert à ridiculiser et à se moquer d'une personne ou d'une situation. Souvent associée à des sourires factices... Il est important de se rappeler que le rire social doit toujours être contagieux et respectueux afin de promouvoir une bonne ambiance... et je sais de quoi je parle, quand j'étais jeune fille, je me trouvais souvent dans des situations où je devais faire mes preuves et me démarquer... la réponse la plus simple que j'avais trouvée pour cela était de rire de tout et de rien... avec le recul, comme j'étais stupide ! Mais, cela n'a pas fonctionné comme je l'espérais et, au lieu de me démarquer, J'ai attiré l'attention négative des autres... Les gens me regardaient bizarrement et ne comprenaient pas pourquoi je riais aux éclats alors que personne ne disait rien de drôle.... J'ai rapidement appris que le rire doit toujours être approprié et approprié à la situation, et non un moyen de se distinguer....

camélia a écrit:

J'ai aimé, aimerez-vous cette pensée de Desproges??

S'il est vrai que l'humour ...
....

J'aime beaucoup Desproges et il manque souvent dans certaines situations.
Je n'adhère pas à toutes ses affirmations, mais quelle intelligence !

Desproges a déjà été cité à moult reprises et a donc toute sa place ici..

Exactement, je suis d'accord.

J'ai remarqué que nos "humoristes", ceux-là même qui portent critiques sur des sujets délicats,  ont tous un grand coeur et donnent à de nombreuses assos humanitaires et apportent une large obole à cette entraide...
Et je les en remercie... si chacun apportait son aide, quel soutien à la misère humaine envers nombres de nous !

autre réflexion sur la vie, je continue avec Desproges..

Toute la vie est une affaire de choix. Cela commence par : "la tétine ou le téton ?" Et cela s'achève par : "Le chêne ou le sapin" ?

une autre de Coluche pour ceux et celles qui préfèrent cet humoriste:

"« Dans la vie, y'a pas de grands, y'a pas de petits. La bonne longueur pour les jambes, c'est quand les pieds touchent par terre."

camélia a écrit:

Desproges a déjà été cité à moult reprises et a donc toute sa place ici..

Tout à fait et j'ajoute sur de nombreux topics ....

La tétine ou le téton? Vivre dans le présent ou planifier son avenir? La vie de routine ou l'aventure? L'innovation ou la tradition? Apprécier sa liberté ou se soumettre aux règles? Faire confiance ou être méfiant? Le chêne ou le sapin?

La vie est faite de réflexion. La question principale que l'on doit se poser est : "Qu'est-ce qui est le plus important pour moi et mène à mon bonheur le plus durable?" C'est une question très personnelle qui nécessite beaucoup de méditation et de considération.

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Vieillissant, je ne me dis pas que les promenades en bord de mer seront de moins en moins nombreuses mais je me dis que les attaques de la nostalgie vont se faire de plus en plus fréquentes. Et c’est normal car j’ai plus de passé que d’avenir, donc dans l’équilibre de mon psychisme, il y a davantage de choses faites que de choses à faire. La tentation est grande de se laisser rattraper par le souvenir. Mais je veux encore me fabriquer des moments et non pas en revivre. Le jour où je vais disparaître, j’aurai été poli avec la vie car je l’aurai bien aimée et beaucoup respectée.
Je n’ai jamais considéré comme chose négligeable l’odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis.
Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés.
Le passé c’est bien, mais l’exaltation du présent, c’est une façon de se tenir, un devoir.
Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l’on voudrait avoir, on ne s’émerveille plus de ce que l’on a. On se plaint de ce que l’on voudrait avoir. Drôle de mentalité !
Se contenter, ce n’est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l’on a, c’est un savoir-vivre.

Promenades en bord de mer et étonnements heureux de Olivier de Kersauson.