Le nouveau ministre de la Justice Didier Migaud s’est exprimé sur la notion de consentement en droit français, ce vendredi 27 septembre 2024, au micro de France Inter. Comme le président de la République, il a déclaré être favorable à son inscription dans la loi.
Et c’est une question qui refait souvent surface au moment des procès pour viol : c’est notamment le cas en ce mois de septembre 2024, avec le procès des viols de Mazan. Mais c’est quoi exactement le consentement ? actu.fr
Lydie a écrit:
En fait, je reprends le sujet et j'ai lu "Viol : vers une évolution de la définition ? Le ministre de la Justice favorable à l'inscription du consentement dans la loi" et donc la loi se concentrerait davantage sur l'absence de consentement de la victime plutôt que sur les actions de l'agresseur !! enfin une bonne nouvelle ... car l'objectif principal est effectivement de mieux protéger les victimes en intégrant explicitement la notion de consentement dans la définition légale du viol !! puis quand c'est non, c'est non ! que ce soit à son p'tit ami, son mari et a un inconnu !!!
Les mots glaçants d'Éric D., un des co-accusés du procès des viols de Mazan : "Du début à la fin du rendez-vous, rien ne m'a choqué. Je pensais qu'elle faisait semblant de dormir [...] Je ne suis pas fier de ce que j'ai fait"
"Et c’est une question qui refait souvent surface au moment des procès pour viol " Je lis dans les écrits ceci, alors pourquoi donc a-t-on attendu ces horribles faits pour commencer à en parler... Bien sûr que oui l'idée du consentement doit être inscrit en toutes lettres dans la loi, que ce soit bien clair et net !