"Je souhaite que la situation se débloque le plus rapidement possible mais je dis aussi que l'Etat, lorsqu'il donne sa parole, ne doit pas la reprendre dans les conditions scandaleuses auxquelles nous avons assisté", explique-t-il. "Je fais tout pour que ça se débloque, mais ça ne pourra se débloquer que s'il y a une prise de position publique claire de la part du gouvernement", assure Gilles Simeoni. "Nous ne voulons pas que des grands groupes internationaux viennent gérer les aéroports et les ports de Corse", martèle l'homme fort de l'île.
L'article.
"J'ai rêvé de mille nouveaux chemins. Je me suis réveillée et j'ai repris le mien."
je comprends tout à fait le point de vue de Gilles Simeoni!! quand l'État donne sa parole, il doit la tenir, sinon comment faire confiance ? je trouve ça important de respecter les engagements, surtout quand ça touche à des sujets aussi sensibles que les infrastructures locales. Imaginez si on laissait des grands groupes internationaux gérer nos aéroports et ports, on perdrait notre identité et notre autonomie...