Il est 9 heures trente du matin ! Les vagues n'arrêtent pas de gigoter tant et si bien que de grosse écumes mousseuses viennent s'éreinter sur le petit bateau jaune. Les flots sont ils déchaînés quel phénomène promène cette marée, ils giflent à tribord puis talochent à bâbord, quelle matinée ! Une buée quasiment chaude envahit l'espace de la sorte que la visibilité à présent s'atténue lentement, l'échouage menace la frêle embarcation. Pourtant, quelles minutes plus tôt tout aller bien, la mer était calme et le capitaine était serin, ses pensées cabotaient elles aussi au gré du vent. Il songeait à ces pirates naviguant sur les mers et océans du monde, ces aventures aux grands horizons lointain ! Certes il n'en était pas mais peu importe, haut les cœurs braves moussaillons, brandissez vos mousquets et fouettons la nappe d'eau de nos pagaies. Il y eu un moment calme, paisible, sans un bruit, j'estimerais son temps à quelque cinq minutes environs. Puis, tout s'électrise à nouveau, l'eau agitée reprend de l'élan, se balance de la droite vers la gauche si fort que les ondulations débordent de leur emplacement, ceci accompagné de notre jeune capitaine qui hurle quelques mots de marins pas très audibles. Une voix venant d'ailleurs surplombe brusquement la dîtes scène, tout se fait silence, plus un bruit, et la voix réitère ! Rémi, sors de la baignoire ta sœur veux aller à la salle de bain.
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et tout en poésie ... ! 