CGT : la confession surréaliste de Thierry Lepaon sur son train de vie
Grosse prime de transfert, voiture de fonction, bon salaire, vélo payé par la confédération, vacances en Corse, projet de construction en Normandie, appartement à Cabourg… Le patron de la CGT a détaillé il y a peu ses éléments de train de vie devant les dirigeants du syndicat pour le moins médusés.
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Chacun pourra ainsi constater qu’en matière de d’argent, Lepaon n’a pas forcément les critères partagés traditionnellement à la CGT.
"Les rumeurs les plus folles circulent", explique ainsi Thierry Lepaon, "je vais donc vous livrer toutes les informations me concernant permettant de rétablir quelques vérités".
100 000 € pour le transfert de Lepaon de la CGT à la CGT
Et de commencer par fournir sa version de la "prime" de 31 000 € versée par le comité régional de Basse Normandie. "D’abord, se justifie-t-il, "il ne s’agit pas, comme la presse l’a écrit, d’une rupture conventionnelle mais d’une prime de départ puisque j’ai démissionné du comité régional pour arriver à la confédération
Maintenant il n'est plus crédible ! il faut qu'il démissionne !et toute la diection de la cgt, qui par ses compromissions avec la " droite .....heu... la gauche", qui doit rendre des comptes !
CGT, le lampiste démissionné, un mépris des militantEs et des salariéEs
Eric Lafont, l'administrateur-trésorier de la CGT, a été démissionné pour avoir validé des dépenses coûteuses dans l'appartement de fonction et le bureau de Thierry Lepaon ou les indemnités de 31 000 euros qu'il a reçues lors de son départ de la CGT Basse-Normandie. Ainsi ce dernier a, provisoirement, réussi à sauver sa place en faisant payer le trésorier. Certes les sommes concernées n'ont rien à voir avec les 2 millions d'euros de l'appartement de Valls, les trafics des Cahuzac, Thévenoud ou les fortunes des Arnault, Lagardère, Gohsn ou autre Gattaz. Mais l'attitude de la direction de la CGT choque bien des salariéEs, bien des militantes et militants, qui se sentent bafouéEs, flouéEs. Ils ont raison. De telles pratiques rendent service au patronat et à toutes les forces réactionnaires qui combattent le syndicalisme, c'est-à-dire le droit pour les salariéEs de s'organiser pour défendre leurs intérêts collectifs.
Lepaon doit démissionner. Et surtout, il y a urgence à ce que les intéresséEs, les travailleuses, les travailleurs, les militantes et les militants, se réapproprient ce qui devrait être leur propre outil pour se défendre, organiser leurs luttes et mobilisations contre l'offensive du gouvernement PS-Medef.
Car le fond de l'affaire, c'est que la direction de la CGT ne joue plus son rôle. Elle est prête à laisser remettre en cause les seuils sociaux, c'est à dire la possibilité pour les salariéEs d'avoir des représentantEs dans les entreprises de 10 à 49 salariéEs.
Ce qui est à l'ordre du jour, c'est la riposte contre la loi du ministre banquier, la loi Macron qui est une nouvelle étape dans l'agression néolibérale conduite par Valls-Hollande pour remettre en cause les acquis du droit du travail et laisser le patronat faire ce qu'il veut.
Au lieu de laisser salir l'image du syndicalisme, la direction de la CGT doit démissionner Lepaon et prendre les initiatives nécessaires pour organiser la contre-offensive du monde du travail.
CGT, le lampiste démissionné, un mépris des militantEs et des salariéEs
Eric Lafont, l'administrateur-trésorier de la CGT, a été démissionné pour avoir validé des dépenses coûteuses dans l'appartement de fonction et le bureau de Thierry Lepaon ou les indemnités de 31 000 euros qu'il a reçues lors de son départ de la CGT Basse-Normandie. Ainsi ce dernier a, provisoirement, réussi à sauver sa place en faisant payer le trésorier. Certes les sommes concernées n'ont rien à voir avec les 2 millions d'euros de l'appartement de Valls, les trafics des Cahuzac, Thévenoud ou les fortunes des Arnault, Lagardère, Gohsn ou autre Gattaz. Mais l'attitude de la direction de la CGT choque bien des salariéEs, bien des militantes et militants, qui se sentent bafouéEs, flouéEs. Ils ont raison. De telles pratiques rendent service au patronat et à toutes les forces réactionnaires qui combattent le syndicalisme, c'est-à-dire le droit pour les salariéEs de s'organiser pour défendre leurs intérêts collectifs.
Lepaon doit démissionner. Et surtout, il y a urgence à ce que les intéresséEs, les travailleuses, les travailleurs, les militantes et les militants, se réapproprient ce qui devrait être leur propre outil pour se défendre, organiser leurs luttes et mobilisations contre l'offensive du gouvernement PS-Medef.
Car le fond de l'affaire, c'est que la direction de la CGT ne joue plus son rôle. Elle est prête à laisser remettre en cause les seuils sociaux, c'est à dire la possibilité pour les salariéEs d'avoir des représentantEs dans les entreprises de 10 à 49 salariéEs.
Ce qui est à l'ordre du jour, c'est la riposte contre la loi du ministre banquier, la loi Macron qui est une nouvelle étape dans l'agression néolibérale conduite par Valls-Hollande pour remettre en cause les acquis du droit du travail et laisser le patronat faire ce qu'il veut.
Au lieu de laisser salir l'image du syndicalisme, la direction de la CGT doit démissionner Lepaon et prendre les initiatives nécessaires pour organiser la contre-offensive du monde du travail.
c'est ce que fait le paon
il donne du travail à des gens pour refaire son appart en location et son bureau
Le membre suivant remercie pour ce message :
Foudre Bénie
Merci pour les 12 ans de "Petite Feuille"
De la part de toute l'équipe de "Petite Feuille" nous vous remercions, vous tous, pour votre participation et votre soutien !