La 60e trêve hivernale des expulsions débute ce dimanche

INFOGRAPHIE - Obtenue par l'Abbé Pierre après l'hiver 1954, elle interdit sur une durée de cinq mois toute expulsion de locataires, même si le propriétaire a entamé une procédure judiciaire à leur encontre.

Hausse des expulsions à l'approche de la trêve hivernale

Mais ce dernier chiffre ne reflète pas complètement la réalité, selon la fondation: plusieurs dizaines de milliers de ménages quittent d'eux-mêmes leur logement avant l'intervention de la police ou de la gendarmerie. Si on en tenait compte, on parlerait de 40.000 à 50.000 expulsions effectives en France, selon la fondation Abbé Pierre qui ajoute: «À ces chiffres doivent être ajoutées les nombreuses expulsions et évacuations de squats, de terrains et de bidonvilles, touchant parfois des centaines de personnes».

Chaque année, les associations (...) Lire la suite sur Figaro.fr

Trêve hivernale : est-ce selon vous une bonne mesure ?

une expulsion locative est un drame humain, familial, drame qui lorsqu’il y a des enfants ressort de la protection de l’enfance, ce que l’on oublie trop souvent pour se focaliser que sur la question de l’argent.

tout à fait marie, il faut protéger les familles les plus démunies ! mais pensons aussi aux petits propriétaires qui ont investis dans l'immobilier pour un complément de retraite ! sinon c'est eux qui seront dans la rue !

et 6 mois de plus de loyer impayé

la vie est belle

en faite papacoz qui serait assez idiot pour investir dans la location? Il faut juste faire plus de logements sociaux !

beaucoup plus de monde que tu ne crois

les locations dans le privé (hors hlm)



si les loyers ne rentrent pas dans les hlm

avec quel argent construire du neuf ?

L’expulsion locative est un drame humain, familial, drame qui lorsqu’il y a des enfants ressort de la protection de l’enfance,
Ce que l’on oublie trop souvent pour se focaliser que sur la question de l’argent

J'ajouterai quelques lignes

Sujet est très délicat à développer

Il y a des cas de grande misère humaine
Puis il y a les nouveaux arrivés
Il y en a toujours eu, mais là ce sera grand nombre

Sujet délicat, comment comprendre
que certains vivent quasi sans abris,
dans des cabanes , dans des caravanes parfois
J'en ai même vu dans leurs véhicules

Il y a un manque à gagner depuis des décennies
en emploi, particulièrement dans certaines régions

D'autres seront privilégiés et ne connaissent pas cette misère
que j'ai pu connaitre de par mon métier
L’égoïsme y sera latent

Un exemple : les frontaliers, ne connaissent pas le mot
Ils ne connaissent pas le manque de travail.

La France est en crise, d'emploi
Ceci ne date pas d'hier

C'est super, l'église de St Rita dans le 15e arrondissent de Paris va pouvoir rester occuper par ses nouveaux occupant issu des anonymous, du MVT14 ainsi que des paroissiens et autres citoyens du monde libre.

pour ce qui est du reste des autres personnes c'est bien aussi car elles ne pourront pas se faire expulser de leurs logements. Mais ce qui serai le mieux c'est que tous est un toit sur la tête, de quoi se nourrir et une vie digne ainsi qu'une vie social.

Johane a écrit:

L’expulsion locative est un drame humain, familial, drame qui lorsqu’il y a des enfants ressort de la protection de l’enfance,
Ce que l’on oublie trop souvent pour se focaliser que sur la question de l’argent

pour certains la location est égal à 80% de leur retraite

ce qui en fait une retraite complémentaire

Si on devait chialer à chaque "drame humain" de ce type nous serions une société de bisounours. Ce que, entre nous, nous sommes déjà partiellement.
Dès qu'un quidam est dans la merde -que ce soit de sa faute ou non-, hop, la société est mise au ban par un tas de pleurnichards qui sont loin d'agir par eux-même.
La question de l'interdiction d'expulsion est certes un sujet compliqué, humainement parlant. Mais il faut quand même se rendre compte que légiférer dans le sens du proprio est mentalement parlant, une imbécilité. Pourquoi ? Parce que c'est un bien privé. Ce n'est pas du domaine de l'État d'y fourrer son nez. Pourquoi un particulier qui investit dans un bien locatif devrait abandonner son droit le plus basique -être rémunéré pour ce service-, à quelqu'un qui l'occupe ? La solidarité ?! Qu'est-ce que l'abnégation, la bonté, devraient venir faire dans ce sujet-là ?
Vous pouvez entrer dans un magasin, vous servir, et partir sans payer sous le prétexte que vous n'avez pas ou pas assez de revenus ?? C'est la même chose sauf que là on est dans le domaine commercial, et que l'entrée est libre. Mais pas la présence permanente, à un moment donné faut foutre le camp et sans marchandises.
S'il existe des gens (apparemment plus nombreux qu'avant ? Ce n'est pas sûr la misère était bien plus grande au siècle précédent) qui ne sont plus capable d'assumer leur logement, c'est aux services sociaux de gérer cela, pas au privé. La Société engendre ce type de faiblesse et elle l'a toujours fait. Comment est-ce Dieu possible depuis le temps que cela existe ? Si nos lois sont incapable de solutionner ce problème, pourquoi le particulier devrit-il le faire ? Répondez à cette question et mettez vous à la place de celui qui a investi son propre argent dans l'immobilier, unique ou multiple. Quant à savoir s'il est riche ou pas, s'il est sans coeur ou pas, si c'est un "profiteur de pauvres", ça c'est du domaine de la morale. Le jour où on pourra payer les choses avec du sentiment est encore à venir...

Ceci me fait penser à une conversation que nous avons eu
par hasard ces jours derniers , sur le sujet de tous (trop) donné
aux nouveaux arrivants venus d'ailleurs
J'ai l'impression que la colère gronde
Certains diront (disent) : oui " on leurs donne tout"
et nous travailleurs , patrons ou autre,
Nous n'avons droit : qu'à nous taire, et payer
sans cesse payer : pour les autres ...