La CGT a fait savoir dans un tract que des perquisitions avaient eu lieu au siège de Renault et qu'elles étaient "liées aux conséquences de l'affaire des moteurs truquées de Volkswagen". - Photo AFP
Selon des sources syndicales, rapportées par l'AFP, le siège de Renault aurait été perquisitionné dans le cadre d'une enquête sur l'homologation des moteurs. La CGT évoque l'affaire des moteurs truqués de Volkswagen.
Dans un tract, la CGT s'interroge sur une possible enquête sur une fraude aux émissions polluantes comme celle qui a ébranlé Volkswagen il y a quelques mois. "Des agents de la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) sont intervenus sur différents sites Renault jeudi dernier" révèle le document distribué par le syndicat CGT Renault.
Citation :
Renault a confirmé l'information."La DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) s'est rendue au siège social, au Centre technique Renault de Lardy et au Technocentre de Guyancourt", a précisé le groupe, tout en assurant que les tests réalisés à la demande de la ministre de l'Écologie, Ségolène Royal, n'avaient pas détecté de logiciel truqueur.
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