Face à la multiplication des incidents en marge des manifestations contre la loi Travail, un syndicat de police appelle à manifester.
LOIC VENANCE / AFP
Les chiffres parlent d'eux-mêmes : près de 300 policiers et gendarmes ont été blessés depuis plus de deux mois en France en marge des manifestations contre la loi Travail et plus de 1000 personnes ont été interpellées.
Les forces de l’ordre, fortement mobilisées depuis le début de l'état d'urgence et très sollicitées pour encadrer des manifestation toujours plus violentes et où se font entendre – entre autres – des slogans du type "tout le monde déteste la police", sont au bord de la crise de nerfs. L'affaire des deux affiches publiées par la CGT-Police n'a rien arrangé, suscitant une vive colère de la part des syndicats de police. "Irresponsabilité", déplore le patron d’Alliance, qui exige que "l’Etat engage une action en justice contre ces attaques".
C’est l’extrême gauche et les zadistes qui encouragent tous les jours la haine anti-flics en France. Et vous? Carrément d'accord? Carrément pas d'accord?
Peut-être, mais certains endroits sont pleins de jeunes désoeuvrés , sans aucune formation ni idéal politiques, et qui veulent juste se défouler. Là, ils se trouvent un ennemi et dépensent leur trop-plein d'énergie. Après, certains sont peut-être mieux organisés et politisés.
Quand on lit les sondages, c'est entre 85 et 90 % de la population qui sont pour les flics actuellement, alors c'est donner beaucoup d'importance au pourcentage restant, surtout si on enlève les non exprimés, à midi au journal TV ils disaient qu'après l'incendie de la voiture de police hier, certains arrêtés touchaient les allocations, RSA ... je ne comprends pas qu'ils acceptent ces aides venant de l'état puisqu'ils sont contre l'état, c'est un peu comme ça les arrange, je te mettrai tout ça au trou avec des travaux d'intérêt général à la sortie, ça les occuperait à autre chose.
D'accord avec mes copines. Si ces jeunes étaient au boulot, si ils étaient éduqués et encadrés (par les parents) on en serait pas là. J'ai déjà proposé de solution dans un autre sujet.
Oui, travaux forcés pour ceux qui n'ont rien d'autre à faire que de s'amuser à tout casser. Ça leur entretiendrait les muscles à bon escient et leur laverait le cerveau un peu trop embrumé. Et stop aux alloc.
Pourtant, lorsque l'on voit certains reportages (trop peu nombreux et trop brefs) qui démontrent que des jeunes ex-paumés, s'épanouissent dans l'horticulture, la menuiserie et autres, on se dit que, si la formation était un peu mieux organisée, il y aurait moins de désœuvrés, moins de délinquants, et plus de jeunes heureux et fiers de ce qu'ils deviennent.
Si au lieu de dévaloriser les métiers manuels on les valorisait, si on ne donnait pas le bac à 80 % des étudiants avec rien à la clé derrière car bien évidemment le choix est vite fait, on prend les meilleurs et les autres restent sur le tapis, il y aurait peut-être moins de chômeurs et plus de gens heureux d'aller au boulot. Les allemands l'ont compris, nous toujours pas.
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Quand on lit les sondages, c'est entre 85 et 90 % de la population qui sont pour les flics actuellement, alors c'est donner beaucoup d'importance au pourcentage restant, surtout si on enlève les non exprimés, à midi au journal TV ils disaient qu'après l'incendie de la voiture de police hier, certains arrêtés touchaient les allocations, RSA ... je ne comprends pas qu'ils acceptent ces aides venant de l'état puisqu'ils sont contre l'état, c'est un peu comme ça les arrange, je te mettrai tout ça au trou avec des travaux d'intérêt général à la sortie, ça les occuperait à autre chose.
Entièrement ok et c'est pas parce que j'ai de la famille dans les forces de l'ordre
On ne fait rien cà devient presque " honteux " On ne fait rien et quand le vrai drame viendra Il sera trop tard " pour pleurer "
En faite : On ferait un bon gouvernement à nous tous
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D'autant, Lucy, qu'il a fallu baisser tous les niveaux pour que les étudiants "réussissent". Même en Education physique : comme ils sont affalés sur le canapé devant la TV ou avec leur bidules entre les doigts, ils ne sont plus foutus de réaliser les mêmes exercices que leurs aînés. Aujourd'hui, je ne sais même pas si un BAC avec mention TB équivaut au BAC de naguère. Ou au Certificat d'Etudes d'autrefois. Affligeant. Et, au risque de flooder, je répondrai à Johane : oui, demande à Papy, lorsqu'il en aura terminé avec l'organigramme de notre village, de viser nettement plus haut et de plancher sur notre futur gouvernement pur P.F. Ça promet !
Et, au risque de flooder, je répondrai à Johane : oui, demande à Papy, lorsqu'il en aura terminé avec l'organigramme de notre village, de viser nettement plus haut et de plancher sur notre futur gouvernement pur P.F. Ça promet !
On verra en 2017 Le suspense reste entier pour savoir si simplet va se présenter
Il faut dire aussi que rentrent dans les statistiques TOUS les bacs, ça va du bac boulangerie en passant par le bac chaudronnerie, sans vouloir minimiser ces bacs qui sont sans aucun doute de bons diplômes, je ne vois pas ce qu'ils ont à voir avec un bac S. Mais même le bac S a décliné, j'ai une amie qui est prof en classe prépa et qui trouve aussi que le niveau baisse d'année en année.
En voulant valoriser, on a dévalorisé. Autrefois, un apprenti boulanger ou chaudronnier était très fier de décrocher un CAP et pouvait rentrer dans la vie active avec un vrai métier dans les mains. Je ne sais plus aujourd'hui, mais pendant un temps, le BTS n'était pas mal du tout non plus. Et alors, Lucy, quelle valeur aura le BAC S pour poursuivre de solides études ?
Le BTS n'est pas mal, Mais tant qu’a faire, il vaut mieux une licence qui, elle, est reconnue à l'étranger, contrairement au BTS.
Tout dépend du BTS ou de la licence c'est exactement comme le bac pro et le bac général, rien de comparable de l'un à l'autre.
Le Bac S aura toujours plus de valeur qu'un autre pour rentrer dans les classes prépa et les grandes écoles, voire certaines facs, c'est tout de même la "voie royale" pour accéder aux enseignements les plus prestigieux, mais d'un lycée à l'autre il ne vaut déjà pas la même chose, un bac S si vous sortez d'un lycée prestigieux aura plus de valeur aux yeux d'une fac ou d'une grande école qu'un bac S venant d'un lycée d'une cité de banlieue. Le bac ne suffit plus, il faut une mention TB maintenant, si vous n'avez pas de mention, vous n'êtes pas sélectionné.
Celui qui s'en sort, quel que soit le diplôme, c'est celui qui, à la fin de ses études, maîtrise un vrai savoir, de vraies compétences, qui sait faire quelque chose dont la société a besoin. En France, on se rend compte que, à tort ou à raison, le système fonctionne en majorité avec les diplômes et/ou les concours. Certes les médecins ne font pas les grandes écoles, mais ils n'échappent pas à la sélection la première année, et les études jusqu'à l'internat et la spécialisation sont très ardues. L'excellence se retrouve dans les filières professionnelles également. Pour entrer dans les prépas littéraires, mieux vaut un Bac L, même si certains S doués pourraient tenter les concours. L'obtention du Bac n'a de valeur que si le bac est suffisamment difficile pour s'en sortir dans les études après- Bac. Or, il devient niaiseux, rares sont ceux qui ne le décrochent pas. A force de dévaluer le niveau, pour rendre service aux moins doués, on alimente une vaste usine à gaz. Les prochaines moutures du Brevet des collèges vont être à pleurer. Il suffit de lire les futurs manuels scolaires.
Celui qui s'en sort, quel que soit le diplôme, c'est celui qui, à la fin de ses études, maîtrise un vrai savoir, de vraies compétences, qui sait faire quelque chose dont la société a besoin. En France, on se rend compte que, à tort ou à raison, le système fonctionne en majorité avec les diplômes et/ou les concours. Certes les médecins ne font pas les grandes écoles, mais ils n'échappent pas à la sélection la première année, et les études jusqu'à l'internat et la spécialisation sont très ardues. L'excellence se retrouve dans les filières professionnelles également. Pour entrer dans les prépas littéraires, mieux vaut un Bac L, même si certains S doués pourraient tenter les concours. L'obtention du Bac n'a de valeur que si le bac est suffisamment difficile pour s'en sortir dans les études après- Bac. Or, il devient niaiseux, rares sont ceux qui ne le décrochent pas. A force de dévaluer le niveau, pour rendre service aux moins doués, on alimente une vaste usine à gaz. Les prochaines moutures du Brevet des collèges vont être à pleurer. Il suffit de lire les futurs manuels scolaires.
Pour les médecins rares sont ceux qui ne passent pas par une classe prépa actuellement.