Dragon Age, c'est en fait tout un univers dans lequel s'insèrent plusieurs jeux spectaculaires, aux héros charismatiques, mais pas destinés aux enfants, il faut le savoir. Autant commencer par le commencement, le premier épisode, celui que je connais le mieux.
Le premier volet, Dragon Age Origins, est sorti en 2009 et raconte l'épopée désespérée d'un groupe de héros confrontés à une force implacable et dévastatrice qui menace de détruire leur nation toute entière, laquelle est plongée dans le chaos. C'est un peu classique ce genre de scénario dans le jeu vidéo, mais lorsque c'est bien fait, c'est excellent.
L'univers global dans lequel on évolue est inspiré des œuvres classiques de l'héroïc-fantasy, notamment Tolkien. On y retrouve des races de personnages bien connues du genre, tels les elfes, les nains et bien sur les humains, qui sont déclinées en plusieurs sous-catégories entre mages, guerriers et voleurs.
Chaque classe de personnage à ses avantages, mais aussi ses inconvénients. Ainsi, les mages sont faibles au combat corps à corps mais sont les seuls à pouvoir utiliser des sorts. Les guerriers sont plus forts que les voleurs mais moins agiles et rapides. Au niveau des races, les nains sont incapables de magie.
Mais ce qui fait la richesse de ce style de jeu, le RPG (Rôle playing game), ce n'est pas seulement la jouabilité, c'est aussi le charisme des personnages et ce que l'on appelle le background. C'est tout ce qui fait partie de l'univers du jeu, tout ce qui enrichit l'histoire des lieux où l'on évolue ou des personnages avec lesquels on joue, leurs histoires personnelles. Le monde ne s'arrête pas à ce que l'on joue présentement, mais a aussi un passé, des origines, qui ont façonnées les endroits et les héritages. Dans Dragon Age, la majeure partie de ce que l'on apprend au fil du jeu sur le monde et son histoire se collecte dans une sorte de journal de bord désigné "Codex".
Et le monde de Dragon Age est très riche. Son histoire globale, conçue pour que le joueur s'en imprègne, remonte à plusieurs milliers d'années avant, certains personnages que l'on rencontre étant issus de familles séculaires. Là où ce jeu va très loin, c'est que même ce que l'on appelle les PNJ (Personnages non jouables), ont un background assez fourni, donnant lieu parfois à des quêtes annexes, ne faisant pas partie de la trame principale mais où l'on apprend beaucoup de choses passionnantes. Les dialogues sont très bien faits, le doublage impeccable et respectant bien le caractère des personnages.
Dans de futurs messages, nous rentrerons plus en détail dans l'univers du jeu, mais pour le moment, je vous offre simplement un GMV (Game movie vidéo) de la saga :
Pas mal...c'est plus pour un public jeune , j'ai jouer longtemps sur PS1 et PS2 à des jeux semblable à celui si...mais ça demande trop de temps pour y jouer
Je pensais aux ados en disant ça...après faut voir les actions à faire du héros pour arriver à ses fins et les petites cinémathèques entre les volets du jeu