Or, c’est ce taux des OAT, reflétant le coût de la ressource pour les banques, qui commande le taux des crédits immobiliers qu’elles facturent (en lui additionnant leur marge). « L’incertitude – ce que les marchés financiers détestent le plus – sur la future politique de Donald Trump et ses relations avec l’Europe a provoqué ce coup de chaud, analyse Sébastien de Lafond, président du site MeilleursAgents.com, mais je ne suis pas certain que la hausse va s’amplifier. »
Les banques commencent cependant à donner de légers coups de pouce à leurs tarifs de crédit immobilier. Meilleurtaux.com signale que trois établissements régionaux et la BNP elle-même les ont majorés de 0,05 à 0,10 point. « Pas de quoi s’affoler », selon Maëlle Bernier, directrice de la communication du courtier en ligne. le monde
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Marie