De plus en plus assis sur leur derrière, de moins en moins dehors à se dépenser. Les enfants de 2016 ne sont pas épargnés par la sédentarité croissante. Une tendance qui inquiète les Français comme les professionnels de santé.
Selon un sondage Odoxa, 61% des Français ont l'impression que les enfants de leur entourage pratiquent de moins en moins d'activité physique par rapport aux générations d'il y a vingt ou trente ans. Voir un enfant inactif «inquiète» 69% d'entre eux, et en «énerve» 53%. Sans surprise, le développement des tablettes et jeux vidéo est désigné comme le grand responsable de cette tendance (cité par 62% des participants), loin devant la trop faible incitation des parents à sortir davantage, en deuxième position (24%).
En 2013, une étude internationale a montré que les adolescents (9-17 ans) ont perdu 25% de leur capacité physique, c'est-à-dire leur endurance, sur les quarante dernières années. Or «l'homme atteint le maximum de sa capacité physique entre 18 et 22 ans. Ensuite, il décline inexorablement. Plus il part de haut, plus il a de chances de vivre longtemps en bonne santé», explique le Pr Carré. Car même si l'enfant ne présente pas de signes visibles de cette mauvaise habitude, cela se traduira, plus tard, par une moindre espérance de vie sans incapacité. «C'est une bombe à retardement», résume le Pr Carré.lefigaro-santé .fr ICI
C'est en écoutant sur mes ondes préf" que j'ai entendu un médecin dire que le manque de plus en plus courant d'activité physique était néfaste pour la santé des jeunes . Moins de 2 km pour aller a l'école, il devraient s'y rendre a pied !
quand j'étais jeune je marché pour aller à l'école, faire les courses .... le vélo c'était pour faire au delà des 5/6 km ! maintenant les jeunes sont de plus en plus sollicité à prendre le scooter ... le vélo .. pour aller cher le pain en dessous de chez eux
à la campagne nous rencontrons un manque d équipement et surtout un manque de temps des parents qui travaillent sur paris et rentrent tard
pour certains aussi - coût financier (cotisation, cours, déplacements, équipement de base ou adapté - déplacement difficile (éloignement, absence de véhicule personnel, sécurité - disponibilité des infrastructures (manque d’infrastructure, horaires incompatibles - qualité des infrastructures (accès aux installations, adaptation des besoins, entretien, sécurité - disponibilité des structures d’accueil (absence de programme souhaités - manque d’information (à propos des activités existantes, des lieux, horaires - concurrence des loisirs passifs - adaptation des activités proposées (forme compétitive des activités - Absence d’intervenants compétents (méconnaissance du public et trop de demandes et peu d intervenants
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Marie