Grosses chaleurs, sueurs froides. La mairie d’Asnières, dans les Hauts-de-Seine, a adressé mi-août trois amendes de 9.000 euros aux familles d’adolescents qui ont forcé les bouches d’incendie lors des épisodes caniculaires des mois de mai et juin dernier.
Une décision inédite prise en application d’un arrêté de 2015, renouvelé cette année, par le maire LR de la commune, Manuel Aeschlimann. « Il n’y a pas de raison que la collectivité paye pour leurs bêtises », explique-t-on à la mairie.
Je trouve ça normal...se n'est pas aux gens d'ouvrir les bouches d'incendie pour se rafraichir c'est aux services municipaux ou aux pompiers de le faire
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Johane
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PARIS Les adolescents avaient été interpellés lors de la canicule en train d’ouvrir des bouches d'incendie pour se rafraîchir... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Grosses chaleurs, sueurs froides. La mairie d’Asnières, dans les Hauts-de-Seine, a adressé mi-août trois amendes de 9.000 euros aux familles d’adolescents qui ont forcé les bouches d’incendie lors des épisodes caniculaires des mois de mai et juin dernier. Une décision inédite prise en application d’un arrêté de 2015, renouvelé cette année, par le maire LR de la commune, Manuel Aeschlimann. « Il n’y a pas de raison que la collectivité paye pour leurs bêtises », explique-t-on à la mairie.http://www.20minutes.fr/paris/2123251-20170829-ouverture-bouches-incendie-mairie-asnieres-reclame-9000-euros-trois-ados
Normal qu'on leur présente la facture, c'est la collectivité qui paie, en plus cela risque de poser de sérieux problèmes aux pompiers s'il n'y a plus d'eau disponible en cas d'incendie ou autres...
«Où voulez-vous que je trouve tout cet argent ?», lâche cette mère, désemparée. L’amende de 9 000 euros infligée fin août par la mairie d’Asnières à trois adolescents du quartier des Mourinoux, n’est toujours pas soldée. Ces trois jeunes avaient forcé des bouches à incendie pour s’arroser d’eau fraîche lors des épisodes caniculaires de mai et juin derniers. Et malgré la lettre de relance qu’ils ont reçue récemment, ils ne sont pas prêts à payer. «Parce qu’on n’a pas les moyens», prévient Hassan*, 16 ans, l’un des contrevenants, casquette sur la tête. «Même si je pouvais, je ne la paierai pas !», renchérit Abdel*, 16 ans lui aussi, deuxième des trois adolescents épinglés.
Leurs familles, qui se disent «perdues», sont aux abois. «Mon mari touche une toute petite retraite, moi je suis au chômage… Nous n’avons pas cet argent, souffle cette mère. Neuf mille euros, c’est beaucoup trop pour un mineur ! Le maire nous enfonce.»
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liliane50
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enter]«Nous n’allons pas payer l’amende de 9 000 euros» [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image][/center] «Où voulez-vous que je trouve tout cet argent ?», lâche cette mère, désemparée. L’amende de 9 000 euros infligée fin août par la mairie d’Asnières à trois adolescents du quartier des Mourinoux, n’est toujours pas soldée. Ces trois jeunes avaient forcé des bouches à incendie pour s’arroser d’eau fraîche lors des épisodes caniculaires de mai et juin derniers. Et malgré la lettre de relance qu’ils ont reçue récemment, ils ne sont pas prêts à payer. «Parce qu’on n’a pas les moyens», prévient Hassan*, 16 ans, l’un des contrevenants, casquette sur la tête. «Même si je pouvais, je ne la paierai pas !», renchérit Abdel*, 16 ans lui aussi, deuxième des trois adolescents épinglés. Leurs familles, qui se disent «perdues», sont aux abois. «Mon mari touche une toute petite retraite, moi je suis au chômage… Nous n’avons pas cet argent, souffle cette mère. Neuf mille euros, c’est beaucoup trop pour un mineur ! Le maire nous enfonce.»
Il fallait y penser avant, trop facile, ils font n’importe quoi n'acceptent aucune sanction ? Ils DOIVENT PAYER....