Michel-Édouard Leclerc accuse des "corporations" de l'agroalimentaire d'avoir noué un accord pour obliger les distributeurs à dégager un minimum de 15% de marge sur tous les produits, pour -disent-elles- aider les agriculteurs. "Du pipeau", selon lui.
Fin du calme apparent aux états généraux de l'alimentation, cette réunion organisée par le gouvernement entre fédérations agricoles, industriels de l'agroalimentaire et distributeurs pour penser l'avenir de l'agroalimentaire. Le patron de Leclerc dénonce un "accord secret" qui signe "le retour des rentiers". Si il est adopté, les prix pour le consommateur augmenteraient de 5 à 15%, affirme Michel-Édouard Leclerc sur BFM Business.
Leclerc a parfaitement raison. Il est indispensable que les prix soit libre et liés à l'offre et à la demande..... tout autre système aboutirait à une économie réglementé beaucoup moins performante! Il est logique et souhaitable que le nombre d'agriculteurs diminue au fur et à mesure des progrès de la technologie donc c'est logique car la consommation agricole n'est pas ou peu élastique!