Des partis politiques en état d’anémie. La présidentielle puis les législatives perdues représentent un coup dur pour les partis traditionnels. La baisse des dotations publiques liées aux revers électoraux et la lente désaffection des adhérents qui ne renouvellent plus leur cotisation sont autant de rentrées en moins dans les caisses de ces formations. La solution ? Des licenciements jugés à la hussarde, quand il n’est pas question de la vente du siège…