D'après l'hebdomadaire, Jeanne "se voit réclamer, pour 2012, un impôt sur les sociétés d'un montant de 88 134 euros (auquel il convient d'ajouter 20 094 euros de pénalités de retard), mais l'Etat exige également de Jeanne qu'elle allonge 1 374 252 euros au titre des impayés de TVA (plus 334 317 euros de pénalités)" car "le microparti était tout sauf une structure à but non lucratif. Sa fine équipe s'est plutôt comportée comme une petite entreprise aux intérêts hautement commerciaux" à travers des prestations commerciales et bancaires facturées aux candidats FN de 2012.