Le travail des condamnés, qui fait office de sanction, n'est pas rémunéré. Pourtant, élus et responsables associatifs sont réticents à s'inscrire dans cette démarche. Sylvain Lhuissier, délégué général de l'association de l'association Chantiers-Passerelles, tente de les rassurer. "Les structures ont peur de la figure du délinquant. Elles se demandent à quoi va ressembler la personne qu'elles vont accueillir dans leurs services, et si elles sont à même de les gérer. Il y a un travail à faire pour déconstruire ces appréhensions."
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Je trouve que c'est pourtant mieux, de les rendre utiles à la société, que de les garder à ne rien faire, entre 4 murs ...