En France, des consultations sont dédiées à cette intrigante addiction, mais pas d'hospitalisation en vue pour ce seul motif. En Suisse, à Genève, la clinique Belmont (1), qui nous a ouvert ses portes, accueille des patients souffrant d'une dépendance au sexe. Ils sont soignés avec et comme les autres dépendants (drogues, alcool, jeux, troubles du comportement alimentaire…). «On mélange les malades car toutes ces pathologies ont un fond commun», explique Yves Jomini, psychologue et psychothérapeute au centre. «Du point de vue du cerveau, ajoute Christiane Mayer, responsable de l’équipe infirmière, la prise en charge est la même.»
article ...
Le membre suivant remercie pour ce message :
Gustine
11 ans de Petite Feuille ♥
Merci de votre amitié
Félicitation pour ton grade "Premium"
Un grand merci pour ta fidélité et pour ta gentillesse
Félicitation pour ton grade "V.I.P.+"
J'ai la joie de vous annoncer que votre assiduité a été récompensée
Merci pour les 12 ans de "Petite Feuille"
De la part de toute l'équipe de "Petite Feuille" nous vous remercions, vous tous, pour votre participation et votre soutien !
Vous êtes vraiment les meilleurs !
Une récompense bien méritée pour nos posteurs les plus actifs!
Vous êtes vraiment les meilleurs !
Une récompense bien méritée pour nos posteurs "Mordu d'actualité" !
Comme toutes les addictions c'est mental ! c'est dans la tête que ça se passe ... Même lorsqu'il y a castration physique .... les idées restent !.... Le violeur ne "jouit" que par la souffrance qu'il inflige a sa victime ...
"" Jadis ils étaient soignés, je dis bien soignés, dans les hopitaux psychiatriques ...
Je n'avais pas remarqué que JE vous remerciais a chacune de mes réponses .... Et bien sachez-le, NON... pas plus que les autres participant(e)s a ce site ... Je participe POINT !
Bah ceux qui sont accros / addict, tant qu'ils ne commettent pas de crimes a la rigueur c'est pas grave. C'est a partir du moment ou ils agressent d'autres personnes que ça devient grave. Mais comme dit Gustine, c'est dans la tête, je sais pas si ça peu être soigné... J'ai des doutes sur le fait de pouvoir changer ça dans la tête de quelqu'un.
çà doit être terrifiant d'être accro à ce point là, que ce soir à la coke, à l'alcool ou au sexe comme le dit le sujet!!!
ce sont des malades vraiment , ils ne sont pas responsables.. On ne peut donc les accuser.... Seulement les soigner! Mais je sais que les soins ne guérissent pas. Il y a toujours des rechutes. Et pour l'entourage, c'est très dur à vivre!
L'obsession du sexe n'a rien à voir avec les agresseurs sexuels. Il ne faut pas mélanger comme le fait Gustine. Ce sont des pathologies différentes.
Dans l'obsession du sexe, il n'y a pas le besoin de faire du mal aux autres mais le besoin compulsif d'une relation sexuelle et cela plusieurs fois par jour. Appelé nymphomanie pour les femmes, satyriasisme pour les hommes, on parle aujourd'hui d'hypersexualité ou sexualité compulsive. C'est très problématique pour les personnes qui en souffrent. ça détruit les familles et les malades finissent par développer d'autres addictologies pour compenser : alcool ou drogue. La difficulté est de savoir détecter les véritables pathologies d'une sexualité un peu plus débordante que la moyenne.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Coup d' Me dérange pas de remercier pour un sujet qui m'intéresse puisque j'y réponds. Bien au contraire