Morlaix : un fémur et une pipe relancent l'affaire Seznec

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L'os et l'objet, exhumés hier dans l'ancienne maison des Seznec à Morlaix (Finistère) pourraient appartenir à Pierre Quémeneur, la victime de ce crime commis en 1923.

« Nous sommes tous en train de vivre un moment historique ! » se réjouissait samedi après-midi, à Morlaix (Finistère), Denis Langlois, qui fut pendant quatorze ans l'avocat de la famille Seznec. A ses côtés, face à l'ancienne maison de Guillaume Seznec, Bertrand Vilain, un brocanteur finistérien passionné par cette affaire de meurtre, regarde, l'air préoccupé, le site désormais investi par les services de police. Un site qui, à la suite de la découverte d'un os vraisemblablement humain, pourrait devenir une scène de crime datant de... 1923.


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juste un rappelle de cette affaire .. on a pas fini d'en parler ....



Guillaume SEZNEC, accusé d'avoir assassiné Pierre QUEMENEUR, a été condamné le 4/11/1924 au travaux forcés à perpétuité. Revenu en France en 1947, il meurt le 14/2/1954. Une expertise graphologique, qui n'est pas favorable à la thèse de l'innocence, vient de faire rebondir l'affaire.

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Coup d'

L'affaire est relancer s'aura t'on enfin se qu'il c'est passé

Difficile mais intéressant...

je ne sais pas si un jour la vérité éclatera j'ai toujours pensé à un complot

il y avait un morceau de viande dans le hangar

et quelqu'un à dit

mors les ; normal on est à Morlaix

papacoz!! t'as fait l'école du rire??????

non je mange du mickey au petit déjeuner

Nico37 a écrit:

Difficile mais intéressant...

iroise a écrit:

                je ne sais pas si un jour la vérité éclatera  j'ai toujours pensé à un complot

je suis comme vous, curieuse de connaître la vérité .. le complot j'y ai pensé aussi !

Un homicide involontaire commis par l’épouse de Guillaume Seznec: c’est la thèse «la plus vraisemblable» aux yeux de l’ancien avocat Denis Langlois qui, après avoir assuré la défense de la famille Seznec pendant près de 15 ans, consacre un livre à cette énigme vieille de près d’un siècle.
Dans cet ouvrage, «Pour en finir avec l’affaire Seznec», Denis Langlois révèle un témoignage qu’il détient depuis 1978, lorsqu’il était l’avocat de la famille, entre 1976 et 1990. Mais la famille n’étant jamais parvenue à un consensus pour le rendre public, il l’a gardé secret jusque-là.
Ce témoignage est celui de «Petit-Guillaume», l’un des enfants, alors âgé de 11 ans, de Marie-Jeanne et Guillaume Seznec. Il a été enregistré 55 ans après les faits, en 1978, par l’un de ses neveux.

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Voici une possibilité à laquelle on n'a pas pensé mais qui semble être enfin la vérité que l'on cherche depuis si longtemps.

Et ben affaire classée.