Petite-fille du fondateur, Alexandra Oppenheim-Delauze a repris les rênes de la Comex il y a deux ans, avec un objectif: relancer l’ex-leader mondial des travaux sous-marins, menacé de disparition après les deux chocs pétroliers, et l’ancrer à Marseille. Vendre la Compagnie maritime d’expertise (Comex) ? Sa mère, Michèle Fructus, à la tête de l’entreprise de 2008 à 2016, l’avait envisagé. Une idée définitivement écartée par sa fille.