Le Front national a apporté son soutien mardi aux cheminots en grève, au nom du “maintien d’un service public” ferroviaire, mais a émis des “réserves” sur un mouvement social “par intermittence” de deux jours sur cinq pendant trois mois. Le FN “partage la volonté des cheminots de maintenir le statut de la SNCF, service public, avec l’ambition d’en faire un outil plus efficace, mieux géré, modernisé”, écrit le parti d’extrême droite dans un communiqué.