Plusieurs centaines d'individus encagoulés ont affronté les forces de l'ordre en tête du cortège. Selon la préfecture de police de Paris, une trentaine de commerces ont été dégradés et quatre personnes légèrement blessées.
Cent neuf personnes ont été placées en garde à vue dans la foulée de la manifestation du 1er-Mai dans la capitale, a annoncé le préfet de police de Paris, Michel Delpuech, mercredi 2 mai. De violents affrontements ont éclaté entre des militants d'extrême gauche et la police, en marge du traditionnel défilé syndical de la fête du Travail. Au total, 283 personnes ont été interpellées.
Quatre personnes ont été légèrement blessées. Parmi elles, un CRS, qui a reçu un pavé dans le dos, explique la préfecture.
Le quotidien s'est en effet procuré une note confidentielle de la Direction du renseignement de la préfecture de police de Paris (DRPP), datée du 30 avril.
Elle prévoyait déjà la présence de "400 à 800" membres de la mouvance radicale dans les rangs du défilé parisien.
On peut aussi y lire que possibilité que "1.000 à 1.500 personnes issues des communautés étrangères", c'est-à-dire que des casseurs étrangers fassent le déplacement, était également évoquée.....lire la suite ici
"ON" continue dans l'angélisme ... Malgré les avertissements des services compétents ...
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papacoz
11 ans de Petite Feuille ♥
Merci de votre amitié
Dépanneur informatique
la résolution des dysfonctionnements d'un logiciel ou d'un ordinateur
Félicitation pour ton grade "Premium"
Un grand merci pour ta fidélité et pour ta gentillesse
Félicitation pour ton grade "V.I.P.+"
J'ai la joie de vous annoncer que votre assiduité a été récompensée
Merci pour les 12 ans de "Petite Feuille"
De la part de toute l'équipe de "Petite Feuille" nous vous remercions, vous tous, pour votre participation et votre soutien !
Vous êtes vraiment les meilleurs !
Une récompense bien méritée pour nos posteurs "Mordu d'actualité" !
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• Manifestation du 1er Mai : le dispositif policier critiqué [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] La polémique monte autour du dispositif policier de la manifestation de mardi. Pourtant, si les dégradations matérielles ont été spectaculaires, le bilan... Libération mise à jour Aujourd'hui à 16h48 - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : pour moi se sont les syndicats qui sont indirectement responsables de ces débordements,ils savent très bien que leurs défilés génèrent des violences !
ok donc plus de revendication plus de manifestation . une question comment ce fait t'il que la police a laissé ce regrouper des gents cagoulé casqué avec masque a gaz ils etaient au courant dejas bien avant la manif
Le quotidien s'est en effet procuré une note confidentielle de la Direction du renseignement de la préfecture de police de Paris (DRPP), datée du30 avril Elle prévoyait déjà la présence de "400 à 800" membres de la mouvance radicale dans les rangs du défilé parisien. On peut aussi y lire que possibilité que "1.000 à 1.500 personnes issues des communautés étrangères", c'est-à-dire que des casseurs étrangers fassent le déplacement, était également évoquée.....lire la suite ici "ON" continue dans l'angélisme ... Malgré les avertissements des services compétents ...
Mettre plus de policiers ne servira à rien dans les prochaines manifestations car ils n'ont pas le droit d'intervenir...Les manif sont des prétextes pour les bobo-gaucho-anar-sectaires connus et reconnus du gouvernement qui veulent détruire la société...
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marie48
Merci pour les 12 ans de "Petite Feuille"
De la part de toute l'équipe de "Petite Feuille" nous vous remercions, vous tous, pour votre participation et votre soutien !
"Il y a des failles, on les exploite" : un membre des black blocs explique comment infiltrer une manifestation malgré les forces de l'ordre
Ils ont donc des techniques pour se faire discrets, raconte l'un d'entre eux. "On sait que pendant les manifestations on est tous filmés, fichés. Envoyer un sms, mettre un truc sur les réseaux... il faut faire gaffe. On s'organise en conséquence et cela fait partie d'un apprentissage : comment s'anonymiser, comment discuter de manière safe [sûre]. En gros, lutter pour pouvoir exister politiquement sans finir en prison".