L'association anticorruption pointe d'éventuels délits de "tentatives de détournements de fonds publics", "abus de confiance", "abus de bien sociaux" et violation du principe d'égalité entre les candidats.
Après les révélations sur les ristournes dont à bénéficié Emmanuel Macron de la part de prestataires pendant la campagne présidentielle, Anticor veut porter plainte. L'association anticorruption va demander au parquet de Paris l'ouverture d'une enquête, afin de vérifier "la probité des comptes" des principaux candidats : Emmanuel Macron donc, mais aussi Benoît Hamon, Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen, selon la plainte consultée par l'AFP, mercredi 13 juin.