La cheffe de l'extrême droite française Marine Le Pen a subi un revers mardi devant la justice de l'UE, qui a confirmé qu'elle devait rembourser près de 300.000 euros au Parlement européen pour l'emploi douteux d'une assistante quand elle était eurodéputée. "Je fais un pourvoi bien sûr", a rapidement réagi sur son compte Twitter la présidente du Rassemblement national (ex-Front National), critiquant un arrêt "ubuesque" dans cette affaire visée par ailleurs par une procédure judiciaire en France.