C'est une première en France. Un fils de harki réclamait réparation à l'Etat français et la plus haute juridiction administrative lui a finalement donné raison. Cet homme a grandi dans des camps de transit et de reclassement des Pyrénée-Orientales et du Lot-et-Garonne dans les années 60 et 70. Il estimait que l'Etat français était responsable de ses mauvaises conditions d’accueil et de vie dans ces camps, après l'indépendance de l'Algérie.Ladepeche.fr
L'Etat a été condamné à verser 15 000 euros de préjudice au fils d'un harki. Selon moi, l'argent ne suffit pas. Il est temps que la France leur demande pardon. D'accord ? Pas d'accord ? Vos commentaires ....