Après les cas médiatisés de l'actrice Fan Bingbing et du président d'Interpol, Meng Hongwei, franceinfo a interrogé des spécialistes du système judiciaire chinois et des victimes, dont l'artiste Ai Weiwei, de ces enlèvements. Ils décrivent un système pensé pour mater les opposants au régime.
Une grande actrice chinoise qui n'apparaît plus en public pendant des mois, le président d'Interpol qui ne donne plus de nouvelles... Ces dernières semaines, les disparitions de Fan Bingbing et Meng Hongwei ont braqué les projecteurs sur les méthodes radicales de la Chine pourrégler les cas politiquement sensibles. Des procédés bien connus des militants des droits de l'Homme et autres opposants du régime. "Ce gouvernement autoritaire est au-dessus des lois et personne n'est en sécurité dans ces conditions, qu'il soit un criminel ou un innocent. Cela montre à quel point les autorités méprisent complètement la loi",
-20181013-[content2]]Coups, privation de sommeil et chaise du tigre
Cela prouve bien qu'en Chine, la démocratie, le respect des droits de l'homme restent un bel idéal.... sans véritable application au-delà d'un certain "vernis" uniquement destiné à donner bonne conscience au gouvernement chinois vis à vis des autres pays. Ces méthodes barbares d'un autre temps font froid dans le dos. On a l'impression malsaine de replonger entre autre dans des années 30/40 que par certains côtés on aimerait oublier. Nous sommes peu de choses face à un gouvernement implacable qui ne supporte pas que l'on pense autrement... Et ça alors, ça n'interpelle pas l'ONU ??.... Pour ce citer qu'elle....
La Chine, nous montre un seul côté de son " visage " mais pour ce qui est de la liberté, de l'égalité et de la fraternité, il ne faut surtout pas en parler, quant au respect des droits de l'homme, cela reste un rêve encore bien éloigné.
Ceux ou celles qui tentent de s'opposer au régime, disparaissent purement et simplement, cela semble ne déranger personne.